Une bonne épouse
Alain et moi sommes mariés depuis 25 ans, un mariage avec des hauts et des bas, mais harmonieux et heureux, sur tous les plans. Nous avons toujours eu une belle complicité et beaucoup de tendresse et d’admiration l’un pour l’autre.
Nos deux enfants sont étudiants et nous avons la maison pour nous seuls désormais sauf lorsqu’ils reviennent en week-end ou pour les vacances.
Nous allons fêter mardi nos 25 ans de mariage. Nous nous sommes rencontrés jeunes sur les bancs de la fac de droit, et une fois nos études finies, nous nous sommes installés. Alain, diplôme d’avocat en poche, a intégré un cabinet d’associés, tandis que je devenais juriste dans une société d’import-export. Pour plaisanter et aussi pour pimenter nos ébats, j’aime l’appeler Maître, faisant référence à sa profession, ce qui ne le laisse pas indifférent…
Le sexe occupe une place importante dans notre vie de couple, Alain est très demandeur, viril, vigoureux, et moi je suis aussi très gourmande, et nous aimons nous renouveler. Nous nous sommes autorisé des aventures qui ont renforcé notre complicité. Nous adorons nous raconter nos frasques extra-conjugales, détaillant les corps de nos partenaires et les pratiques que nous avons explorées, les reproduisant parfois ensemble pour notre plus grand plaisir.
Alain est un très bel homme, séduisant, approchant la cinquantaine, grand, mince, bien bâti, cheveux mi-longs poivre et sel et des yeux bleus très clairs que son teint hâlé fait ressortir. Il est aussi très bien membré, ce qui ne gâche rien, et sa belle queue épaisse et longue nous procure des extases régulières.
Il dit qu’il a une très belle femme, blonde, cheveux mi-longs, pulpeuse, très féminine, coquette, raffinée, élégante et très coquine. Il adore quand je m’habille de façon très sophistiquée et que je me coiffe d’un chignon bien serré, maquillée avec soin , les ongles laqués rouges aux pieds et aux mains. J’aime les vêtements près du corps, les tailleurs moulants, un peu stricts mais seyants, la lingerie fine, les guêpières qui me font une taille amincie et des hanches plus larges, les culottes en soie…
Pour fêter nos 25 ans de mariage, ce mardi soir, je porte une robe fourreau bleu nuit en satin, courte, très serrée, les épaules dénudées, décolletée généreusement, laissant entrevoir mes seins généreux et débordants de sensualité, mes jambes habillées de bas résille, tenus par un pote jarretelles à l’ancienne en dentelle se fermant par des agrafes. Je suis maquillée plus que d’habitude, rouge à lèvres rouge vif , mascara noir, ongles laqués rouges brillants un peu longs et impeccablement limés. J’ajoute un collier de perles, un bracelet et des boucles d’oreille assorties, et une paire de gants en dentelle, Alain adore ça.
Alain m’a envoyé un taxi, il m’attend au restaurant. Le chauffeur me jette un coup d’oeil approbateur et me sourit. J’aime plaire aux hommes, je lui souris. Pendant le trajet, je prends plaisir à l’allumer, croisant et décroisant mes jambes, dévoilant mes dessous, et je sors mes seins de ma robe, caressant les tétons qui durcissent pour l’exciter. Il ne dit rien, mais me regarde en léchant ses lèvres. Lorsque je sors du taxi et que je règle ma course ajoutant un pourboire, il me remercie, « pour tout », dit-il, me fait un clin d’oeil, et j’aperçois une bosse qui déforme son pantalon de toile.
De bonne humeur, je rejoins mon mari, il est parfait, smocking noir ajusté mettant en valeur son corps mince et ses fesses musclées, chemise blanche en soie, cravate fine bleu nuit . Pendant le dîner, je lui fais du pied, remonte le long de sa cuisse, effleure son sexe au garde à vous…il me traite de petite allumeuse. Le dessert arrive, je lui offre son cadeau : une paire de menottes en argent gravées « à toi pour toujours ». Il me sourit, et me dit « merci Catherine, je vois que nous nous comprenons toujours aussi bien » ! et il me tend mon cadeau : un collier en argent et acier, sobre et élégant, gravé « à moi pour toujours », assorti d’un œuf vibrant violet tout doux dans un écrin de velours noir. « En effet, Maître, nous nous comprenons vraiment très bien ».
« Va aux toilettes, Catherine » m’ordonne-t-il d’une voix douce, mais ferme, et met l’œuf dans ta chatte chaude et humide. Emoustillée, j’obéis, soumise comme il le souhaite et moi aussi, et aux toilettes, j’introduis l’œuf tout doux dans ma chatte toute mouillée. Je reviens, gênée, je baisse la tête, et je passe devant Alain qui m’effleure les fesses au passage.
Je sens une décharge dans ma chatte, ça vibre et c’est très excitant, j’ai envie de gémir mais je ne peux pas avec ce monde, je me retiens, je rougis. Alain me sourit, la télécommande de l’oeuf à la main, et me montre qu’il va enclencher le niveau supérieur. Je sens que l’oeuf vibre de plus en plus fort et plus vite, je suis au supplice, Alain, sous la table, met sa main chaude sur ma cuisse et écarte ma culotte, prenant avec son doigt un peu de la mouille qui m’envahit. Il la goûte devant moi, léchant son doigt à table. L’oeuf vibre en moi et je suis au supplice, l’excitation est à son comble…que va-t-il se passer ensuite ? Alain relit ce que je viens d’écrire, il approuve et m’ordonne d’écrire la suite bientôt. Pour l’instant, nous avons mieux à faire dit-il en sortant les menottes…