Je m’appelle Philippe et je suis un client des réseaux de téléphone rose. Je ne m’entretiens avec les hôtesses du réseau qu’en privé car je n’assume pas d’en parler sur le 08 et d’être écouté par d’autres clients. J’ai 46 ans, un physique normal et je n’ai pas eu de rapports sexuels depuis 10 ans. La dernière fois, c’était avec une prostituée. J’ai un travail qui me permet de bien gagner ma vie, je suis ingénieur en informatique. J’ai vécu quelques courtes histoires par le passé, qui m’ont laissé un goût amer. L’impression de ne pas pouvoir satisfaire mes partenaires sexuelles, la pression de bander, d’y arriver, de tenir, tout cela me bloque. J’ai longtemps subi mon célibat forcé sans pour autant devenir haineux, je fais référence à cet abject mouvement sur internet : Les Incels : Involuntary celibate.
Je n’en veux pas aux femmes, j’apprécie de parler avec les hôtesses tout en prenant ma poupée, je respecte leur travail. Elles m’aident beaucoup à combler un manque affectif et physique. En complément des rapports que j’ai avec ma dulcinée inanimée. Je l’ai commandée sur un site spécialisé, c’est un modèle haut de gamme avec un vagin amovible, plus pratique à nettoyer. J’en avais déjà testé dans une maison close en Espagne. On vous donne le lieu de rendez-vous au dernier moment et vous en profitez pour la modique somme de 89 euros environ. En France, nous sommes peu à vouloir témoigner de ce genre de pratiques. Au Japon, c’est un vrai phénomène de société. Beaucoup d’hommes en possèdent, plusieurs même. Il y a plus de choix qu’ici. Ils se promènent avec, les emmènent faire les courses, boire un verre, les habillent. C’est un phénomène ancien là-bas, je vous invite à lire des articles sur le sujet. En voici un :
La misère sexuelle masculine est un vrai phénomène de société à travers le monde. On en parle pas assez. Beaucoup de clients du réseau y sont confrontés, certains l’avouent à l’hôtesse et d’autres non. J’ai trouvé un palliatif à ma solitude. J’ai prénommé ma compagne Claire. C’est une merveille qui m’a coûté la modique somme de 2500 euros. Elle mesure 1m60 et pèse 25 kilos. Elle a une poitrine généreuse, une taille fine, un vagin bien serré et une bouche accueillante. Je peux la prendre dans différentes positions même si c’est limité. Je la réchauffe dans un bain chaud avant de m’en servir. Je dors contre elle la nuit. C’est une présence rassurante. Je ne saurais plus y faire avec une femme. J’en côtoie mais je n’arrive pas à communiquer avec elles. Sur un site de rencontre, j’ai rarement l’occasion de discuter avec une femme, il y a beaucoup de faux profils, d’escorts et d’arnaques. On paye un abonnement pour finalement ne jamais réussir à quoique ce soit. Je sais que des hommes se reconnaîtront dans ce cas de figure. Celles que j’arriverai à séduire en voudront à mon porte-monnaie. La prostitution, c’est trop glauque pour moi, je n’y arrive pas sous pression. J’ai tenté pourtant. Je suis heureux avec ma poupée et j’aime élaborer des scénarios avec des hôtesses du tel rose, me confier. Elles, ne me jugent pas et m’apportent l’écoute et la conversation que la poupée ne peut m’offrir. Elles savent que ce n’est pas malsain. Les modèles d’aujourd’hui sont vraiment à la pointe, il en existe de plus belles encore. Les prix peuvent aller de 1000 à 70 000 euros. On peut même en faire faire à l’effigie de célébrités. Je vous laisse imaginer ! C’est aussi un fantasme récurrent chez la gente masculine : Pouvoir faire l’amour à une célébrité. Cela devient à la portée de tous ou presque !
Bonsoir Philippe
Un témoignage émouvant et poignant
Et je trouve très courageux de votre part d’en parler
Savoir que Claire vous réconforte par sa présence rassurante comme vous l’avez si bien exprimez dans votre récit, et de vous savoir heureux
Je ne peux que vous souhaiter beaucoup de bonne choses, et qu’un jour vous puissiez communiquer avec des femmes
Bien à vous
elles sont magnifique les poupées faite au japon on dirai vraiment des vrais femmes c’est en effet très excitant sa m’intrigue j’aimerais tellement que tu m’en dise plus n’esites pas a l’ occasion gros bisous phillippe