Bonjour à tous. Je m’appelle Daniella, et aujourd’hui, je vais vous parler de Patrice, mon voisin, contre lequel je me suis vengée, car je l’ai surpris à voler une de mes culottes ! Alors que le beau temps était revenu, j’avais pris pour habitude de mette mes lessives à sécher sur les fils à linge de mon jardin. Le problème est que lorsque je rentrais de mon travail, au moment de récupérer mon linge, je constatais qu’il me manquait toujours une ou plusieurs culottes.
J’avais beau chercher partout chez moi, pas moyen de les retrouver ! C’était quand même hallucinant de constater que c’était toujours les plus belles que je ne retrouvais jamais. J’avais différents modèles de strings et de tangas, principalement en dentelle ou en satin, brodés de perles et de strass en tous genres, généralement très échancrés ou même carrément fendus.
Autant vous dire que j’étais plutôt furieuse de me faire voler sans arrêt mes affaires. Ce que je ne comprenais pas, c’était qui me les volait et pourquoi. J’avais bien des doutes sur quelques personnes, mais je ne voulais pas accuser sans preuves. Une femme derrière tout ça ? Cela m’étonnait mais on ne sait jamais… et puis, j’ai pensé à Patrice, et je me suis dit qu’il me regardait de plus en plus avec insistance dernièrement.
Il se cachait sans arrêt derrière son rideau, pour épier les moments où je quittais mon domicile. Parfois, lorsque je rentrais chez moi, et rentrait chez lui en cavalait à toutes jambes, sans doute pour tenter de passer inaperçu, mais c’était plutôt raté !
Alors, j’ai décidé de tendre un piège au coupable, à ce sans-gêne de bas étages, qui avait pour but de piquer mes culottes pour se masturber dedans. J’ai fait comme-ci je quittais la maison, en prenant soin de passer devant chez lui. Puis, j’ai fait le tour du quartier et je suis rentrée de nouveau chez moi. Me cachant derrière ma fenêtre, j’observe… quand soudain je vois mon voisin s’emparer de mon string noir. C’était sans doute un de mes plus beaux modèles. Il était parsemé de petits strass blancs, et se nouait à la taille par des rubans en satin…
Ni une ni deux, je sors de chez moi en catastrophe. Mon voisin s’était caché derrière mon cerisier, et était en train de se branler vigoureusement dans mon string. Je suis restée plusieurs minutes à le regarder faire. J’avoue que ça m’excitait beaucoup. Il avait une magnifique queue, et j’avais bien ma petite idée en guise de compensation.
Je me suis alors approchée de lui, et je lui ai demandé ce qu’il était en train de mijoter. Il m’a répondu qu’il était vraiment désolé et qu’il ne recommencerait plus. Je l’ai engueulé et je l’ai forcé à me suivre. Je l’ai choppé par le colback et nous sommes rentrés chez moi. Il s’est senti tout penaud et a gardé la tête baissée. Je me suis déshabillée, en glissant ma robe le long de mon corps. Je l’ai vu bander encore plus fort, à la vue de mes gros seins.
Puisqu’ils l’excitaient tant, je lui ai collé de force la tête entre mes énormes melons. L’excitation me rendait les tétons tout durs. Je les lui ai mis dans la bouche, et je l’ai forcé à me les téter comme un gros bébé. Visiblement, cette lopette adorait ça !
Comme il se débrouillait bien, je lui ai accordé une faveur : celle de me baiser… mais ce serait la seule et unique fois ! Et il avait l’interdiction de me voler à nouveau mes dessous. En compensation, j’ai opté de lui offrir un dessous porté, de temps en temps. Nous avons trouvé un terrain d’entente. Qui sait ? Si un jour je suis en manque, je pourrais toujours compter sur lui !