Ma patiente adorée partie 1
C’est ma patiente préférée, ma petite chérie à moi. Oh, je ne lui ai pas dit tout de suite. Quand je l’ai rencontrée pour la première fois, elle avait 22 ans et moi 33.
Toute menue, petite blonde, les cheveux coupés au carré, les yeux verts clairs, une bouche charnue, elle avait l’air si timide, si douce. J’avais été appelé au domicile pour son mari, pas de chance. Quel contraste entre les deux ! Lui, une sorte de costaud, pas très gracieux, un peu vulgaire, genre grosse brute, et elle, une princesse toute délicate.
J’ai eu comme un coup de foudre. J’ai eu envie de l’enlacer, serrer son petit corps contre ma grande carcasse. Envie de l’embrasser, sentir la douceur de ses lèvres pulpeuses, l’entendre me murmurer des douceurs à l’oreille, sentir son souffle dans mon cou…
Je chassai ces idées et restai professionnel. Elle est revenu régler la consultation à mon cabinet. Quelle jolie jeune femme ! J’étais si troublé et elle ne s’en rendait même pas compte, vêtue d’une jupe courte et très évasée laissant apparaître ses jambes fines et bronzées, son petit débardeur montrant des épaules musclées, et des bras joliment dessinés.
Elle est restée ma patiente et elle me subjuguait de plus en plus. La voir avec cette brute me rendait agressif, j’étais jaloux. Lui aussi était jaloux de moi, et ça me faisait plaisir. Je prenais plaisir à être distingué, un peu bourgeois peut-être, élégant, et séducteur.
Elle a quitté ce type en hiver. Je m’en suis réjoui. Je fantasmais sur elle, mais elle ne semblait pas s’en rendre compte.
Un soir, j’ai tenté le tout pour le tout. Elle m’avait appelé mais je n’ai pu venir qu’au soir. Il faisait nuit, et froid. La consultation s’est bien passée, rien de méchant.
En repartant, je m’en suis voulu de n’avoir rien tenté. Elle était si désirable, et seule chez elle…je suis revenu sur mes pas et j’ai sonné. Elle m’a parlé par la fenêtre. J’ai dit que j’avais oublié mon écharpe, mais elle m’a dit que je me trompais.
J’ai insisté. Elle est descendue m’ouvrir la porte, étonnée par cette histoire d’écharpe. Elle a monté l’escalier devant moi, son joli petit cul moulé dans un jean balançait devant moi.
Elle m’a dit qu’elle était sûre pour l’écharpe et que je ‘lavais peut-être oublié ailleurs, et que sinon elle aurait pu me la rapporter le lendemain.
J’étais gêné, j’avais l’impression que j’allais prendre un vent puis je me suis dit qu’elle n’avait peut-être pas compris qu’elle me plaisait.
J’ai osé : « et bien comme ça, je passe encore plus de temps avec vous ! »
Elle s’est arrêté un instant et m’a regardé, étonnée, et m’a répondu « oh, dans le temps, les dames faisaient tomber leurs mouchoirs… ». J’ai répondu que les temps changeaient…
Arrivés chez elle, elle a refermé la porte, et m’a invité à regarder dans le salon. J’ai fait semblant de chercher, et en me retournant, elle était en train de retirer son chemisier. Elle s’est approché de moi, en soutien-gorge en dentelle noire, sur sa peau blanche, magnifique. Elle s’est collée contre moi et je l’ai embrassée à pleine bouche.
Elle a mis mes mains dans son dos pour que je dégrafe son soutien-gorge. J’en rêvais depuis des mois. J’ai caressé ses seins, ses tétons tout durs, je les ai léchés, elle s’est collée contre moi, et j’ai pris ses fesses à pleines mains.
Elle m’embrassait les yeux ouverts, caressant ma langue avec la sienne, caressant mes dents avec sa langue, mes lèves aussi, elle me rendait fou. Son regard plein de désir m’hypnotisait, et chacun de ses gestes était doux et d’une incroyable sensualité.
Elle a retiré son jean, sa culotte en dentelle noire, et je l’ai caressé doucement, comme une poupée que j’aurais pu briser, elle me regardait la caresser et gémissait doucement. Je me regardais en train de la caresser.
Elle m’a dit qu’elle avait envie de moi, et je suis entrée en elle, lentement, dans sa chatte mouillée et chaude, fait sur mesure pour mon sexe. Mes va-et-vient étaient lents comme elle le voulait ; je sentais qu’elle jouissait profondément, et j’étais sur le point de jouir. Elle l’a senti et a serré très fort mon sexe dans le sien, me faisant jouir intensément.
Nous nous regardions dans les yeux et nous nous embrassions avec douceur et volupté. Nous n’avons pas échangé un mot.
Puis, j’ai dû partir…et même sans écharpe je n’avais pas froid