Lopette un jour, lopette toujours
Je m’appelle Bénédicte, j’ai 47 ans, divorcée et je suis maîtresse de conférence à l’université, en littérature comparée. Mes élèves sont des étudiants d’une vingtaine d’années, préparant de longues études pour obtenir des postes élevés et prestigieux.
Naturellement, je me dois de soigner mon apparence et je prends soin de moi, grande, blonde avec cheveux méchés coupés au carré, le teint clair, lèvres pulpeuses, yeux bleus, silhouette mince et sculptée par le sport, j’ai des seins généreux et fermes dont les tétons pointent fièrement vers le haut, un petit cul bombé, et j’aime mettre ces atouts féminins en valeur en portant des tenues strictes mais féminines, moulantes, parfois décolletées.
Bien sûr, je surprends les regards admiratifs des hommes dans la rue, de mes collègues masculins mais aussi de mes élèves. Je dois dire que c’est assez flatteur de plaire à de jeunes hommes plutôt mignons.
Cette année, j’enseigne à des élèves de troisième année de licence, et je leur ai corsé la tâche en mettant au programme Rimbaud et Claudel. Mais j’ai un élève particulièrement doué et tenace que rien n’arrête, c’est un défi de le stimuler car il a beaucoup de facilité et il travaille beaucoup. Il est très assidu à mes cours, et toujours au premier rang.
Je vois d’ailleurs son regard pétillant me fixer, et parfois il me met mal à l’aise car je sens ce désir en lui qui me provoque. J’adore jouer avec lui, me pencher lorsque je porte un décolleté ou une jupe moulante fendue, et quand je me relève, je vois qu’il est tout rouge et j’aime ce petit pouvoir de séduction que j’ai sur lui…
C’est un blondinet, de taille moyenne, mince, passe-partout, toujours coiffé impeccablement avec sa raie sur le côté et ses cheveux bien plaqués. Il a un air de premier de la classe, c’est l’un des seuls élèves qui vient aux cours en costume ! Il détonne parmi ses camarades du même âge plus décontractés.
Un jour, j’ai voulu le connaître un peu mieux, alors, après le cours, je l’ai invité à me parler de son dernier travail sur Claudel. Nous avons échangé quelques points de vue et je lui ai demandé pourquoi il portait une tenue aussi stricte. Sa réponse m’a stupéfaite : « Madame, il est nécessaire que je m’habille ainsi, car je ne suis qu’une pauvre lopette, et la moindre des choses est que je soigne au moins mon apparence ».
Il assumait parfaitement sa soumission et je vis dans son regard qu’il rêvait d’être dominé. Moi qui adorais dominer les hommes, j’allais être comblée.
J’ai fermé la porte à clé , j’ai posé une règle sur le sol,et je lui ai dit « à genoux, lopette ». Fébrile, il s’est exécuté, en disant « oh merci maîtresse ! ». Je l’ai déshabillé moi-même, très lentement, en me moquant de son physique de freluquet « ah oui, tu peux le dire que tu es une lopette, et pas musclé en plus, rien de bien viril dans tout ça, tu es bien risible ! ». j’éclatai de rire. Il était tout rouge, a baissé la tête et a dit « oui, Maîtresse, pardon Maîtresse ».
Il bandait alors très fort, très dur et j’ai durci le ton « c’est inconvenant pour une lopette d’avoir une érection d’homme devant sa Maîtresse ! Qui t’a autorisé à bander, sale pute ? ». Il répéta lamentablement « pardon Maîtresse, je n’ai pas fait exprès ».
Je lui ordonnai de débander par tous les moyens possibles. Il se frappa les testicules, la bite, et celle-ci redescendit un peu. Je lui jetai un verre d’eau en riant : « tiens, sale chienne en chaleur, ça va peut-être t’aider ».
J’enlevai mon collant et je l’attachai à une chaise, nu. Je lui fis un strip-tease très lent, découvrant d’abord mes seins que je caressai et léchais devant lui. Il se remit à bander très dur et cette fois, c’est moi qui frappais sa bite : « non mais, sale chienne en chaleur, qui t’a permis de bander ? ».
Je continuai mon strip-tease, retirant ma culotte, et lui posai sur le visage, je lui ordonnai de la lécher en me regardant. Je me caressai le cul, la chatte, et assise en face de lui, les jambes écartées, je me caressai le clito qui gonflait et mouillait abondamment.
« Maitresse ? » dit-il. « je t’écoute », répondis-je. « Permission de bander ? » demanda-t-il d’une petite voix. Très contente de sa parfaite maîtrise, je l’autorisai exceptionnellement à avoir une érection. Puis je posai ma chatte sur sa bouche lui ordonnant de me faire jouir. Il s’activa et je mouillais très fort.
Puis je posais mes seins sur son visage de salope, et lui dit « c’est l’heure de la tétée, allez, suce, lopette ! ». Il suça mes tétons avec ravissement, bandant de plus en plus fort et dur. J’en profitai pour m’empaler sur lui en riant : « oh un sex-toy, je vais m’amuser avec une lopette ». Je fis de va-et-vient jusqu’à ce que je jouisse et je me retirai en lui ordonnant de nettoyer ma chatte avec sa langue. Ensuite, je l’ai détaché et l’ai autorisé à se branler comme une pauvre lopette avec mon collant, il a coulé son misérable jus de salope honteusement.
Je décidai de poursuivre son apprentissage ; Nous sommes aujourd’hui mariés et heureux, il est toujours bien soumis, et il a un poste à grandes responsabilités que je l’ai aidé à obtenir…
Voilà un texte qui de nouveau m’inspire. Voici une expérience que j’aimerai vivre. Le coté humiliation, se faire traiter de freluquet et se faire moquer, la maîtresse qui contrôle l’érection de son soumis en l’ordonnant de débander (ça j’ai connu). Puis la frustration, voir la maîtresse s’exhiber, faire un strip-tease avec interdiction de toucher. Ensuite la maîtresse fait de son soumis ce qu’elle veut, l’oblige à lécher ses seins et sa foune et l’ordonne de bander quand elle veut être pénétré car le sexe du soumis appartient à la maîtresse dont elle dispose quand elle veut. L’érection du soumis appartient à la maîtresse…Et …si elle veut la maîtresse peut préférer se donner à de beaux apollons devant le soumis et l’humilier encore plus…
Coucou toi,
J’ai pris plaisir à lire ce texte, très inspirant. Je me suis imaginée.
Effectivement tu m’avais indiqué que tu étais tombé sur des maîtresses expérimentées.
D’ailleurs ce texte comme tes expériences sont le type de soumission (humiliation, contrôle érection) que je préfère… Le mental joue beaucoup bien plus je pense si je ne dis pas de bêtises..
Prends soin de toi et je t’embrasse très fort…
La fois ou j’ai porté une culotte de femme durant toute une journée avec interdiction de bander, j’avais des frissons partout …Parce que l’excitation elle reste dans le mental. Ce jour là la maîtresse était loin …mais quand on est soumis on ne triche pas et j’ai vraiment joué le jeu jusqu’au bout. Parfois ma maîtresse après m’avoir interdit de bander prenait mon sexe au bout de ses doigt, serrait le bout et fallait que mon sexe diminue encore, ensuite elle se moquait de mon tout petit sexe qui par la suite pouvait devenir d’une grosseur assez conséquente quand elle en avait décidé.
Prends soin de toi également. Je t’embrasse.