Les enchères
Je suis soumis Joel, 48 ans, 1m70, 85 kgs, le front dégarni, les cheveux restants châtains clairs. Je suis entièrement glabre, et j’ai la peau blanche, fripée, flasque, je suis bedonnant, et pas très attirant.
Depuis 1 ans, j’appartiens à Maître Jacques, un bon Maître juste, qui m’a tout de suite plu physiquement. Agé de 65 ans, le front haut dégarni, les cheveux blancs couronnant son crâne, il a une belle moustache blanche, qui lui donne un air sévère de maître d’école.
Il a les épaules larges qui remplissent bien ses superbes chemises en popeline que je repasse avec amour, un ventre qui dépasse de ses beaux pantalons à pinces élégants et des jambes musclées. Il est très poilu, velu même, et j’adore cela, il est comme un ours, doux ou rugissant, impressionnant ou rassurant.
Maître Jacques m’a beaucoup appris durant cette année à ses côtés. A la fin de ma période d’essai de 2 mois, il m’a fait signer un contrat d’appartenance, mentionnant que j’étais bien officiellement son soumis et que je lui appartenais corps et âme.
Ce jour de cérémonie où je portais une robe blanche ridicule de mariée, qui faisait ressortir toutes mes disgrâces, j’étais aux anges et parfaitement à ma place. Maître Jacques était parfait, comme toujours, très élégant, et ses témoins, des amis maîtres de longue date assistèrent à la cérémonie.
Le contrat de soumission fut lu à haute voix tandis que j’étais à genoux, yeux baissés, robe relevée. A la fin, Maître Jacques m’accepta comme soumis, et lorsque je dis « oui » pour le prendre comme Maître, je fus fisté à fond comme une vraie cochonne et s’ensuivit une séance de godage, avant que je soies enculé par mon Maître chéri.
Heureuse comme une jeune mariée, je fis le ménage et préparai notre nuit de noces. Le lit de Maître Jacques était prêt, et mon sac de couchage à ses pieds m’attendait. Je déshabillai Maître Jacques pour son bain, et dans l’eau, je le savonnai doucement et le massai. Puis je l’essuyai et le rhabillai, toute émoustillée.
Maître Jacques m’ordonna d’enfiler ma chemise de nuit ridicule à bonnet, avec ouverture derrière, afin qu’il puisse me prendre comme bon lui semble. Il me menotta les poignets et les chevilles et m’ordonna de lui lécher les pieds. Je frétillai de désir, j’étais si excitée que ma queue voulait grandir dans ma cage, j’étais rouge et honteuse. Maître Jacques se mit à rire en me traitant de godiche vicieuse, et me poussa en avant dans mon sac de couchage. « un plug et au lit » dit-il en riant, m’enfonçant un plug dans l’anus avant de refermer mon sac de couchage.
Je demandai à mon maître chéri si il désirait quelque chose avant de dormir. Il me répondit qu’il n’avait plus besoin d’une empotée comme moi et alluma la télé et mata un film porno gay, avec de beaux étalons bien membrés, pas comme moi. Il me dit que décidément, comparé à eux, je n’étais vraiment qu’une pauvre lopette avec un mini-clito bien inutile. Je baissai la tête, et il rit : « tu ne croyais tout de même pas avoir une nuit de noces, pouffiasse ? ». J’étais très humiliée, et Maître Jacques se branla la queue devant son porno gay tandis que je savourais mon humiliation avec délice ; il jouit, et son sperme abondant, crémeux, épais, sortit en jet de sa belle queue que je désirais tant.
Dans son infinie bonté, Maître Jacques m’ordonna de le nettoyer, et je le fis avec application et beaucoup de plaisir, hum, quel bon goût viril, le sperme de mon maître adoré. Je fis des rêves soumis merveilleux cette nuit-là.
Le lendemain, j’apportai le petit déjeuner au lit à Maître Jacques en attendant les instructions ; il m’envoya faire la boniche, les courses, le repas, la lessive , le ménage, en tenue de soubrette, sans culotte, avec mon plug de mariée, j’étais aux anges.
Puis, le soir, Maître Jacques m’ordonna de m’habiller en pute, et de me maquiller outrancièrement. Je m’exécutai, toute excitée, chouette, nous allions sortir ! Je mis une jupe moulante noire très courte, des porte-jarretelles en dentelle, des bas en résille, des escarpins à talons aiguille de 12 cm et un haut moulant et décolleté rouge avec mes faux seins dessous. Avec ma perruque blonde, et mes bijoux, mon petit sac à main, j’avais l’air d’une vraie tapineuse. Maître Jacques faillait d’étrangler de rire « on dirait une vieille poule de bar, enfin, on fait ce qu’on peut, ma cocotte, allez on y va ». J’étais honteuse et j’adorais cela.
Maître Jacques m’emmena dans un club privé. Sur une estrade se trouvaient de très beaux jeunes soumis, très bien habillés, maquillés, sveltes et entretenus. Il me fit monter sur l’estrade, au milieu d’eux, j’étais ridicule. Il s’assit avec d’autres hommes. Puis une voix s’écria : « les enchères commencent ». Maître Jacques s’acheta un très beau jeune soumis de 25 ans. Les enchères montaient de tous côtés, sauf pour moi…et je fus acheté pour une misère par un monsieur âgé, à l’air très dur. Maître Jacques me dit qu’il avait regretté son acquisition avec moi et préférait maintenant du neuf. Mon nouveau maître me dit qu’il allait me prendre en mains très sévèrement et faire de moi sa pute. J’étais très humiliée, mais je ne perdais peut-être pas au change…