Les célibataires du week-end
Je m’appelle Max, j’ai 33 ans, je suis marié avec Ludivine, 32 ans depuis 7 ans. Nous sommes heureux et nous nous éclatons au lit.
Mais j’avoue que j’ai des tentations, j’ai beau me régaler avec ce que j’ai à la maison, j’ai toujours envie de savoir quel goût ont les fruits du verger à côté de chez moi…
Ca m’a pris, il y a deux ans environ, je regardais de plus en plus les femmes dans la rue, leurs fesses bougeant à chacun de leur pas, leurs culs ondulant, leurs seins en mouvement, leurs décolletés sensuels, me mettaient de plus en plus en émoi. Ma bite est devenue de plus en plus sensible à la vue de ces femmes sensuelles qui m’étaient désormais interdites.
Je me suis beaucoup branlé en pensant à elles, puis en regardant du porno, ou des cams shows dans lesquels je pouvais en plus dialoguer avec une hôtesse. J
e me suis inscrit et parfois, je payais pour demander un show en privé et demander à l’hôtesse des exhibitions super excitantes, le gode entre les seins, dans la bouche, la chatte, le cul, et en utilisant un petit appareil pour les faire vibrer de l’intérieur à distance.
Mais même si tout ça m’excite beaucoup et me fait couler des litres de sperme quand ma femme dort ou est absente, cela ne me suffit plus.
La meilleure façon de supporter la tentation est d’y céder.
Ma femme travaille souvent le week-end, elle n’a pas d’horaires très réguliers. Alors, je sors en boîte, assez loin, là où nous ne connaissons personne et j’enlève mon alliance.
Je plais aux femmes, grand, blond, les cheveux bouclés, les yeux bleus, le corps sculpté à la salle de sport, j’ai du bagout, et je sais y faire. Le premier week-end, je l’ai passé avec une nana rencontrée dans un bas, célibataire et en manque, très chaude, une blonde bien carrossée, avec des seins énormes, des lèves bien épaisses, des cuisses fermes et un bon cul bien rebondi.
Elle était super maquillée, habillée comme une vraie pute, et je n’ai pas cherché plus loin, elle me faisait trop bander.
On est allés chez elle, et on a clairement baisé tout le week-end. Elle adorait sucer ma bite, cette salope, et faire des branlettes espagnoles. J’adorais voir ma queue bien dure entre ses gros seins et caresser ses tétons bien gros et tout durs. Elle mouillait super fort, et je léchais longuement sa mouille sur son clito.
Puis, je prenais sa mouille sur mes doigts et je les enfonçais dans sa chatte, la faisant hurler de plaisir, et mouiller encore plus. Là, j’écartais es jambes, elle les mettait sur mes épaules et je la pénétrais bien profondément, et elle en redemandait en gémissant.
Je l’ai enculée bien profondément, limant son cul avec attention, et faisant claquer mes couilles contre son cul, en caressant son clito, elle avait un orgasme à chaque fois, le top, sa chatte se contractait autour de ma queue, et je giclais abondamment.
Je ne l’ai pas revue, j’ai des principes. Mais je garde un souvenir ému, et j’en bande souvent quand j’y repense. J’ai recommencé, plusieurs week-ends. Ma femme me téléphonait, et ne se doutait de rien, j’étais toujours aussi tendre et amoureux avec elle.
Puis, un week-end, elle a fait sa valise et m’a dit qu’elle ne rentrerait que le lundi soir ou le mardi. Elle m’a embrassé et est partie en voiture. J’étais très heureux de mon week-end prolongé.
J’ai pris ma voiture et suis parti avec un copain en virée, vers la Belgique, direction une boîte de nuit, avec gogo-danseuses et filles bien chaudes.
L’ambiance était très chaude, les gens draguaient à fond, les filles étaient très légèrement vêtues.
Mon ami et moi nous sommes rapprochés de la scène. Des gogo-danseuses pulpeuses se trémoussaient déjà à moitié nues, leurs corps ondulant autour d’une barre, et des mecs tout près cherchant à les toucher.
Mon pote m’a dit « regarde la brune, là, elle est trop bonne, super sexy, trop chaude ! ». Ma femme ! C’était ma femme, Ludivine, en mini soutien-gorge lamé qui ne cachait presque rien de ses gros seins, en culotte argentée, moulant ses fesses et les dévoilant beaucoup trop, maquillée comme une pute, en train d’exciter les mâles en dansant comme une vraie salope.
Elle est allée se trémousser en se collant à des mecs, et je suis allé la voir « tu n’as pas mis ton alliance, chérie, lui ai-je fait remarquer. « Toi non plus, mon cœur », m’a t-elle répondu en souriant.
Elle m’a alors révélé qu’elle était au courant de mes petits week-ends de célibataire et qu’au lieu de m’en priver, elle avait préféré en profiter, elle aussi.
Après tout, elle a raison et depuis ce jour, certains week-ends, nous sommes tous les deux célibataires.
Et oui, l amour a des pouvoirs magiques, que seul le dialogue peut dévoiler… si on ne peut pas parler, peut-être que l amour n est pas vrai … ♥️