Hubert bite

je m’appelle Hubert, j’ai 23 ans. Je suis chauffeur-livreur, à mon compte. Il n’y a pas longtemps, j’étais encore étudiant,e t j’ai eu besoin d’argent de poche, je suis doc devenu livreur pour une appli de repas chez des particuliers.

Comme je suis sportif, je peux tenir la cadence facilement. Puis, je m’entends bien avec les gens, je suis aimable et pas compliqué. Ma patronne m’a souvent dit qu’en plus j’étais beau garçon et que si elle avait 30 ans de moins…elle me ferait ma fête. Moi, je n’étais pas contre, une belle milf de 52 ans, ça ne se refuse pas.

Mathilde a des hanches larges, des gros seins bien ronds et fermes, un gros cul à tomber, et elle a une sacrée expérience. Je la laisse faire, elle sait s’y prendre avec moi et surtout avec ma bite. Elle la cale bien entre ses gros nichons et me fait une belle branlette espagnole, que j’aime ça, sentir ma queue coincée entre ses nibards bien chauds, le pied !
Puis elle lèche mon gland, elle ne s’occupe que de mon plaisir, et quand je me sens bien chaud, je la prends en levrette, je prends ses gros seins à pleines mains, je malaxe et je fais claquer ma bite contre son gros cul en faisant hurler sa chatte de plaisir.

On fait ça, une fois par semaine, quand on est tranquilles, et on varie les positions, et parfois, quand on n’a pas trop le temps, entre deux livraisons, elle me suce la bite dans un coin, et je crache mon sperme dans sa bouche de cochonne bien maquillée.

Il n’y a pas longtemps, j’ai été appelé pour livrer une cliente dans un quartier bourgeois de la ville. Une commande pour un resto chic et plutôt cher. Une grosse commande, ça devait être une sacrée fiesta chez les riches !

J’ai sonné à la porte d’une superbe villa aux volets fermés.

A travers la porte, une voix de femme plutôt grave m’a demandé qui c’était. J’ai répondu, le livreur.

La porte s’est ouverte et une main m’a fait signe d’entrer, ce que j’ai fait.

La femme derrière la porte était à moitié nue, elle portait juste un soutien-gorge en latex noir brillant avec des pressions en métal, et une culotte noire assortie avec des pressions à métal aussi.

Les invités étaient tout aussi peu vêtus . Les hommes portaient des pantalons moulants, torse nu, avec des nœuds papillons, et les femmes étaient en tenue de latex moulant, certaines se promenaient les seins à l’air soutenus par des corsets, très maquillées et hautaines.

L’hôtesse a pris ma commande et l’a posée sur une table et m’a dit de venir dans la salon pour le pourboire. Franchement, j’étais gêné, car j’avais déjà une grosse érection dans cette ambiance et en matant des femmes à moitié nues.

Elle marchait devant moi en ondulant des hanches, son cul superbe balançait et sa culotte me laissait voir ses fesses charnues, dans lesquelles j’aurais aimé croquer…

Elle m’a donné un pourboire important, et je l’ai remerciée en la dévorant des yeux…son soutien-gorge s’était dégrafé devant, et ses seins magnifiques pointaient vers moi. Ses tétons roses étaient tendus, ses aréoles larges étaient hypnotiques. Elle a souri, a pris mes mains et les a mis sur ses seins nus. Je n’ai pas pu me retenir, je les ai caressés doucement, j’ai fait ponter ses tétons entre mes doigts, elle gémissait un peu, et m’a embrassé à pleine bouche, sa langue tournait dans ma bouche, effleurait mes dents, ma langue, mes lèvres, et ses tétons caressaient mes mains.

Je l’ai attirée contre moi, et j’ai plaqué mes mains sur son superbe cul. Sa culotte a cédé, elle était nue, sa chatte était toute mouillée. Je l’ai doigtée, et elle a crié de plaisir. Elle a sorti ma bite, et a commencé à la branler, j’étais super excité.

Tout le monde nous regardait, je ne savais pas si il fallait arrêter ou non. J’avais un peu honte, à poil devant tout le monde, et en même temps, je bandais encore plus fort.

Les gens se caressaient en nous regardant, c’était super chaud. Ma partenaire m’a léché la bite, certaines femmes se rapprochaient pour admirer, et me caressaient vite fait la queue en passant, puis retournaient caresser leur partenaire, se frotter contre eux.

Finalement, ma partenaire m’a poussé vers un divan confortable et m’a chevauché devant tout le monde dans un coin du salon. Elle a pris ma queue dans sa main douce et l’a mise dans sa chatte en feu.
C’était une très bonne cavalière, qui savait tenir sa monture, et se cambrer quand il le fallait. Ses seins balançaient, quelle vue magnifique !

Tout le monde regardait, en se pelotant, en baisant, c’était la fête, et j’ai joui comme un fou en même temps que ma cavalière inconnue.

Elle m’a demandé mon prénom, au cas où, j’ai répondu Hubert….et ses invités ont ri en disant, on s’en souviendra : « Hubert Bite ! », le champion de la livraison à domicile !

Je suis parti la queue toute chaude et trempée avec l’adresse en poche…