Ce soir, c’est carnaval
C’est la saison du carnaval et comme chaque année, avec des amis on se retrouve dans une grande maison pour faire la fête entre nous. Chaque année un thème différent mais à chaque fois le même plaisir et la même euphorie.
D’habitude, on reçoit un e-mail avec le thème choisi, l’heure et le jour. Cette année, notre hôte a décidé de faire les choses en grands : j’ai reçu une très belle boîte avec à l’intérieur une magnifique cape avec une capuche en velours rouge, un ensemble de lingerie parfaitement à ma taille en dentelle et un masque qui couvre la partie supérieur du visage : du nez jusqu’à au front, il s’attache avec un ruban en satin à l’arrière de la tête. Il y a une petite carte sur le dessus indiquant une heure, un lieu et comme consigne de venir vêtue avec les vêtements ci-joint et les cheveux attachés en chignon caché sous la capuche. Voilà qui était intriguant et très excitant.
Le jour venu, je me prépare et m’apprête avec beaucoup d’entrain. Je m’habille, me tartine de crème pour avoir la peau douce et satinée, je me coiffe comme indiqué sur la carte. Et je prends la route, toute excitée.
A mon arrivée sur place, il y a déjà une vingtaine de personnes dans la magnifique demeure qui nous accueille. Les femmes sont toutes vêtues de la même façon et les hommes portent également une cape avec capuche, un masque identique à celui des femmes et un boxer très moulant bleu marine. Il est impossible de deviner qui est qui.
Je me mets dans un coin du salon, je me sers un verre et j’observe attentivement les personnes autour de moi. Dans un coin à l’écart, je vois déjà une femme aux formes généreuses qui branle un homme au corps d’Apollon, je ne peux pas voir leurs visages mais les deux semblent y prendre beaucoup de plaisir. J’ai dû mal à les quitter du regard, j’aurais bien envie de me joindre à eux. Je les fixe depuis 5 bonnes minutes déjà, quand l’Apollon me fait signe de les rejoindre. Sans l’ombre d’une hésitation, je me retrouve à enlever le soutien gorge de l’inconnue et je me mets à lui sucer les seins. Sous mes coups de langue, je l’entends gémir pendant qu’elle continue de branler avec vigueur la magnifique queue de notre cher ami. D’un geste affirmé, elle attrape mon visage et me guide vers un gland luisant d’excitation que je ne traîne pas à prendre en bouche. Je constate avec plaisir que quelques personnes nous regardent avec envie… quand tout d’un coup je sens une main se glisser dans mon string et commence à titiller mon clitoris à la perfection. Je n’ai aucune idée si il s’agit d’une main féminine ou masculine ce qui m’excite davantage. Je me sens littéralement couler d’excitation. Je continue de sucer cette magnifique queue tout en lui caressant sa magnifique paire de couilles bien rondes et lourdes pendant que des doigts se glissent dans ma chatte toute dégoulinante. Je me concentre sur la queue que j’ai entre les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Je le branle avec mes lèvres, je joue avec ma langue sur son gland, je bave tellement que ça coule sur mes seins. Je bouillonne de l’intérieur, j’ai la chatte en feu avec toujours des doigts inconnus à l’intérieur. Je sens mon corps entier qui brûle d’excitation, en plus des doigts dans ma chatte, j’ai l’impression de sentir une langue maintenant mais sans voir ce qui se passe, mes sens me jouent peut-être des tours. J’ai perdu de vue la femme aux formes généreuses mais j’ai toujours mon Apollon entre les lèvres et vue les coups de reins qu’il me met dans la bouche, j’ai l’impression qu’il va pas tarder à exploser. Quelques secondes après avoir reçu son sperme dans ma bouche, je sens de nouveau des mains me saisir le visage, une langue s’enfonce dans ma bouche pour chercher le foutre restant. Décidément cette soirée est pleine de surprises.
Quand la personne relâche son étreinte, je constate que c’est une femme que je n’avais pas encore remarqué.
Après autant d’émotions, je décide de prendre la route pour rentrer chez moi avec encore des souvenirs inoubliables de ce carnaval si particulier.
Décidément, tout est prétexte à la luxure, à la débauche, et au stupre, mon Dieu !!!
Heureusement, que chez nous, les puritains, le carnaval se passe dignement dans la foi, et dans le respect de l’autre, certainement pas, o grand jamais, comme vous le décrivez si crûment et honteusement dans votre texte.
Vive le puritanisme, à bat le libertinage !!!