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Raphaëlle,
Je suis tout excité, j’ai la trique. Ma grosse queue est si dure que j’en ai presque mal, mon gland en forme de casque de pompier perle déjà de quelques gouttes de foutre… Le pantalon n’arrive évidemment pas à cacher tout ça. Je souhaite d’abord me branler comme un chien, face à toi. Tu es assise sur le rebord du lit et tu attends que j’ouvre ma braguette. Je t’ordonne de relever ta jupe et d’écarter les cuisses puis de placer tes doigts sur le tissu de ta culotte pour masser ton bouton d’amour en matant ce que je m’apprête à faire. Moi aussi, jolie putain, je ne te quitte pas des yeux.
Je te déballe mon engin, en prenant le temps de délicatement te sortir mes burnes bien pendantes (je sais que tu aimes ça, espèce de bonne salope, voir une pine toute dressée avec de lourdes couilles qui se détachent du reste : un magnifique service trois-pièces, rien que pour toi). Une fois les présentations faites, je commence à empoigner cette longue tige et, à l’aide de mon viril poignet, je la secoue en quelques aller-retour bien cadencés qui font danser mes valseuses sous ton nez. Ah tu as envie de sortir ta langue pour les lécher, pas vrai ? Attends un peu, crache dessus. Voilà, c’est ça, mets-y beaucoup de salive ! Quelle véritable petite dégueulasse, tu fais. La marque d’une bonne gagneuse qui sait comment lustrer les bourses de son salaud de mac.
Regarde-moi ça : voilà que cette bonne grosse queue bien veineuse et toute visqueuse vient de se poser sur ta jolie petite gueule de poufiasse. Tu sens cette chaleur, cette humidité émanant de tes crachats de grosse cochonne ? Je te laisse alors tout le loisir de t’en imprégner, en baladant ta petite truffe pour renifler comme si tu tapais un rail de coke sur toute la longueur de mon sexe. Tu es déjà accro à son odeur. Je frotte ma bite sur tout ton visage, singeant l’essuie-glaces, pour étaler toute cette bave. Tu es sale de mon désir, une vraie petite souillon, tu n’en peux plus et tu exultes : tu râles de plaisir, en continuant de te doigter telle la bonne femelle en chaleur que tu es. Je t’insulte de grande catin bourgeoise et tu me réponds par l’affirmative d’un mouvement de tête. « Frappe-moi, je suis ta pute à toi. Corrige ma tronche ! » Et je m’exécute, je te bifle sévèrement. Eh oui, de bonnes grosses gifles de bite, pour t’apprendre le tapin.
Habillée comme une sombre garce, je te ferai porter des jupes si courtes qu’on devinerait le début de ton gros cul de jument. Je n’ai envie que d’une seule chose, quand je vois ce splendide pétard si bien mouillé, te tirer par la crinière (en queue de cheval, évidemment) pour te cambrer et te faire galoper sous mes rafales de bite. Oh, ma belle donzelle, ma petite pétasse d’intérieur, comme j’ai hâte de te mettre jusqu’à la garde ! Sauf qu’on n’en est pas encore à l’étape de la tringle et tu n’arrives déjà plus à te tenir soumise sous mes baffes onctueuses qui rebondissent sur tes joues. Car tu veux me sucer, me pomper le nœud ! Alors tu chopes mon zeub avec l’une de tes mains (pétrissant mes baloches de l’autre) et tu l’enfonces dans ta bouche. Ah, la goulue !! Tu avales complètement mon sabre jusqu’à la glotte, un vrai tour de magie.
De grandes quantités de salive dégoulinent sur ton menton, sur ton cou pour finir par se loger dans ton décolleté. Entre tes deux gros nichons, c’est tout brillant. Un long filé de bave touche même le sol, tellement tu te goinfres de ma poutre. Tu bourres littéralement ton gosier, comme une grande professionnelle, puis tu lâches mes couilles et ma bite pour poser tes deux mains de chaque côté de mon cul en plantant tes longs ongles vernis dans ma peau. « Vas-y, mon beau salaud ! Donne-moi un tarif bien salé ! » Tu m’encourages à aller encore plus loin, activant mon bassin pour donner de grands coups de reins au fond de ta gorge ! Alors j’y vais, je baise cette gueule avec vigueur. Je me branle littéralement avec ta bouche humide, en t’immobilisant la tête avec mes grosses pognes de salopard bien pervers…
(À suivre.)
P.S : N’hésite surtout pas à réagir, pour continuer de faire bander ton Pierre !
Mon Pierre,
Voilà, j’ai réussi à lire ton message. Laisse-moi m’en imprégner… en distiller toutes les facettes et, comme ça m’excite à mort, j’ai envie de me lâcher par écrit. Seulement, pour l’instant je ne suis pas disponible. J’ai besoin d’un peu de temps pour te répondre intensément, foutrement et …
Alors, je te répondrai longuement… La réponse sera à la hauteur du message. Fais-moi confiance.
Bien sexuellement à toi.
Raphaelle
Raphaëlle,
Je te souhaite une très bonne année : des mois, des semaines, des jours, des heures et des secondes sans le moindre problème de santé à l’horizon. Le plus important, c’est de continuer de vivre le plus longtemps possible, dans les meilleures conditions. Il en va de même pour ta famille et tes proches, bien entendu. Après, du beurre dans les épinards ne fera évidemment pas de mal… Allez, que tes finances se portent également au mieux !
En bonus, pour 2024, j’espère que les nombreux amants présents dans ton carnet d’adresses viendront honorer comme il se doit la sacrée coquine pleine d’expérience que tu es (tu le mérites). Bref, beaucoup de plaisir et d’orgasmes pour colorer le quotidien.
Bon, dans ce message, tu auras noté que je suis plus soft. Pour des vœux, un peu de retenue, c’est toujours mieux. Après, tu sais bien ce qui se passe quand on retient la pression en dessous de la ceinture… Elle finit toujours par exploser !
Pierre en douce
P.S : Désormais, si tu le veux bien, restons exclusivement à cet endroit pour échanger. C’est tellement plus tranquille pour se lâcher, n’est-ce pas ? Prends autant de temps qu’il te faudra pour me répondre. Surtout, profite de ces derniers jours de vacances pour finir de te ressourcer et revenir ici plus chienne que jamais.