Mélanie

3 602 réactions sur “ Mélanie ”

1. 

   Cedric 17 décembre 2019Réponse

   Coucou ma petite chérie
   Je ses pas si j aurais le temps de t écrire après
   Alors je le fais maintenant

   Mélanie ma chérie
   Tu et une hôtesse une amante formidable que j adore énormément 🙂 🙂
   J aime cette complicité se petit jeu qu il y a entre nous mi ange mi démon que tu es humm et j adore sa on. S amuse beaucoup tout les deux et ton coter ange me plait de plus en plus Mélanie j aime cette douceur que tu a elle te va si bien
   Je te souhaite de belle fête de fin d année
   En attendant de mettre le petit jesus dans la crèche lol ho le coquin que je suis lol
   Je t embrasse tendrement
   Cedric

   • 

     Mélanie 18 décembre 2019Réponse

     Bonjour mon petit chéri,

     Ton appel de ce matin m’a fait énormément plaisir, tout comme ton message sur mon mur 😉

     Je suis désolée de savoir que tu vas tant travailler pendant les fêtes mais je suis heureuse de savoir que je te retrouverai après, pour des moments tendres, confessions torrides et que nous pourrons approfondir notre jolie relation tous les deux .

     Tu m’as bien cernée, j’ai ce côté démon très prononcé, je suis taquine mais aussi très douce 😉

     Je te souhaite de bonnes f^tes aussi d’avance, en famille, profite quand tu pourras, je t’embrasse fort,

     Mélanie

2. 

   Bruno 16 décembre 2019Réponse

   Bonjour grande et sublime melanie,vos nouvelles photos sont magnifiques,ultra sexy et bandante….j aime lorsque vous etes assise a cote du feu sur mon ventre,oh pardon sur votre pouf !..et avec un livre toute nu…corps incroyable la perfection !..l autre fois j ai ecoute une com. Et me suis masturbe sur votre voix devant vos photos…helas souvent en dialogue quand j appel…mais avec un peu de chance je finirai par vous avoir…sur le 08….en prive peu pas car ma carte bancaire me sert uniquement pour retirer de l argent mais pas pour payer….carte gratuite sans frais…je fais des economies un peu partout,pour pouvoir beaucoup faire du tel rose….car j adore ça et c est ma passion…tu le sais bien je sers qu a faire cela…..et les hotesses m aiment beaucoup,elles sont toutes mes copines,et puis il faut bien des lopes comme moi pour que le tel rose perdure et donne un salaire aux filles.
   Ta grosse lopette,ton porc qui n arrive pas a perdre du bide(j aime trop la bouffe).sache que j ai ete voir une tra ns ultra sexy,elle a bien rigole sur ma tronche,et j ai reçu une…..sur mon….chut tabou.a bientot melanie.bisous ton lard.

   • 

     Mélanie 17 décembre 2019Réponse

     Bruno,

     Ton message me fait très plaisir mon gros lardon. Il y a du gros dossier en perspective avec la trans, il va vraiment falloir que je t’ordonne de t’accrocher un peu plus pour m’avoir sur le 08… Tu dois me raconter cela en détails ! Imaginer en regardant mes photos que tu es le gros pouf sur lequel je pose mon délicieux derrière est une image qui me plait beaucoup, je pourrais faire cela pendant des heures, en t’oubliant, pour lire un bon bouquin ou regarder un film, c’est à cela que servent les gros porcs dans ton genre, de fauteuil pour leur maitresse vénérée… Trop d’honneurs pour toi peut-être?

     A très vite mon tas de saindoux,

     Maitresse Mélanie

3. 

   DAVID70 15 décembre 2019Réponse

   Mon petit coeur de cinéphile… ♡
   Voici la fameuse et tant attendue liste du père noël…
   Pour toi et tous les cinéphiles du réseau… Enjoy mes amis…!

   ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
☆LISTE FILMS NOËL 19☆
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆


   LA MACHINE A EXPLORER LE TEMPS, 1959, de George Pal.
   Culte. Culte. Culte. Avec de petits moyens toute l’ingéniosité du metteur en scène de tom pouce et des amours enchantés, qui réalise là de loin, son meilleur film. Et la meilleure version de cette histoire fantastique avec rod taylor (les oiseaux de hitchcock, le jeune cassidy de ford, le dernier train du katanga où chuka le redoutable). Des décors magiques, la machine en elle même est très bien faite, et il y a yvette mimieux, jolie blonde innocente et les monstres morlocks qui se nourissent de chair humaine.
   Je ne compte plus les séances où j’ai visionné ce chef d’oeuvre ! Vivement la prochaine pour noël !
   MIRACLE SUR LA 34ÈME RUE, 1947, de George Seaton. Maureen o’hara et natalie wood enfant, si on veut croire au vrai père noël, un film très touchant et incontournable.
   L’HOMME TRANQUILLE, 1952, de John Ford.
   Le duke, john wayne et maureen o’hara la reine du technicolor, (l’un des plus grands couples mythiques, cinq films ensemble). L’Irlande fantasmée et ses valeurs, magnifiée par la caméra d’un poète et génie du cinéma qui a influencé tant de cinéastes dont sergio leone et clint eastwood entre autres.
   Maureen o’hara, des perles d’aventures comme le cygne noir, 1942, de henry king avec tyrone power, film de pirate et corsaires, comme aussi, « pavillon noir », 1945, de frank borzage, à recommander également.
   LA FLIBUSTIÈRE DES ANTILLES, 1951, de Jacques Tourneur.
   L’un des plus merveilleux film de pirates jamais tourné, avec jean peters dans le rôle titre, debra paget et louis jourdan. L’un de mes trois films préférés du réalisateur avec rendez vous avec la peur et la féline. Autre film de corsaires à recommander, « barbe noire le pirate « , de raoul walsh, 1952, avec linda darnell et robert newton (l’île au trésor de disney).
   PRINCE VAILLANT, 1954, de Henry Hathaway.
   Robert wagner dans un film de chevalerie culte, avec aussi james mason en méchant félon et janet leigh (miss tony curtis à la ville).
   D’autres films de chevalerie comme, le serment du chevalier noir, 1954, avec alan ladd, l’armure noire, 1955, avec errol flynn, richard coeur de lion, 1954, avec rex harrison et la trilogie la plus connue de la chevalerie avec ivanohe, 1952, les chevaliers de la table ronde, 1954, et quentin durward, 1955, tous trois avec l’excellent robert taylor.
   MOBY DICK, 1956, de John Huston.
   L’un des maîtres réalisateurs les plus respectés et a juste titre. Gregory peck dans une de ses meilleures compositions, le film d’aventure dans toute sa splendeur et démesure. Une chasse à la baleine blanche diabolique et inoubliable.
   Pour les défenseurs des animaux comme moi, un crève coeur. A noter la présence de orson welles en prêtre.
   20 000 LIEUES SOUS LES MERS, 1954, de Richard Fleischer.
   Kirk douglas (qui vient de fêter ses 103ans le 9 décembre là, respect à l’une des plus grandes étoiles que hollywood a jamais connue), en harponneur ned land. James mason en génial capitaine nemo, le souffle de la grande aventure de nos rêves d’enfants. Jules verne tu nous a tant fait rêver !
   Un film de chevet pour moi !
   CITIZEN KANE, 1941, de et avec Orson Welles.
   Le chef d’oeuvre incontournable de l’un des grands génies du 7ème art, qui a réalisé des bijoux comme « la splendeur des amberson »,(42), et « la soif du mal », (58), où encore « la dame de shanghaï », (48), avec rita hayworth (gilda). Un seul mot. Rosebud !
   LA VIE EST BELLE, 1945, de Franck Capra.
   James stewart et donna reed (une de mes actrices chouchous, un regard triste, particulier et envoûtant), un film qui parle d’anges surtout mais pas que… De fraternité aussi, l’un des films cultes les plus diffusé aux fêtes de fin d’année. Capra le maître des valeurs humanistes, un mec que je chéris très fort pour des films comme, arsenic et vieilles dentelles, (44), avec cary grant, l’homme de la rue, (40), et l’extravagant mr deeds, (36), tous deux avec l’immense gary cooper, où mr smith au sénat, (39) et vous ne l’emporterez pas avec vous, (38), avec le délicieux james stewart qui avec henry fonda ont représentés les bonnes valeurs de la famille et bonne conscience américaine pendant des décennies.
   BEN-HUR. 1959. De William Willer.
   Tout a été dit sur ce film culte. L’affiche disait le plus grand film de tous les temps. Je partage complètement !
   L’odyssée d’un juif après une trahison amicale, le conduisant à être un galérien, qui va rencontrer jésus de nazareth, jusqu’aux jeux du cirque et la vengeance finale, et l’amour retrouvé de sa famille. Un souvenir de jeunesse fabuleux car vu au cinéma au début des années 80, pour une ressortie, merci papa !!!
   Ben-hur a fait de moi un cinéphile acharné, l’oscar tant mérité pour son interprète principal charlton heston, un film de chevet, le préféré de mon père, un des films les plus diffusés chez nous malgré sa longueur.
   Ah ben-hur, la bataille des galères, la vallée des lépreux, la crucifiction, le méchant messala joué à la perfection par l’irlandais stephen boyd. Sa course de chars légendaire évidemment, de près de vingt minutes à elle seule, sur un film de trois heures trente. Moi perso j’aurais bien pris une demie heure de plus. Une course de chars sur laquelle un jeune assistant italien du nom de sergio leone a travaillé à sa motricité avec des astuces qui rendirent cette séquence plus réaliste et mieux filmée de l’intérieur. Au final, onze oscars bien mérité. Le film culte de toute une génération de cinéphiles. La musique tonitruante et incroyable du hongrois miklos rosza que je possède en cd et qui est l’une des bandes sonores de film que j’apprécie le plus. Rarement une musique ne colla autant à la perfection aux images défilant sur l’écran.
   Encore un grand compositeur de musique de film miklos rosza, qui a mis en musique des films comme « assurance sur la mort », 1944, « la maison du docteur edwards, 1945, « quo vadis », 1951, « le roi des rois », 1961, entre autres…
   LAWRENCE D’ARABIE, 1962, de David Lean.
   Peter o’toole de lord jim (65), et la nuit des généraux, (66), dans son plus grand rôle. Avec aussi une pléiade de stars comme anthony quinn, alec guiness, omar sharif, anthony quayle, arthur kennedy, jack hawkins.
   Le plus beau film sur le désert. Envoûtant et captivant. Un livre d’images d’une beauté sans pareille de trois heures et demie.
   De david lean aussi pour les fêtes, « le docteur jivago », 1965, fresque grandiose de plus de trois heures avec omar sharif, julie christie, alec guiness, rod steiger, geraldine chaplin, sir ralph richardson. Une des plus belles histoire d’amour qui soit, avec une musique comme pour lawrence d’arabie du légendaire maurice jarre, le papa de jean michel, et oui !
   La fille de ryan, 70, autre chef d’oeuvre de trois heures de lean, avec sarah miles et robert mitchum.
   LE BAL DES VAMPIRES, 1967, de Roman Polanski.
   Le film préféré de son auteur. Moi aussi !
   La beauté de sharon tate, des décors fabuleux dans une très belle reconstitution de la transylvanie sud carpathique. Avec jack macgowran (cul de sac), dans le rôle du professeur abronsius, polanski lui même, son jeune apprenti alfred, et ferdy mayne en comte von krolock. Hilarant ! La meilleure parodie de dracula et des films de vampires. Eu la chance de le voir au cinéma dans une ressortie dans les années 90. Un des films que j’ai le plus vu dans ma vie. Une cinquantaine de fois probablement entre vhs, diffusion télé, satellite et dvd. Sortez vos incisives et les gousses d’ail. Aie !!! Ça fait mal, arrêtez de mordre et de sucer mon sang. Et sucez moi autre chose. J’ai dérapé. Sorry ! La perche était trop belle ! Ah ah ah. Une musique géniale et inoubliable de krzysztof komeda, dès le début du générique avec le lion qui se transforme en vampire et les gouttes de sang qui coulent sur tout le générique. Du grand art ! MERCI m’sieur polanski de m’avoir fait tant rêvé gamin jusqu’à aujourd’hui encore, avec votre chef d’oeuvre qui traverse les âges. A voir, à revoir, à re-revoir jusqu’à plus soif. De sang évidemment !
   LA PARTY, 1968, de Blake Edwards.
   L’immense et fantasque peter sellers de la série des panthère rose, a recommander chaudement aussi… Les cinq films, « la panthère rose », (64), « quant l’inspecteur s’emmele », (64), « le retour de la panthère rose », (75), le meilleur et plus délirant pour moi, « quant la panthère rose s’en mêle », (76), « la malédiction de la panthère rose », (78), et le dernier où peter est décédé pendant le tournage, « a la recherche de la panthère rose », (80)…
   La party donc, une des plus folles comédie de tous les temps qui vous pliera de rires comme jamais, un conseil ne mangez pas pendant, sinon risque d’étouffement !!!
   Tous les blake edwards sont des bijous, je recommande de lui également, « micki et maude », 1984, « elle », 1979, avec bo derek et julie andrews et l’incroyable comique méconnu aussi dudley moore, (arthur où les fous de la pub, une défense canon avec eddy murphy), victor, victoria, 1982, james garner, julie andrews, boire et déboires, 1987, bruce willis et kim basinger, il y en a tant…
   Blake edwards et billy wilder sont pour moi les meilleurs réalisateurs de comédie classique aux usa avec capra aussi…
   Le TOUR DU MONDE EN 80 JOURS, 1956, de Michael Anderson. (Orca).
   Avec l’acteur anglais parmi les meilleurs, le david le plus célèbre pour moi, david niven. Hommage à toi mon david. Un très grand ! Regardez sa filmo il y a pas beaucoup de médiocre…
   Citons entre autres
   La version intégrale de ce film dure près de trois heures, sortie enfin en dvd au début 2000. Un grand spectacle très divertissant, d’après jules vernes.
   Un casting éblouissant avec également shirley mclaine, en passant par franck sinatra, robert newton, fernandel, marlene dietrich…
   Et un inconnu cantinflas dans le rôle de passe-partout…
   Du beau monde tout ça…
   SAMSON ET DALILA, 1949, de Cecil B. De Mille.
   Un péplum indémodable et juste sublime au technicolor flamboyant de la paramount, avec le premier monsieur muscle de hollywood, le sous estimé et géant victor mature dans l’un des rôles majeurs de son atypique carrière. Et la beauté incroyable de la tentatrice dalila, interprétée par Hedy Lamarr une des plus belles actrices du classique années 30-40, quasi inconnue et oubliée de nos jours, alors qu’on lui doit tant, ne serait-ce que au niveau inventions et technologies.
   N’est ce pas mélanie toi qui est fan. Tu sais ce dont je parle…
   QUO VADIS, 1951, de Mervin Le Roy.
   Péplum mythique de l’âge d’or, un technicolor de folie, plus de trente mille figurants pour ce joyau du studio mgm, mon film préféré des deux stars, robert taylor, deborah kerr.
   La folie de l’empereur neron joué admirablement par peter ustinov, le rôle de sa vie. La chanson mythique lors de l’incendie de rome. Oh oh turbulente flamme, oh oh force divine… Omnipotent pouvoir salut. Toute la puissance du cinéma hollywoodien à grand spectacle, une machinerie qui nous faisait ressentir de puissantes et belles émotions.
   Un cinéma défunt de nos jours, c’est fini tout ça hélas. Le cinéma tel qu’il fut et jamais plus ne sera.
   Cette phrase a été longtemps l’accroche de présentation de la chaine cinéma, tcm france.
   SOUS LE PLUS GRAND CHAPITEAU DU MONDE, 1952, de Cecil Blount De Mille. Probablement la super production la plus ambitieuse, faramineuse, et célèbre sur le monde du cirque. Les autres grands films de cirque sont « trapèze », 1956, de carol reed, avec burt lancaster, tony curtis, et gina lollobrigida (salomon et la reine de saba), et « le cirque fantastique », 1959, de joseph newman avec victor mature, rhonda fleming, vincent price, peter lorre (m. le maudit).
   Un casting énorme dont james stewart en clown blanc, cornel wilde en trapéziste, le grand sébastien, betty hutton, et avec un jeune charlton heston déjà imposant et charismatique, avant les rôles qui ont fait de lui une icone intemporelle du 7ème art, une légende, comme ben-hur, (59), où les dix commandements, (56), les boucaniers, (58), unique réalisation de l’acteur anthony quinn, qui vient seulement de sortir en dvd chez nous début décembre avec aussi yul brynner (le roi et moi, 56,).
   Autres charlton heston mémorables, le cid, (61), les 55 jours de pékin, (62), l’extase et l’agonie, (65), karthoum, (66), la planète des singes, (68), tremblement de terre, (74), l’appel de la forêt, (72), soleil vert, (73), 747 en péril, (74), tous les films cités méritant de faire partie de la sélection car ce sont tous des grands classiques.
   MARY POPPINS, 1964, de Robert Stevenson. (réalisateur maison chez disney), tout le charme et l’émotion disney de la grande époque avec des chansons inoubliables qui ont fait de julie andrews l’une des grandes et emblématiques actrices des années 60 avec entre autres aussi « darling lili »,(66), « la mélodie du bonheur », (65), de robert wise qui fait partie aussi de cette sélection de films festifs, une comédie musicale ☆☆☆☆☆
   Tout le monde voudrait une nounou comme la délicieuse mary poppins.
   Un seul mot magique !
   Supercalifragilisticexplialidocious !!!
   (Mot inventé qui fait nous sentir mieux quant on le prononce en entier)…
   NOËL BLANC, 1954. De Michael Curtiz.
   Un grand classique de la tradition de noël avec le crooner bing crosby et danny kaye.
   MY FAIR LADY, 1964, de George Cukor.
   L’homme qui paraît-il, filmait le mieux les femmes à hollywood et qui donne à rex harrison l’un des cinq rôles clés de sa carrière. Les autres sont à mon avis, « Cléopâtre », 63, avec le couple burton-taylor, où il joue jules césar, « l’aventure de madame muir », 47, avec gene tierney, de joseph leo mankiewicz, « l’extravagant docteur doolitle », 67, de richard fleischer, où encore « guêpier pour trois abeilles », 67, toujours de mankiewicz (chaînes conjugales, eve, la comtesse aux pieds nus, le reptile, le limier). Un rôle en or pour audrey hepburn, qui a beaucoup contribué à sa légende. Un film magique que je viens de revoir, les chansons sont directement doublées en français dans notre version, pour ce fleuron unique de la grande comédie musicale hollywoodienne. L’histoire d’une jeune fille du ruisseau marchande de fleurs de son état, qui va être prise en main par un lord, le professeur higgins et son acolyte le colonel pickering, (wilfrid hyde withe).
   Son éducation phonétique pour mieux se tenir et savoir parler en société vont en faire une grande lady. Un des meilleurs film musical à mon goût, avec chantons sous la pluie, (gene kelly, le maître danseur du genre avec fred astaire), le roi et moi, west side story, (natalie wood), mary poppins, la mélodie du bonheur, brigadoon, (gene kelly),où les blues brothers plus récemment, « fame », « flashdance », « new york-new york » (de niro-liza minnelli) de scorsese, où encore l’incroyable « amadeus », de milos forman sur mozart avec tom hulce dans le rôle titre. My fair lady est ma comédie musicale préférée de l’âge d’or avec brigadoon et mary poppins…
   VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE, 1959, de Henri Levin. D’après jules verne, une adaptation fantastique qui fait partie des rêves qui nous ont fait tant aimé le cinéma. James mason dans un de ses grands rôles, un des plus brillants acteurs britanniques qui a jamais existé. Un monde oublié aux lézards géants, qui cotoient des cavernes mystérieuses, des découvertes scientifiques surprenantes, un conseil n’oubliez pas vos lampes de ruhmkorpff !
   LES QUATRE CAVALIERS DE L’APOCALYPSE, 1961. De Vincente Minnelli.
   D’un des meilleurs cinéastes de hollywood, spécialisé dans la comédie musicale de prestige, « brigadoon », 1954, (ma préférée de lui), « le pirate », (48), où « tous en scène », (53), avec cyd charisse (les plus belles jambes d’hollywood), « un americain à paris », 1951, avec encore gene kelly, « gigi », (58), leslie caron (lili), et louis jourdan (lettres d’une inconnue).
   Les quatre cavaliers raconte la montée du nazisme en europe qui va jusqu’à diviser une grande famille en argentine.
   Un des rôles prestigieux de glenn ford, avec aussi charles boyer (hantise de cukor), lee j. cobb, grand second rôle vu entre autres dans l’homme de l’ouest de anthony mann,(58), avec gary cooper, les frères karamazov de richard brooks, (57), avec yul brynner (inedit en dvd chez nous), vertes demeures de mel ferrer, (59) avec audrey hepburn et anthony perkins.
   Un film de 2h30 dans une ambiance très oppressante et prenante.
   LE GRAND BAZAR, 1973, de Claude Zidi.
   Le meilleur de l’esprit potache de nos charlots nationaux avec les bidasses, la grande java et autres « charlots font l’espagne », « les fous du stade », et autres à hong kong en parodie de james bond, où en mousquetaires.
   En france aussi on savait faire du cinéma.
   Le bon cinéma populaire, populiste, franchouillard cher à audiard, par un des plus grands cinéastes français de la comédie avec Gérard Oury où Philippe de Broca bien avant Danny Boon (excellent par ailleurs, mon préféré de lui, rien à déclarer).
   Une pochade delirium tremens. A se tordre par terre. Le rire par le rire et pour le rire. Cocorico !
   Mon film préféré de la bande à rinaldi…
   MONSIEUR PATMAN, 1980, de John Guillermin.
   Le réalisateur de la tour infernale et de king kong.
   Bien avant vol au dessus d’un nid de coucou, un rôle dramatique extraordinaire pour james coburn, (flint, il était une fois la révolution, les 7mercenaires, la grande évasion, pat garret et billy le kid), en rédempteur d’âmes, qui aide son prochain dans un hôpital psychiatrique. Une fin inattendue et bouleversante.
   Un film inédit encore en dvd chez nous. Juste un scandale ! Disponible que en vhs et sur le satellite si ces messieurs veulent le rediffuser car rare, très et trop rare…
   MAGIC, 1980, de Richard Attenborough.
   L’histoire d’un ventriloque et de sa marionnette qui pas à pas prend le pouvoir sur l’esprit de l’illusionniste. Un film à redécouvrir impérativement !
   Les débuts de sir anthony hopkins. Et la belle suédoise ann margret, (cactus jack, mon beau légionnaire, l’amour en 4ème vitesse avec elvis), et burgess meredith (le pingouin dans la série télé 60′, batman, et surtout l’entraîneur de rocky stallone). Un drame poignant et inoubliable.
   LA TOUR INFERNALE de John Guillermin. 1974.
   Le plus grand film catastrophe de tous les temps ! Steve mc queen on t’aime ! Avec aussi paul newman, faye dunaway, robert wagner, fred astaire, jennifer jones, robert wagner, richard chamberlain, quel casting !
   A recommander aussi de mcqueen, « le kid de cicinnati », de norman jewison (65), « l’affaire thomas crown », (68) du même réalisateur, et « la canonnière du yang tsé, de robert wise (66), « papillon », de franklin schaffner (73)…
   BIGFOOT ET LES HENDERSON, 1987. De William Dear.
   La créature légendaire le Bigfoot, sorte de abominable homme des neiges, dans une truculente comédie familiale des plus touchantes. Disponible en dvd français que récemment. Avec john lithgow (le méchant de cliffhanger avec stallone et l’esprit de cain chez de palma), et melinda dillon. Le cinéma pleins de bons sentiments pour petits et grands sans prise de tête, du pur fun…
   LES GOONIES, 1985, de Richard Donner.
   (les superman avec christopher reeve et les arme fatale avec mel gibson). Un film d’aventure pour petits et grands totalement culte, on aimerait faire partie de la bande, et aller en quête du trésor de willy le borgne. Un film dont on ne peut se lasser. Nos âmes d’enfants y sont indéniablement restées attachées.
   GREMLINS, 1984, de Joe Dante.
   Le réalisateur du génial « explorers », (85), peut-on se passer de ces créatures féroces en période de noël ? Difficile. Un film tradition qui chaque année chez moi fait partie de la fête. Je possède d’ailleurs la peluche gizmo mais je me risquerais pas à lui donner de l’eau et à manger après minuit. Ah ah ah. Sais-on jamais ! Incontournable succès populaire mérité.
   Au revoir billy.
   KING KONG, 1976, de John Guillermin.
   Ma version préférée du gorille géant, un film culte au romantisme assumé, vu une cinquantaine de fois pour ma part.
   Les débuts d’un des grands acteurs des 80/90, jeff bridges, fils d’une des grande lignée d’acteurs, son père lloyd, star des années 40-50, et son frère beau, (susie et les baker boys avec son frère et michelle pfeiffer), avec les familles fonda, sutherland, et sheen, des acteurs de père en fils. Jessica lange à ses débuts avant frances, et la version vénéneuse du facteur sonne toujours deux fois de bob rafelson avec le grand jack nicholson. La musique sublime est signée john barry, l’un des plus grands compositeurs cinéma (l’un de mes trois préférés avec john williams), avec lalo shiffrin, victor young, alfred newman, elmer bernstein, alex north, maurice jarre, bernard hermann, john williams, hans zimmer. Je ne nommerais pas ennio morricone qui est pour moi hors concours vu que c’est mon idole et chouchou !
   Pour les compositeurs français je citerais michel magne, georges delerue, francis lai, vladimir cosma, françois de roubaix…
   Barry c’est des james bond, danse avec les loups, out of africa, la série télé culte, amicalement votre, avec tony curtis, et roger moore, entre autres…
   UN FAUTEUIL POUR DEUX, 1983, de John Landis
   Le meilleur eddy murphy, (48hrs, le flic de beverly hills, un prince à new york, golden child), avec également dan ackroyd, (s.o.s fantômes), et jamie lee curtis (halloween).
   Tel est pris qui croyait prendre serait la devise du film…
   FANTÔMES EN FÊTE, 1988, de Richard Donner.
   Bill murray dans un conte fantastique pour retrouver le véritable esprit de noël.
   Émouvant et drôle. Dans l’esprit conte de noël, « le grinch », avec jim carrey où une comédie délire comme « the mask », valent aussi le coup d’êtres revues…
   WILLOW, 1988, de Ron Howard.
   Une histoire fantastique dans un monde de pouvoirs magiques contre les forces du mal de la reine bavmorda.
   Apprentis sorciers sortez vos baguettes magiques. Le film qui m’a fait découvrir un val kilmer au top !!! L’apprenti sorcier de Disney avec nicholas cage et monica bellucci est excellent aussi plus récemment…
   CONAN LE BARBARE, 1981, de John Milius.
   La mythologie schwarzie en marche avant terminator.
   Un des sommets de l’heroic fantasy avec une musique emphatique forte de basil poledouris.
   EDWARD AUX MAINS D’ARGENT, 1990, de tim burton.
   Film culte qui lança vraiment la carrière d’un johnny depp qui allait devenir une star planétaire grâce aux films de son maître et mentor. Tim burton, devenu pour moi le maître incontesté du fantastique, un pur génie ! Toutes les oeuvres de tim burton sont des bijoux d’inventivité et de créativité totale. Sa dernière création, « dumbo », est encore un tour de force spectaculaire, big eyes juste avant, était tiré d’une histoire vraie, et était tout aussi touchante.
   JACK FROST, 1998, de Troy Miller.
   Un conte de noël fabuleux.
   Un père de famille qui a négligé son fils de par ses activités de musicien, meurt dans un accident de la route, et revient par l’intermédiaire d’un harmonica magique, près de sa famille, transformé dans le bonhomme de neige devant la maison.
   Vont suivre des tribulations rocambolesques pour pas que le bonhomme de neige fonde et que l’adolescent ne perde son père une seconde fois… La très belle kelly preston joue la maman, (madame john travolta à la ville) et mon film préféré pour moi de michael keaton qui joue le père, acteur des deux premiers batman de tim burton, de « l’enjeu », un polar noir avec andy garcia et de mes doubles ma femme et moi avec la trop belle andie mcdowell, de gun-ho du saké dans le moteur de ron howard, de la voix des morts où encore de my life avec nicole kidman…
   La fin est très émouvante avec une scène à la ghost (patrick swayze-demi moore), avant qu’il ne parte définitivement vers les étoiles. Revu tout récemment. Un film méconnu fabuleux que j’apprécie tout particulièrement dans cette période.
   GHOST, 1990, de Jerry Zucker.
   Un film poignant avec une b.o du tonnerre, demi moore au sommet de sa sensualité, quant elle avait encore des formes, patrick swaize de dirty dancing, lui aussi au sommet, sans oublier whoopi goldberg en médium déglinguée.
   Un film qui a marqué toute une génération. Dans le même style, « always », 1989, de steven spielberg avec richard dreyfus, holly hunter, et la dernière apparition au cinema de audrey hepburn, qui joue hap, une espèce d’ange qui accueille dreyfus au paradis à sa mort…
   JOUR BLANC, 2000, de Chris Koch.
   Le trépidant chevy chase en présentateur météo délirant avec ses chemises hawaïennes en plein hiver. Un film simple mais qui se passe pendant les fêtes avec beaucoup de neige. Il neige fort, les enfants vont pas à l’école. Et quant le chasse neige vient, complot des chérubins pour empêcher le déblaiement et ainsi éviter le plus possible de retourner à l’école.
   Très bonne comédie quasi pas connue, passée sur paramount channel.
   ET, 1982, de Steven Spielberg.
   De 7 à 77ans. Tout le génie d’un grand maître du cinéma. Retourner maison !
   Que de larmes versées !
   LE CHIEN DES BASKERVILLE, 1959, de Terence Fisher.
   Une production phare de la firme culte anglaise, hammer, avec les deux frères siamois, christopher lee et peter cushing qui ont tournés dans une vingtaine de classiques de l’horreur et du fantastique ensemble. La plus célèbre enquête de sherlock holmes, et pour moi la meilleure adaptation ciné.
   LES AVENTURES DE ROBIN DES BOIS, 1938, de Michael Curtiz.
   Errol flynn associé à olivia de havilland pour un monument du cinéma d’aventures. Errol flynn autres incontournables, avec capitaine blood, 1935, l’aigle des mers, 1940, gentleman jim,1942…
   LE SAPIN A LES BOULES, 1989, de jeremiah chechick avec le très grand chevy chase.
   Dont je rends hommage ici une fois de plus, car peu le connaissent en france, bill murray, dan ackroyd, où john candy, (rasta rocket), eddy murphy, sont nettement plus connus que lui, il mérite autant qu’eux, à mon humble avis, car c’est un comique né aussi, issu comme les autres cités du show télé us mythique, saturday night live.
   Voir ses grands films comme, « funny farm », « les nouveaux associés », « le maître des lieux », « les deux fletch », « les aventures d’un homme invisible », de carpenter, « le coup du siècle », « le golf en folie », « trois amigos », « drôles d’espions », de john landis, encore inédit chez nous en dvd, inconcevable !
   Les déboires de la famille griswold pendant les fêtes de noël. Des scènes tordantes avec la recherche du sapin déterré à même la forêt, l’écureuil, le chat grillé près du sapin et les tentatives pour illuminer toute la maison du sol jusqu’au toit avec des milliers d’ampoules, en présence de la belle famille, oncles et tantes…
   Troisième opus d’une série de films cultes de la comédie américaine des 80′, les national lampoon vacation en original dans le texte, avec les deux « bonjour les vacances », et le dernier, « vacances a las vegas », 97, qui narrent les tribulations d’une famille hautement rocambolesque…
   Les débuts de Juliette Lewis ici dans le sapin, vue ensuite avec tarentino dans une nuit en enfer où kalifornia avec brad pitt.
   Avec aussi la belle beverly d’angelo, (une des compagnes de al pacino), vu dans « doux dur et dingue », aux côtés de clint eastwood que je recommande aussi avec sa suite « ça va cogner », deux comédies délires avec l’orang outang clyde, star à part entière des deux super comédies du géant clint. Doux dur et dingue à été en son temps le plus grand succès eastwoodien au box office recettes. Comme quoi une légende comme eastwood ne sait pas faire que des polars à la inspecteur harry où des westerns où des drames. En cousin eddie, randy quaid trouve avec la dernière corvée de hal ashby avec jack nicholson et midnight express de alan parker avec brad davis, l’un de ses meilleurs rôles.
   TITANIC, 1998, de James Cameron.
   La superproduction aux onze oscars, égalité avec ben-hur de william wyler.
   Le naufrage romancé par une magnifique histoire d’amour, du plus célèbre paquebot du monde.
   Qui est en train de renaître de ses cendres et d’être reconstruit à l’identique, lubie d’un milliardaire nostalgique. Il sera bientôt en service. Et si il suivait la même destinée que son prédécesseur ? Ce serait glaçant !
   AUTANT EN EMPORTE LE VENT, 1939, de Victor fleming avec olivia de havilland, vivien leigh et clark gable.
   L’un des films les plus mythiques de l’histoire.
   Tara la plantation, l’incendie d’atlanta, les costumes et la démesure d’une reconstitution d’époque. Trois heures et demie de folie, le roman de margaret mitchell n’a pas fini de faire couler de l’encre et des couleurs…
   LE MAGICIEN D’OZ, 1938, de Victor Fleming avec judy garland.
   La version classique de la mgm, aux couleurs surréalistes. Un film qui met invariablement de bonne humeur !
   DANSE AVEC LES LOUPS 1990. De Kevin Costner.
   Un western fleuve de quatre heures pour la réhabilitation des indiens. Avec le sous titrage de la traduction du langage sioux lakota pour plus de réalisme. Le film culte de kevin costner mérite bien cette sélection, pour l’histoire magnifique, les décors naturels, la musique de john barry, le loup, les bisons, les comédiens, notamment graham greene vu aussi dans « coeur de tonnerre « , (92) un des meilleurs val kilmer, et aussi dans « la ligne verte » (99), avec tom hanks, recommandée aussi dans cette sélection annexe…
   LES AMANTS DU CAPRICORNE, 1949, De Alfred Hitchcock.
   Un film magnifique en costumes et une belle histoire d’amour par le maître du suspense britannique. Ingrid bergman et joseph cotten font un couple glamour, et aussi michael wilding, sur fond de folie, d’alcool et de romantisme. Un bien beau film… Pépite que j’apprécie énormément de tonton alfred…
   L’HOMME DES VALLÉES PERDUES. 1952. De George Stevens.
   Un western psychologique, profond, empli de nostalgie, bourré d’émotions…
   Alan Ladd dans le rôle de sa vie, celui de shane… Film grâce auquel l’année suivante il fut consacré acteur le plus populaire du monde au côté de marilyn, en 1953…!

   Je recommande également la course aux jouets avec shwarzenegger, les deux, maman j’ai raté l’avion, avec le petit blondinet adorable, macauley culkin.
   La première trilogie stars wars ainsi que celle du seigneur des anneaux.
   La trilogie retour vers le futur avec le génial michael j. fox…
   Les indiana jones avec harrison ford…
   Les don camillo avec fernandel…
   Les allo maman ici bébé, avec john travolta et kirstie alley.
   Les six premiers tarzan de johnny weismuller, le meilleur des tarzan, période 30/40, avec un acteur champion olympique de natation et qui possédé par le rôle qui fit sa gloire, et qu’il interpreta douze fois en tout, finit chez les dingues en hôpital psychiatrique en fin de vie, où il poussait le célèbre cri du conquérant de la jungle !

   Des films d’animation comme les toys story, shrek où autres âge de glace ont aussi mon agrément, car je suis très ouvert et grand public. Des classiques de disney dont le roi lion qui vient d’être refait en vrai film et que j’ai hâte de voir…
   Dans les dessins animés encore, je recommande don bluth un ancien de chez disney qui a fait des films géniaux comme, « brisby et le secret de nimh », « poucelina », « fievel et le nouveau monde », « anastasia », « le petit dinosaure et la vallée des merveilles », « charlie », des films pas que pour les enfants…
   D’autres dessins animés comme « balto chien des neiges » où « le géant de fer », « les indestructibles », sont excellents…
   Dans les français, « le roi et l’oiseau », de paul grimault.
   Madame doubtfire pour le numéro de transformiste spectaculaire du regretté et génial robin williams, meilleur acteur comique de sa génération.
   Toys, flubber, good morning vietnam, le cercle des poètes disparus, aussi pour robin williams peuvent faire partie de la sélection.
   La trillgie des « mon beau père et moi », avec ben stiller et robert de niro, et celle de « la nuit au musée », ben stiller toujours et robin williams encore…
   Des charlie chaplin comme « le dictateur », « les feux de la rampe », « le kid », « les temps modernes », « les lumières de la ville ». Des laurel et hardy, comme, « fra diavolo », « bons pour le service », « les compagnons de la nouba », « les conscrits », « la bohémienne », « au far west, et tant d’autres. Des abbott et costello pourquoi pas, notamment ceux où ils se battent contre tous les monstres légendaires universal, momie, loup garou, frankenstein, l’homme invisible, jeckyll et hyde…

   Un vrai cinglé de cinéma de frank tashlin, 1956, avec le duo légendaire dean martin-jerry lewis et un chien dobermann encore plus cabot que ses deux illustres partenaires. Les scènes avec lui sont à pleurer de rire… Avec la sublime anita eckberg (la scène de la dolce vita dans la fontaine de trevi).
   Une des comédies les plus déjantées des années 50, âge d’or du cinémascope et du technicolor.
   Ma décennie hollywoodienne préférée.
   Peut on décemment oublier marilyn monroe dans cette sélection de fêtes, évidemment non !
   Certains l’aiment chaud de Billy Wilder, 1959, avec aussi tony curtis et jack lemmon travestis en femmes et engagés dans un orchestre féminin pour échapper à des gangsters est désopilant. Une des plus grandes comédies de tous les temps.
   M’en lasse toujours pas…
   Je suis un homme !
   Personne n’est parfait !
   Une des répliques et une fin de film les plus cultes de tous les temps !

   Des films et encore des films, toujours des films…

   Trois perles de la science fiction, parmis les meilleures de la décennie, « le jour où la terre s’arrêta », robert wise, 1951, avec michael rennie (chef de la série les envahisseurs), et patricia neal, « les survivants de l’infini « , 1955, de joseph newman avec faith domergue, et le plus connu des trois, « planète interdite », 1956, de fred m. wilcox avec walter pidgeon, anne francis et leslie nielsen (y a t’il un flic pour sauver la reine, le président et autre hollywood, lui aussi à recommander car un des meilleurs comiques des 80′-90′).
   Chien de flic, 1989, de rod daniel avec James belushi et un magnifique berger allemand appelé jerry lee, une comédie policière unique et irrésistible…
   Des films de cape et d’épée hollywoodien, comme scaramouche, 1952, de george sidney avec le beau ténébreux stewart granger, le prisonnier de zenda, 1952, de richard thorpe avec encore stewart granger, et pour finir avec mister granger, mon film chouchou de lui, les contrebandiers de moonfleet, 1955, de Fritz Lang, avec aussi le grand georges sanders, (1ere version du village des damnés), de l’aventure et des costumes chatoyants.
   Fritz Lang et son tombeau hindou et son tigre du bengale. Renversant !
   Des films du petit acteur légendaire indou, sabu, avec alerte aux indes, le livre de la jungle où le voleur de bagdad.
   Cape et épée à la française comme cartouche, 1961, de philippe de broca avec belmondo, et la tulipe noire, 1963, de christian jacques avec alain delon, et fanfan la tulipe, 1952, du même réalisateur avec l’extraordinaire gérard philippe et la belle gina lollobrigida. Avec elle aussi, notre dame de paris, 1956, de jean delannoy avec aussi anthony quinn.
   Avec anthony quinn, la strada de fellini, 1954, avec giulietta masina, mon film préféré du réalisateur culte.
   C’est plus une sélection c’est une anthologie encyclopédique. Lol.
   Je vais m’arrêter là, sinon… Lol.

   Voilà j’espère que cette « petite » sélection, vous aura plue… Cette liste est une superproduction à elle seule, plus de trente mille caractères pour l’écrire…

   Je vous souhaite de joyeuses fêtes cinéma en bonne compagnie à toutes et tous, par avance, et surtout à la fille qui nous réunit tous ici… Miss mélanie ! MERCI de nous permettre de nous exprimer chérie, tu es un amour… ♡

   PS : R.I.P à anna karina une belle actrice, égérie de godard qui vient de nous quitter…

   Gros bisous ma kiki…

   ☆Ton petit poète cinéphile☆

   • 

     Mélanie 16 décembre 2019Réponse

     David70,

     Dit mon chouchou 😉

     Ta sélection de Noël est un ravissement. Un hommage vibrant au cinéma populaire, un éclectisme qui me parle. Tu as mis en valeur les titres des films et c’est très agréable à lire et relire. Merci pour ton travail. Grâce à toi, je découvre des perles et des anecdotes. Je vais te dire ceux que je regarderai avec plaisir, ceux qui ont retenu mon attention et qui me parlent le plus 😉 Tu connais ma sensibilité et mes gouts, alors tu ne seras pas étonné plus que cela !

     MIRACLE SUR LA 34ÈME RUE, 1947

     Un film de Noël à l’ancienne, avec la regrettée Nathalie Wood que j’apprécie beaucoup tu le sais..

     MY FAIR LADY, 1964, de George Cukor

     Pour la pétillante et dynamique Audrey Hepburn, un classique que je me dois de voir et même peut-être d’acheter!

     LE SAPIN A LES BOULES, 1989, de Jeremiah Jhechick

     Le titre m’a furieusement donné envie, fou rire garanti j’imagine déjà !

     NOËL BLANC, 1954. De Michael Curtiz

     Film de Noël à l’ancienne avec Bing Crosby que je n’ai jamais vu jouer auparavant!

     LE MAGICIEN D’OZ, 1938, de Victor Fleming

     Tu sais que j’apprécie beaucoup Judy Garland, je ne suis pas fan de comédies musicales mais sa voix m’emporte…

     Concernant les autres, j’en ai vu certains et aimé beaucoup d’autres comme de doux plaisirs à retrouver chaque année qui rappellent l’enfance et l’insouciance : Les Gremlins, Les Goonies, Gone with the wind etc….

     Très envie de voir aussi SAMSON ET DALILA, 1949 pour la belle Hedy Lamarr, à voir dans Extase, disponible sur YouTube, la même trame que l’amant de Lady Chatterley, un de mes romans cultes, la première scène d’orgasme féminin au cinéma…

     Merci encore de m’avoir fait découvrir ces perles, je vais prochainement me pencher sur la filmo d’Herzog 🙂

     Je te fais de doux baisers et te dis à très bientôt,

     Ta petite fée confidente

     Mélanie

4. 

   L'amoureux de l'art. 14 décembre 2019Réponse

   Salut Mélanie,

   Ravi de voir que mon message t’ait plu.

   Mais, moi aussi, j’aime les vieilleries et les classiques, notamment en matière de musique noire americaine, avec tous ces artistes des 60’s et des 70’s, et évidemment Prince pour les années suivantes (bien qu’en ce moment, je me régale avec ses inédits de 81/83, issus des rééditions avec bonus de « 1999 » et « Purple Rain »), avec leurs enregistrements sur pistes magnétiques, et non pas analogiques comme maintenant, de titres + soul et funky les uns que les autres, avec de magnifiques instruments comme l’orgue Hammond, le Farfisa, le Fender Rhodes, ou le Clavinet, et tous ces cuivres pour agrémenter le tout…Bref, une autre époque, dans laquelle, je pense, les musiciens étaient vraiment des musiciens, si tu vois ce que je veux dire.

   Idem pour le cinéma, Cassavetes a-t-il actuellement des héritiers qui se réclament de lui, et de son style ? Heureusement, il reste de cette époque de grands, très grands, réalisateurs, comme Scorsese*, dont je regrette que la dernière oeuvre « The Irishman », aussi excellente paraît-il que les précédentes (« Casino », « Les Affranchis », ou « Rating Bull »), soit diffusée uniquement sur Netflix, n’étant pas abonné, au lieu de profiter au plus grand nombre, avec une sortie en salle (tu l’auras compris, je ne suis pas un partisan de ces plateformes, comme Netflix, ou Amazon Prime Video, mais bien un irréductible des salles de ciné).
   En parlant d’un autre grand metteur en scène, tu as donc pu découvrir et apprécier le 1er Terrence Malick, réalisé en 1973, « Badlands » (en français « La ballade sauvage ») avec le couple Martin Sheen, futur soldat envoyé en mission au Vietnam, pour éliminer un colonel devenu fou (« Apocalypse Now », tourné en 1979 par un autre grand : Coppola, avec un très grand acteur : Brando), et Sissy Spacek, future interprète principale du « Carrie » de De Palma, pas mal lui aussi, en 1976 (évidemment, d’après le 1er roman, publié en 1974 par un très grand écrivain : S.King), avant donc d’aller voir son dernier « Une vie cachée ».

   *Woody Allen, Spielberg, Polanski, ou disparu comme Milos Forman, sans oublier les « nouveaux » : Tarantino, Soderbergh, Gray, Nolan, ou Villeneuve…

   Sinon, j’espère que ça ne te dérangera pas, je ne viendrai pas sur le réseau pour discuter avec toi, car après des années à fréquenter les services de tel rose, notamment celui-là + un autre avec un prénom féminin composé, j’ai décidé d’arrêter il y a 2 ans, préférant en suivre les actualités via le service en ligne (telrose.fr), et grâce à la messagerie pouvoir échanger avec telle ou telle hôtesse, en fonction de son intérêt (lequel n’est pas physique en ce qui te concerne, je te rassure ce n’est pas pour tes photos, aussi sexy qu’elles peuvent l’être, que je t’ai contacté, mais pour ton goût de la culture).

   @ la prochaine.

   L’amoureux de l’art (et des femmes).

5. 

   Mélanie 13 décembre 2019Réponse

   David70, dit mon chouchou 😉

   Le bug est général ne t’inquiète pas, ce sera vite réglé 🙂

   Gros bisous,

   Hâte de lire ta sélection de Noël !

   Ta petite fée confidente

   Mélanie

   • 

     DAVID70 15 décembre 2019Réponse

     Merci chouchou,

     Je préfère cela, car c’était frustrant, c’est comme si on devait jouir et que la sauce ne sorte pas… Lol. Quelle calamité. Tous ces bugs qui nous pourrissent la vie…
     Heureusement que ce n’est que temporaire…
     J’espère que tu vas bien et que tu t’es bien reposée ma douce petite fée, bien au chaud avec ton petit gremlin kiki…
     Je regarde beaucoup de films. Je pense à toi. Ma liste de noël est prête, j’ai beaucoup travaillé dessus hier et aujourd’hui, elle a été faite avec amour, avec passion et avec coeur. Je te l’envoie dans la foulée en tête de liste de ton mur des passions…
     A de suite par l’écrit et très bientôt par la voix en privé et sur l’audiotel.
     Bisous, bisous. ♡

     Ton petit poète cinéphile.

6. 

   L'amoureux de l'art. 12 décembre 2019Réponse

   Salut Mélanie,

   Comme toi, j’aime le (très bon) cinéma, et je ne sais pas pour toi, mais également la (très bonne) musique noire, ou afro, americaine.

   Concernant le 1er, est sorti mercredi le dernier Terrence Malick : « Une vie cachée », qui selon certains critiques ciné, est le meilleur film de l’année, voire même le meilleur de ce réalisateur américain, qui en 46 ans n’a tourné que 10 films, avec une interruption de 20 ans entre « Les moissons du ciel » (1978) et « La ligne rouge » (1998), lequel m’a fait découvrir son univers cinématographique si particulier, et si intéressant.
   Il a tout de même obtenu la Palme d’Or, par la suite, avec « The tree of life », à la fois beau et déroutant.
   J’irai le voir ce week-end, ainsi que le 2ème film d’Edward Norton, sorti mercredi dernier, et tout aussi bon, mais dans un autre registre : « Brooklyn Affairs ».
   Evidemment en V.O, car pour moi, le cinéma ne peut se voir, se comprendre, que dans sa langue originale.
   Sinon, je fréquente régulièrement les salles obscures : 2 à 3 films / w-e.

   Concernant la 2ème, je suis un fan de rhythm’n’blues, soul, et funk : James « The Godfather of Soul » Brown (aka « Mr Dynamite », ou « The hardest working man in showbusiness ») est ma principale source musicale, mais aussi d’artistes comme Rufus Thomas, Otis Redding, Ray Charles…and many more, de labels légendaires comme Stax, Motown, ou Atlantic, et plus récemment d’un autre, qui est sans doute le meilleur actuellement dans ce genre, from Brooklyn N-Y : Daptone Records, avec les regrettés Sharon Jones (quelle voix, et quelle présence sur scène !!!), et Charles Bradley (quelle émotion dans sa voix), tous 2 disparus, il y a 2 à 3 ans.
   Mais surtout fan, que dis-je, addict d’un autre (immense) musicien (chanteur, auteur, compositeur, arrangeur, et producteur) disparu en avril 2016 : Mr Nelson, plus connu sous le nom de PRINCE (Rodgers Nelson), dont le mot « artiste » semble avoir été créé pour lui, tellement il était inspiré par la musique, et les instruments (tous sauf les cuivres et les cordes), toujours en train de créer de nouveaux sons, en perpétuelle création musicale jusqu’à ses derniers jours.
   D’ailleurs, je me suis procuré la version bonifiée de son album « 1999 », sortie fin novembre (dont l’original date de 1982), avec notamment des inédits directement issus de son fameux « Vault » (de son studio de Paisley Park), son coffre-fort musical, dans lequel il rangeait tous les masters de ses enregistrements, si nombreux, que de prochains albums pourraient sortir chaque année, pendant au moins 20 ans.
   J’ai également son livre autobiographique « The beautiful ones », sorti fin octobre, évoquant les 1eres années de sa vie.

   Voilà, Mélanie, j’espère que les sujets traités dans mon message t’ont intéressée.

   @bientôt.

   L’amoureux de l’art.

   • 

     Mélanie 13 décembre 2019Réponse

     Bonjour Amoureux de l’art,

     Je suis agréablement surprise par ton message. Il attise ma curiosité à ton égard et me donne très envie de converser avec toi. J’ai un fonctionnement différent concernant ma manière de m’adonner à ma passion pour le cinéma. Je ne vais que très rarement dans les salles obscures mais j’achète beaucoup de DVD. J’aime fréquenter les cinémas d’arts et d’essais proposant une programmation moins grand public (sans élitisme aucun), des rétrospectives me permettant de découvrir ou redécouvrir des perles oubliées, j’y ai vu un chef-d’œuvre du génial Terrence Malick qui m’a donné une belle claque : La balade sauvage de 1973, je compte aller voir son nouveau film, j’en ai entendu énormément de bien tout comme toi . J’ai un faible pour les vieilleries, les classiques, que ce soit en littérature ou en cinéma. Je n’ai pas une grande culture musicale et je vais te décevoir à ce niveau j’imagine mais j’écoute très peu de musique! J’aime certains opéras mis je n’y suis allée en voir que très rarement. Ceci dit, j’aime découvrir et en entendre parler. J’ai la chance d’avoir sur le réseau et en conversations privées, des hommes qui m’appellent et me font partager leurs gouts musicaux entre autres. La curiosité est là en tout cas et j’ai pris plaisir à te lire. Tu pourrais peut-être m’initier et me faire aimer ce que tu aimes en matière de musique qui sait?

     Ma liste de films à voir et à revoir pour te donner une idée de ce que j’aime (en VOSTRE bien entendu c’est mieux, j’ai néanmoins besoin des sous-titres, au moins en anglais car mon niveau n’est pas parfait) :

     Cinéma asiatique et japonais en particulier

     Le pornographe d’ Inamura

     Cinéma classique Hollywoodien des années 30/40/50/60

     Les désaxés

     Cinéma français:

     L’amour maudit de Leisenbohg

     Un film de Cassavetes pour voir ce que cela donne !

     Shadows

     Et moult autres!

     Mélanie

7. 

   jacques 10 décembre 2019Réponse

   melanie je t ecris ce message flocon est revenu de chez le veto il l a soigne il avait six trous de dents il a des antibiotiques a prendre et une semaine sans sortir j ai hate que cette semaine passe pour lui ce n est pas drole c est la journee international des animaux de compagnie j espere que ton kiki adore vas bien je t embrasse tendrement je vais travailler mais il faut etres prudent en ouvrant les portes a tres vite mon coeur biz

   • 

     Mélanie 11 décembre 2019Réponse

     Coucou mon Jacques,

     Désolée pour Flocon, la chatte sauvage qui l’a agressé ne l’a pas manqué… Il va ronger son frein quelque temps en ne sortant pas mais il ne t’en tiendra pas rigueur (suite à notre échange de ce matin ;))
     Nos petites boules de poils ne sont pas rancunières!
     Heureuse d’avoir pu discuter à plusieurs reprises avec toi ces derniers temps,
     Kiki va bien, il a la pêche et il joue à la balle comme un dingue!

     Je te fais de gros bisous,

     Mélanie

8. 

   Mélanie 9 décembre 2019Réponse

   Un petit message pour Bertrand,

   Désolée d’avoir raccroché mais on venait taper chez moi pour un problème de fuite d’eau!

   A la prochaine,

   Gros bisous

9. 

   Ton Voisin 8 décembre 2019Réponse

   Salut,
   Que tu es marrante, en attendant sagement buvant ton thé en rêvassant.

   • 

     Mélanie 9 décembre 2019Réponse

     Coucou,

     Heureuse de te faire doucement rire 🙂
     Toujours de bons moments dans la réciprocité

     Mélanie

     • 

       Ton Voisin 12 décembre 2019Réponse

       Merci pour cette réplique fabuleuse. Tu es une excellente partenaire de scène. Bises

10. 

    jacques 6 décembre 2019Réponse

    j ai besoin de tendresseavec toi et surtout de moments plus intimes en prive peux tu me donner tes moments de dial prive flocon n est pas sorti cette nuit la il dort sur le lit du fils hier avec les collegues de boulots on a pendu la cremaillere pour la nouvelle loge toute neuve je te dirais en prive ce que j ai ete obliger de faire chez moi dans ma cuisine et ton kiki que fait il ,, merci pour ton message venant de toi je suis flatte tu degages beaucoup de serenite et de confiance c es rassurant bises partout sur ton corps de deesses; a tres vite

    • 

      Mélanie 7 décembre 2019Réponse

      Mon chéri,

      Très envie d’un privé avec toi également, je vais me connecter aujourd’hui et demain également. Des horaires t’arrangent plus que d’autres?

      Un énorme bisou à Flocon et toi,

      Kiki s’amuse avec sa balle lumineuse 😉

      Mélanie