Léonie

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Fantasme avoué au téléphone rose

En tant qu’hôtesse de téléphone, j’entends tous les jours des confessions intimes très excitantes sexuellement et une m’a marquée en particulier. J’étais sur la fin de mon service lorsque je décide de prendre un dernier appel.
Une voix douce me raconte que le mari dort et qu’elle a besoin de faire une confession intime sur un fantasme inavoué. Cette femme d’une cinquantaine d’années m’explique être mariée depuis des années et avoir une vie sexuelle assez banale. Elle comble ce manque de sexe par des sextoys et des caresses intimes en pensant à des choses très coquines.
Son fantasme concerne un collègue de bureau qui est un beau mec musclé et qui lui fait du charme à longueur de journée. Elle a envie de céder à ses avances, mais sa morale l’en empêche. Pourtant, elle se verrait bien en train de lui tailler une bonne pipe goulue afin de sentir son sexe palpiter sur sa langue chaude.
Elle a toujours aimé sucer et tailler des bonnes pipes baveuses, mais son mari a un sexe de petite taille et ne touche même pas son fond de gorge. Elle rêve d’un gros manche épais et dur qui pourrait lui baiser la bouche, mais pas seulement. Cette cochonne quinquagénaire a envie que ce beau mâle la soulève pour la prendre sur son bureau.
Dégager d’un geste sur tous les papiers du bureau pour se faire la place nécessaire à une baise torride et passionnée.
Cet homme se mettrait entre ses cuisses pour lui mettre des doigts dans la chatte tout en lui léchant à la fois le clitoris et le petit trou. Il ferait couler toute la mouille qui ne demande qu’à s’échapper de son vagin crémeux et y enfoncerai sa grosse bite afin de bien lui remplir l’entrecuisse. Son gland ouvrirait la voie vers la route du plaisir charnel son sexe coulisserait jusqu’à ce que ses couilles lisses et pleines viennent frapper son petit trou serré. L’homme la baiserait comme une chienne sans retenue et se servirait de son corps comme d’un vulgaire sac de viande juste bon à se faire remplir de foutre.
Elle aime le sperme, mais n’y a pas souvent droit à la maison. L’homme lui dégraferait son chemisier pour libérer ses énormes seins laiteux et lourds et tirerait sur le bout de ses seins gonflés pour stimuler le plaisir et lui faire couler davantage de mouille entre les cuisses. Ça commence à chauffer plus bas et elle sent l’orgasme partir du creux de ses reins et envahir son ventre.
Elle se crispe et crie tant qu’elle le peut pour exprimer tout le plaisir que cette belle verge dure et endurante lui a procuré. Elle attend avec impatience maintenant que son amant d’un jour lui déverse une grosse quantité de foutre sur le visage. Son vœu est rapidement exaucé par cet homme qui lui inonde le visage de sa semence chaude et grasse. Avec sa langue, elle nettoie le gland où perle une dernière goutte de sperme et la savoure avec passion.
Cette confession était très excitante pour moi en tant qu’hôtesse de téléphone rose et j’ai repensé à cette femme frustrée sexuellement et qui allait surement un jour passer à la réalisation de son fantasme.
En espérant qu’elle viendrait tout me raconter !

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