Pute et soumise
Je suis Maîtresse Angela, et je n’ai rien d’un ange, à part la blondeur, bouclée la blancheur et la douceur de la peau et les yeux clairs. Cela fait 15 ans que je fais le bonheur, la joie et l’accomplissement de divers soumis, encore faut-il qu’ils en vaillent la peine…
Je sais par expérience que l’instinct de mâle revient souvent au début chez les soumis et qu’ils tentent d’imposer leur loi, leurs exigences, leurs conditions, et certains parlent même de désirs !
Que de lamentations et de gémissement auprès de moi…
Dernièrement, j’ai reçu un aspirant soumis, 1m65 tout au plus, châtain avec de fausses mèches blondes, enrobé et disgracieux, mais maniéré à outrance. Il parlait beaucoup, faisait beaucoup de gestes inutiles, expliquait ce que lui voulait, comment il voyait les choses etc. Il se voyait en secrétaire salope et distinguée, alors qu’il ressemblait juste à une pauvre fille qu’on avait embauchée par pitié…
Moi, c’est en pute des bas-fonds que je la voyais, cette créature hideuse et prétentieuse, et puisqu’elle voulait péter plus haut que son cul, autant que ce cul nous serve à quelque chose !
Bon, c’en était trop. j’ai mis un terme à ce monologue déplaisant : « ta gueule, connasse, la maîtresse, ici, c’est moi, je ne suis pas ta psy ou ta confidente, soit tu obéis et tu évolues soit tu prends la porte à coups de pieds dans le cul ! ».
Effet immédiat, il s’est mis à bander, langue pendante, bavant piteusement. Je l’ai poussé à terre, à genoux, lui ai mis un collier et une laisse à cette chienne en chaleur et la mettant nue, j’ai essayé de lui enfiler une cage de chasteté. Mais trop excitée par la situation, cette grosse salope bandait encore. Ni une, ni deux, pas d’hésitations, j’ai frappé ses sacs à jus avec un paddle et sa queue a repris son aspect initial, petit et flasque, comme le reste. Je lui ai enfilé la cage de chasteté, et l’ai serrée bien fort, et j’ai jeté la clé. J’ai dit à la chose « tu chercheras un jour peut-être, Nathalie, mais pour l’instant, nous n’avons pas besoin de la clé ». Ce prénom m’était venu naturellement, et Nathalie était toute sage, tête baissée, yeux baissés, en signe de soumission.
Je l’ai vêtue correctement, tenue en latex avec trous derrière, pour laisser libre accès à la bouche, l’anus, enfin, les orifices intéressants pour une pute. J’ai mis un très belle robe d’époque victorienne, très décolleté, faisant pigeonner mes gros seins laiteux dans un très large décolleté, et avec Nathalie en laisse, j’ai pris la route vers la soirée organisée par Maître Franck, sur le thème de l’initiation à la prostitution.
Maître Franck, toujours très calme et posé, portait ses lunettes fumées, ses cheveux en catogan et était accompagné d’une très belle jeune femme qu’il me présenta comme étant son assistante. Quelle bonne idée, il me faudra aussi un assistant, un de ces jours…
Je leur présentai Nathalie, qui se montra maladroite pour saluer, et ils se moquèrent d’elle, naturellement. Maître Franck, en dominateur averti me dit « ça, c’est une bonne pute pour mes clients, on va l’initier comme il se doit, cette cochonne ».
Je lui remis la laisse de Nathalie en mains, et un groupe d’homme virils s’approcha, en demandant les tarifs de Nathalie, la pucelle. Bien que maquillée comme une voiture volée, et très vulgaire, l’on voyait bien que la pauvre chose n’était pas très dégourdie.
Maître Franck me rassura, ils allaient se charger de son apprentissage en ce soir d’initiation. En effet, très vite, les bites se succédèrent dans la bouche de Nathalie sous les injures et les moqueries, « grosse pute, salope, chienne en chaleur, chaudasse ».
Maître Franck dilata l’anus de Nathalie avec une main gantée de latex pendant que cette salope gueulait de plaisir et coulait du cul. Il invita ensuite les hommes virils à entrer leur bite dans ce tout nouveau trou accueillant. Plus cette grosse chienne se faisait prendre, et plus elle prenait son pied bruyamment, et venait chercher les bites plus profondément en donnant des coups de bassin.
L’un des hommes virils me présenta ses hommages, et me prit devant Nathalie, étonnée. Je lui dis « allons, Nathalie, ne fais pas cette tête, Maîtresse aussi a besoin d’homme virils pour la satisfaire, et toi, misérable lopette, tu n’es qu’une pute à sperme ». Nathalie rougit et me remercia poliment et humblement. Je pris ensuite mon pied avec Maître Franck, et Maya, son assistante, tandis qu’autour de nous, l’on prostituait les soumis. Nathalie était bonne élève et quand nous sommes repartis, elle était fort dilatée, rouge de honte mais prête à recommencer pour le plaisir de sa Maîtresse.