Princesse Sissy ; partie 3
Le bal des débutantes
Samedi, c’était le grand jour. J’ai mal dormi dans la nuit de vendredi à samedi, j’étais trop excitée, ma queue de Sissy ne cessait de durcir, j’avais honte de moi. J’imaginais des tas de choses super sexe et je me voyais déjà dominée comme jamais.
J’ai donc appelé mon hôtesse préférée dans la matinée, elle m’a aidée à rassembler mes idées, et à faire couler mon jus de salope en me faisant une séance de godage incroyable !
Elle m’a fait dilater mon petit trou jusqu’à ce que j’enfonce de gros godes bien larges, jusq’au fond de mon garage à bites, comme elle dit. Elle me fait faire la pute, et ça me fait un bien fou d’être à ma place de pute soumise.
Enfin, ça m’a soulagée et je lui en suis très reconnaissante.
Comme l’entreprise pouvait se passer de moi un peu, j’ai posé une journée de congés pour me préparer.
Bain, soin des ongles, de la peau, détente, et ensuite je me suis préparée.
J’ai enfilé ma belle robe pour aller danser au bal des débutantes. Il fallait que je soie la plus belle, qui sait, là-bas, je trouverais peut-être ma maîtrsse pour la vie !
J’ai mis mes sous-vêtements sexy, ma culotte ouverte, mes bas auto-fixants en résille, et je suis passée au maquillage et à la coiffure.
Cheveux lâchés, bien lissés, un petit nœud dedans, et un maquillage bien voyant, bien outrancier, un mélange entre le clown et la putain de salope. Il faut bien que je me fasse remarquer et que mes intentions soient claires !
Voilà, l’heure de partir arrive, je mets ma superbe paire de chaussures à talons très pointues avec une bride, n’est-ce-pas…
Je prends un taxi, et le chauffeur a l’air étonné, il me regarde parfois dans son miroir, et sourit mais sans plus…je ne sais pas ce qu’il pense et cela m’agace un peu.
Me voilà arrivée chez Maître Christophe. C’est somptueux, il a fait les choses en grand pour le bal. La plupart des invités sont là, je reconnais quelques copines sissy comme moi.
Il y a un serveur très sexy qui présente les boissons, il a un petit cul à croquer, mais ne perdons pas de vue nos objectifs…
Les invités dansent, et je me sens gauche et le champagne aidant, je commence à danser seule, je sais que je suis ridicule, mais tant pis, la danse m’enivre…
« Espèce de débauchée, mauvaise fille » ! je sursaute, la voix a claqué sèchement, et je suis dégrisée d’un coup. Une superbe femme est là, brune, les cheveux longs relevés en chignon d’où s’échappent quelques mèches, maquillée avec goût. Elle porte une jupe en cuir qui flatte sa silhouette parfaite et ses hanches larges, un bustier satiné très serré qui fait pigeonner ses gros seins laiteux, elle est magnifique, sexy à souhait.
Et elle me regarde très sévèrement. Je baisse les yeux, gênée. « tu as bien raison de baisser les yeux, pour qui te prends-tu , petite traînée ? ». Je marmonne des excuses, et elle rit : « quelle mauvaise éducation, tu ne sais même pas te tenir ! Tu aurais bien besoin d’une maîtresse pour te reprendre en mains ».
Je me suis jetée à ses genoux, en la suppliant d’être cette maîtresse qui m’éduquerait, j’ai embrassé ses genoux, et elle m’a mis une claque sur la tête. « Baise les pieds, pétasse, pas les genoux, et apprends à te tenir ! Viens dans la chambre du haut, tu as besoin d’une punition à la hauteur ».
Je l’aurais suivie au bout du monde, j’ai obéi. Dans la chambre, elle a saisi une ceinture et m’a corrigée, mes fesses et mes sacs à jus étaient tout rouges. Elle avait une cage de chasteté avec elle, elle l’a posé sur ma micro-bite toute honteuse qui pleurait d’émotion.
Je l’ai remerciée, tête baissée. Et depuis, je ne la quitte plus, je suis son ombre, et je fais tout ce qu’elle m’ordonne de faire, heureuse et reconnaissante.
Message aux Sissy qui cherchent leur maîtresse : il faut encore croire aux contes de fées et à Cendrillon. Et écoutez bien les conseils de vos hôtesses préférées, moi, ça m’a amené le bonheur.