Princesse Sissy partie 1
Bonjour. J’avais envie de raconter mon histoire parce que je sais que je ne suis pas la seule à vivre ce genre de choses.
Je m’appelle Philippe au départ, je veux dire, dans ma vie civile et professionnelle. J’ai 45 ans, je suis cadre supérieur dans un grand groupe d’import-export, et je suis célibataire.
Je mesure 1m75, j’ai les cheveux noirs, courts, une silhouette mince mais ferme et une allure élégante. Les femmes recherchent ma compagnie et moi la leur, mais je ne me lie pas facilement.
C’est que ce n’est pas facile de faire semblant d’être un homme viril et d’assurer avec les femmes quand, au fond de soi, on est une Sissy. Et fière de l’être, en plus !
Je n’en peux plus de ces costumes d’homme, ces chaussures plates, ces vêtements sans fantaisie…
Ce que j’aime, c’est être moi, habillée en vraie femme, me déhancher dans des tenues très féminines, me maquiller, être belle ! Je suis soumise, profondément, c’est en moi, je suis une petite chose à prendre en main, éduquer, soigner, punir, je dois obéir, je suis faite pour ça.
Toutes les Sissy me comprendront. Qui n’a pas rêvé d’une tenue de soubrette bien sexy, bien pute ? De bas résille, de talons aiguilles, de joli plumeau coloré pour faire le ménage d’une maîtresse bien autoritaire ? D’un bon balai bien solide pour se faire châtier ?
Je fais partie d’un cercle de Sissy sur internet, et nous recherchons des maîtresses, et croyez-le, ce n’est pas facile, il faut vraiment que ça matche !
Heureusement, un maître de notre connaissance a organisé une sorte de bal de débutantes pour présenter des maîtresses et des Sissy soumises. Quelle bonne idée.
Samedi soir, je vais donc au bal.
J’ai commandé une belle tenue de princesse sur internet, j’en rêvais depuis longtemps ! Je me suis faite aider par une hôtesse de téléphone rose que j’aime beaucoup et qui me comprend parfaitement. Elle se reconnaîtra.
Comme elle est très perverse et joueuse et qu’elle connaît bien mes goûts, elle m’a aidée à choisir ma tenue sur ses sites préférés.
Une robe de princesse, oui, mais de princesse salope ! Alors, elle m’a choisi une longue robe vasée mais fendue très haut sur la jambe, et très décolletée, du plus bel effet avec mes faux seins de 95D. Très cintrée aux hanches, et avec des bas résille, et des bijoux !
Pour ne rien laisser au hasard, nous avons choisi des sous-vêtements très pute, une culotte ouverte derrière, et un rosebud rouge très brillant, très bijou pour orner mon petit trou de balle.
Mon hôtesse d’amour m’a bien conseillé fermement de mettre un maquillage outrancier, très provocant, très coloré, pour que l’on repère tout de suite ma condition de ridicule soumise à adopter.
J’ai imaginé ma soirée en discutant avec mon hôtesse-maîtresse et je me suis vraiment sentie dans le personnage. Elle m’a dominée comme jamais, guidée, et fait travailler mon côté salope.
J’ai obéi avec grâce, j’ai mis mon vieux rosebud en attendant le nouveau, puis Maîtresse m’a fait travailler le godage, tête baisse, pour m’habituer à me faire prendre n’importe quand.
Je me suis sentie tellement moi-même ! J’ai joui comme une cochonne et j’ai coulé du jus de salope. Maîtresse n’était pas contente car je n’avais pas demandé la spermission, alors j’ai été punie pour avoir spermé sans autorisation.
Mains sur la tête, à genoux, j’ai rampé, en faisant traîner mes misérables sacs à jus attachés, contre le sol, peu importe la douleur ; quel délice !
Elle m’a bien dit aussi le comportement que je devais avoir avec le livreur quand ma commande arriverait. Je devrai lui ouvrir en nuisette et talons hauts vernis, maquillée, et tout déballer devant lui pour vérifier qu’il ne manque rien. Déballer le colis, bien sûr. Ensuite, nous verrons…
J’ai remercié Maîtresse, qui m’a ordonné de la rappeler quand le livreur serait passé. J’ai hâte !