Période d’essai
Je m’appelle Jean-Paul. J’ai 51 ans, et après une longue carrière comme comptable dans la même entreprise de transports, me voilà au chômage.
Je suis au service d’une domina chez qui j’habite, dans un petit réduit, au fond de se grande de meure bourgeoise. Ma Maîtresse adorée n’est pas très contente car je ne vais plus rapporter d’argent, et ce n’est pas la qualité de mes services auprès d’elle qui vont suffire à la contenter.
Ma Maîtresse est très autoritaire, et dès mon premier jour de chômage, elle m’a obligé à faire des cv et des lettres et à faire le maximum pour trouver un travail. Elle m’a dit affectueusement qu’elle ne voulait pas d’un bon à rien à la maison dans ses pattes. Je frissonne quand elle me parle comme ça. Je sais que si je n’obéis pas comme il faut, je serai puni, et j’en tremble d’excitation.
D’ailleurs, quand j’ai annoncé à Maîtresse Carla que j’allais être au chômage, elle s’est mise très en colère contre moi, et m’a fait mettre nu, à genoux, mains sur la tête. Mon petit pénis frémissait de désir. J’ai dit à Maîtresse que ce n’était pas ma faute, mais cela l’a mise encore plus en colère.
Elle a dit que j’étais un fainéant avec un esprit de fonctionnaire et que j’étais un sous-homme qui ne savait pas prendre ses responsabilités. C’est tellement vrai ! J’ai demandé pardon pour mes offenses et ma nullité, et Maîtresse m’a fouetté, pour mon bien. Ma micro-bite pleurait de reconnaissance. Maîtresse Carla sait si bien me remettre dans le droit chemin.
Je me suis vite présenté à un entretien d’embauche. La DRH, une femme d’une quarantaine d’années, brune, pulpeuse, le teint mat, les yeux noirs, habillé en tailleur gris strict, cheveux attachés en chignon serré, lunettes rectangulaires, bouche mince et maquillée en rouge vif, m’a reçu dans son bureau.
Elle a examiné mon cv en silence, en me regardant au-dessus de ses lunettes. J’étais mal à l’aise, et me tortillai un peu. Je voulais absolument avoir cet emploi pour contenter Maîtresse Carla, et en même temps, j’étais très troublé par l’allure sévère de la directrice. Son tailleur gris décolleté laissait deviner de gros seins dont je voyais la naissance, son soutien-gorge noir en dentelle dépassait parfois.
Elle se pinçait ses lèvres minces en lisant, d’un air un peu méprisant, et je commençais à bander, ce qui me gênait encore plus, et j’essayai de cacher mon érection avec mes mains en me concentrant.
Elle m’a posé quelques questions, et enfin m’a dit que je n’étais pas le candidat idéal, mais qu’il fallait bien qu’elle recrute quelqu’un rapidement et j’étais le moins pire des candidats.
Je lui ai promis de faire de mon mieux, et elle a ricané, en me toisant. « J’espère bien ! Ne me ridiculisez pas auprès de la direction générale, sinon je vous le ferai regretter ! ». Je me suis mis à bander encore plus fort, plus dur, très gêné.
Elle a regardé la bosse qui se formait dans mon pantalon et a souri en coin. « Je vois que vous êtes enthousiaste, mais je dois vous dire de ne pas vous réjouir trop vite, il y a une période d’essai de un mois, et vous avez intérêt de faire vos preuves ».
J’avais un double intérêt : celui de contenter Maîtresse Carla en gardant le travail et en ramenant de l’argent, et ensuite, j’avais envie de contenter la directrice. Elle m’excitait énormément avec ses formes pulpeuses et son autorité naturelle et j’avais envie de la fréquenter durablement.
Je l’ai remerciée et quand j’allais partir, elle a fermé la porte à clé.
« A genoux, lopette ! ». Surpris, j’ai obéi naturellement. Elle a souri, et m’a attrapé par les cheveux, me faisant marcher à quatre pattes jusqu’au fond du bureau.
Elle a ouvert son tailleur, ses seins généreux débordaient de son soutien-gorge en dentelle noire. Sous sa jupe, je voyais son string noir en dentelle et ses fesses rebondies.
Elle s’est assise sur sa chaise de bureau et a défait son soutien-gorge. « Tête mes seins, bon à rien ! » a t-elle ordonné en enlevant son soutien-gorge. Je me suis exécuté, fou de désir, j’ai léché ses magnifiques tétons sombres, durs, longs, en bandant comme un taureau pendant un long moment.
Elle m’a jeté par terre, allongé, a retiré son string et s’est assise sur moi, jambes écartées, posant sa chatte sur ma bouche déjà ouverte. « Lèche ma chatte, petite bite, et fais-moi jouir ! ». J’ai léché sa divine chatte mouillée avec excitation, ma queue coulait de joie. J’ai fait grossir son clito, bien dur, et elle a joui plusieurs fois en m’envoyant des jets de mouille dans la bouche.
Elle m’a ensuite ordonné de partir et d’être à l’heure le lendemain.
J’ai même envie d’être en avance ! Et qu’est-ce que je vais me faire punir par Maîtresse Carla, quand je vais revenir dans cet état et tout lui raconter ! J’en bande comme un chien en chaleur !