Mon mari est souvent absent pour le travail, il est cadre supérieur dans une grande entreprise. Les enfants se couchent tôt, et parfois, les soirées me semblent bien longues lorsque mon époux est loin, dans un hôtel, préparant sa conférence du lendemain.. enfin d’après ce qu’il dit.
Me sentant un peu délaissée, je me suis confiée à une amie de longue date qui m’a confié que pour combler ses soirées trop libres, elle faisait du téléphone rose. D’abord étonnée, j’avoue que j’ai trouvé cela intrigant et même vaguement excitant, l’idée que ces inconnus me confient leurs fantasmes, que je puisse les faire jouir au téléphone, me plaisait beaucoup.
J’ai vite commencé sur un réseau sympa et convivial. Les premiers hommes qui m’ont appelée m’ont vite mise en confiance et j’étais très à l’aise. J’ai adoré nos conversations érotiques et me suis caressée souvent ! j’ai surtout aimé cette sorte de pouvoir que j’avais l’impression d’exercer sur eux, le pouvoir sur leur désir et sur leur plaisir… le premier soir a été une révélation !
Le lendemain, le téléphone sonne, une petite voix un peu aigüe me dit « Bonjour Maîtresse, je suis Pauline, une petite pute , j’ai envie de prendre des bites, je veux me faire baiser ». Mon sang n’a fait qu’un tour, et je lui ai répondu du tac au tac : « espèce de petite connasse ! Tu crois que c’est une façon de s’adresser à sa Maîtresse ? Comment ça, tu veux, tu as envie ? c’est moi qui décide ici, c’est bien compris ? ». « oui , Maîtresse » dit la petite voix.Je lui ordonnais de se mettre à genoux, et complètement nu, tête baissée, yeux baissés en signe de soumission. Cette petite peste s’exécuta. Puis elle me dit « Maîtresse, je veux être votre pute ». « frappe 10 fois tes sacs à jus avec la main, misérable petite salope ! » lui répondis-je sèchement, « tu seras ce que je te dirai d’être, tu es là pour obéir et combler ta Maîtresse. ». Je l’entendis donner des coups en criant de douleur.
Nous progressions, cette petite salope obéissait un peu tout de même. Je lui ordonnai de s’habiller en soubrette sans aucun sous-vêtement afin de laisser à Maîtresse l’accès libre à son garage à bites. « Il est normal que Maîtresse chérie fasse usage n’importe quand de son droit de cuissage sur sa domestique, n’est-ce-pas ? ». « Oh oui, Maîtresse chérie » me répondit Pauline.
Pauline n’ étant pas très équipée, je lui ai ordonné d’acheter des vêtements, de la lingerie, des accessoires et surtout un collier et une laisse. Nous avons regardé ensemble les modèles qui me plaisaient et j’ai ordonné à Pauline de mettre de tordre ses mamelles de cochonne et bien en pincer les tétons, ce qui fut fait avec cris de douleur jouissifs.
Puis, je lui ai ordonné d’attacher ses sacs à jus avec une cordelette et je lui dis « Pauline, tu vas te goder en rythme. Maîtresse ma donner le compte à rebours, et seulement à zéro, tu pourras couler du jus de salope ! Pas éjaculer, gicler, rien de tout cela, juste couler en douceur en harmonie avec les ordres de Maîtresse ! ». Pauline promit de tout faire pour me contenter.
Suivant mes instructions, elle se goda bien fort sa petite chatte en feu, en gueulant qu’elle voulait se faire prendre comme une pute. Je l’interrompis brutalement : « tais-toi, pouffiasse ! Qui t’a donné la parole ? On ne parle pas sans autorisation, et on ne gueule pas comme une hyène dans les oreilles de Maîtresse, sale perverse ! ». Elle demanda pardon lamentablement, comme une pauvre loque, il fallut lui apprendre en plus les bonnes manières.
Le temps passait et Pauline allait être coupée, je lui ordonnai de me rappeler sans délai, ce qu’elle fit plusieurs fois ce soir-là. Depuis, elle m’appelle quasiment tous les jours, lorsque je suis présente, et je lui donne des devoirs à faire dont elle doit me rendre compte à la séance suivante.
Pauline , même si elle a encore beaucoup de progrès à faire, est donc devenue une bonne apprentie soumise…comme mon mari depuis quelques années déjà…