Mon moneyslave préféré
Je suis une domina sans tabous, et surtout sans scrupules. Je crois d’ailleurs que c’est ce trait de caractère
qui plaît le plus à mes soumis.
Je suis intransigeante, sévère, moqueuse, humiliante, cruelle. J’aime soumettre et pour moi, la fin justifie
les moyens. Je n’ai pas d’état d’âme, je suis cruelle, et sans hésitation.
Le soumis doit m’être totalement dévoué corps et âme, me faire don de son ego, de son corps, de son âme,
de sa dignité, de ses biens, et toutes ses possessions. J’exige un engagement total.
Je n’hésite pas à punir, rabaisser, humilier, frapper, infliger des sévices ou exercer du chantage.
J’aime briser la volonté de mes esclaves, par tous les moyens.
Je m’engage beaucoup également, je donne de ma personne, et ils ont de la chance, car je prends les
choses très au sérieux et leur éducation m’importe, j’y consacre du temps, de l’énergie et j’exige en retour
une soumission totale et aussi un dédommagement à la hauteur de ma peine.
Le deal est clair, mes choses soumises sont aussi des moneyslaves, des esclaves qui adorent payer, donner
leur argent, ou faire des cadeaux, dépenser pour moi sans compter pourvu que je les avilisse sans hésiter.
Mais je ne peux pas m’occuper de tous les esclaves du monde, les candidats à la soumission sont
nombreux et nous devons avoir de vraies affinités.
Pour bien faire le tri entre les nombreux candidats, dès le départ, j’organise des enchères. Seuls ceux qui
sont prêts à dépenser beaucoup d’argent sont retenus.
Mais la promesse de dons n’est pas suffisante et j’attend d’avoir empoché l’argent pour aller plus loin et
faire leur éducation.
J’ai donc un cheptel intéressant d’une dizaines de moneyslaves. Quand on aime on ne compte pas.
C’est le mantra que je fais réciter à mon moneyslave préféré. Il m’est tout acquis et frissonne de bonheur
lorsqu’il sort son carnet de chèques pour payer mes dépenses.
Il lui est arrivé, au début, lorsqu’il était encore mal élevé, de résister, provoquer, refuser, bref, des
comportements fâcheux et déshonorants.
Je l’ai remis en place naturellement en l’humiliant, et en lui montrant les photos de lui, presque nu, à
quatre pattes, en lingerie féminine rose, portant un collier, et tirant la langue pour sucer des bites, avec un
gode dans le cul, bien profond.
Pour ce chef d’entreprise internationale, habitué à donner des ordres, et à tout contrôler, cette image était
très humiliante mais aussi très jouissive. Sa petite queue en frétillait de bonheur alors que je me moquais
de lui avec cette photo.
Il était évident que si il continuait ses caprices désagréables et inadéquats, son entourage professionnel
verrait cette photo, puisqu’elle serait diffusée largement. Ce chantage l’a terriblement excité, et j’ai dû lui
mettre une cage pendant au moins une semaine pour le calmer un peu.
Il a commencé de lui-même à augmenter les sommes qu’il me donnait, croyant me faire plaisir, le goujat !
J’avais donc compris qu’il aurait pu me les donner avant, mais qu’il s’était montré avare, ce qui était uen
insulte envers moi. Je l’ai puni. J’ai fouetté ce radin, j’ai mis au cachot cette pince, attaché avec une corde
mains sur la tête avec un baillon. Il a réfléchi une nuit, au terme de laquelle je l’ai libéré, il s’est jeté à mes
genoux en demandant pardon, et a juré de ne plus jamais me manquer de respect.
Ce jour-là, il m’a cédé tous ses biens, et s’est engagé à me verser son salaire complet. En signant les
contrats, nu, sa petite bite coulait de bonheur, et il a même coulé du sperme avec son gode dans le cul.
Depuis, nous coulons des jours heureux et prospères, mon moneyslave préféré, et moi. Quand on aime, on
ne compte pas.