Lopette confinée
Me voilà confiné avec ma femme et son amant.
Je suis une lopette heureuse et comblée. Depuis un an environ, ma femme a saisi ma réelle personnalité et compris la place qu’elle devait me donner au sein de notre foyer.
Comprenant mon infériorité, et mon désir total de la combler par tous les moyens possibles, elle a enfin décidé de me réduire en esclavage, il était temps.
La pauvre, je ne lui servais à rien, j’étais un poids mort. Le pire étant que sexuellement, je ne pouvais pas la satisfaire. Mon pénis est top petit, et pas assez large. Qu’est-ce qu’une femme aussi magnifique ferait d’une pauvre lopette comme moi ?
Alors, progressivement, elle m’a assigné les tâches ménagères, toutes, et je m’en acquitte avec bonne grâce.
Elle m’insulte avec justesse lorsque c’est mal fait, et je recommence sous ses moqueries, que c’est bon !
Puis, le temps passant, elle m’a assignée une gamelle pour chien, avec mon nom dessus, et je suis autorisé à manger à ses pieds ses restes, une fois qu’elle a terminé le repas que je lui ai préparé avec amour. Je lui lèche la main avec reconnaissance si elle le désire, bien sûr.
Pour parler, je dois demander l’autorisation. Et lorsque je fais des bêtises, je suis punie, avec un merveilleux paddle, ou un fouet à lanières en cuir que j’adore. C’est à moi de réclamer ma punition, la tête baissée, honteuse, à genoux au coin, yeux baissés et les mains derrière la nuque, nu, prêt à recevoir mon châtiment.
Pour les besoins de mon épouse, je m’efforce d’être une bonne lécheuse de clito, j’écarte les lèvres, je m’applique sur son petit bouton, et je fais gonfler son clito tout mouillé, qui m’envoie des jets de mouilles, hum.. je lui tête aussi les seins, je m’attarde longuement sur ses tétons que je fais durcir entre mes doigts et que je rends bien longs sous mes lèvres et ma langue, je sais que cela la fait bien mouiller.
Hélas, ma bite n’est pas plus grande, et je ne suis qu’une lopette. J’ai tellement envie que ma femme jouisse comme elle le mérite que j’ai sauté de joie quand elle a amené chez nous son premier amant.
Elle était très en manque, ce n’était qu’un homme de passage, mais beau, viril, et surtout bien membré. J’ai eu le privilège de regarder, assis au pied du lit en astiquant ma petite nouille, heureuse. Il a pris ma femme en levrette comme une vraie chienne, ses gros seins balançaient très vite, son cul venait chercher la bite du mec, et moi, je massais son clito pour lui faire du bien…
Elle a joui en hurlant de plaisir, puis le mec a déchargé son foutre dans sa chatte. Ca coulait en même temps que le jus de plaisir de mon épouse et j’ai léché tout ce jus de baise mélangé, hum, un délice. Et quel plaisir de voir ma femme déchaînée prendre son pied comme ça !
Très vite, elle a amené d’autres amants qui la prenaient devant moi, elle jouissait très fort, et j’étais comblé.
Puis elle a rencontré un homme très bien, viril, large d’épaules, le corps musclé, très masculin, et elle s’est attachée à lui, lui aussi.
C’est avec lui qu’elle baise le mieux, il peut même l’enculer sans quasiment la préparer tellement elle est tout le temps chaude avec lui ! Il se moque de moi, me traite de lopette, me dit de bien regarder et parfois, il me fait lécher sa bite quand il a fini de baiser ma femme. C’est mon préféré.
Quand il commence à lécher la chatte de ma femme toute excitée, il me dit de lui téter les seins, et je lèche ses longs tétons gonflés avec bonheur ! Ensuite, je vois de près sa grosse bite pénétrer la chatte de mon épouse, ses couilles cogner contre son corps, je regarde les va-et-vient, tout en suçant les tétons, et parfois, il me dit de venir lécher le clito pendant qu’il l’encule.
Elle jouit énormément, elle mouille à fond, il lui envoie plein de sperme partout, l’étale sur ses seins, et moi, je lèche, je suce, et ma femme jouit encore…
Nous sommes confinés tous les trois, et comme je fais toutes les corvées, ils n’ont que ça à faire de baiser, et ils n’arrêtent pas, que du bonheur !
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