L’attaché de presse
Cet après-midi, j’ai un rendez-vous pour un contrat qui s’annonce intéressant. Je suis Clarisse, directrice de communication dans une agence de production de films et je dois recevoir Dominique, l’attachée de presse d’un acteur assez connu.
Je me mets sur mon 31 pour faire bonne impression, à 35 ans, petite, blonde, cheveux mi-longs coiffés en carré plongeant, les yeux bleus, j’aime faire un peu plus âgée pour être prise au sérieux et je force sur le maquillage, rouge à lèvres écarlate, mascara noir allongeant les cils, ombre à paupières, vernis écarlate sur mes ongles longs. Je chausse des escarpins de 12 cm à talons aiguille pour me grandir, et je mets un soutien-gorge redresse-seins 95 C afin de faire pigeonner ma poitrine généreuse tout en laissant dépasser mes tétons longs qui pointent assez facilement sous mon chemisier un peu transparent… Un petit tanga, une jupe moulante sur mon beau cul rond bien bombé et je me sens prête.
Dans ce métier, il y a une grosse part de séduction, et l’on m’a dit que Dominique, l’attachée de presse aime beaucoup les femmes qui en imposent. Je suis bisexuelle et je ne recule devant rien, alors puisque Dominique est lesbienne, profitons-en….allions l’utile à l’agréable !
L’heure du rendez-vous arrive, je me repoudre le nez. On frappe, j’ouvre la porte moi-même et me retrouve face à face avec Dominique, une femme d’une quarantaine d’années, brune, les cheveux longs bouclés, les yeux noirs, le visage fin, sans maquillage, vêtue sobrement d’un pantalon gris et d’une chemise bleue ciel.
Je l’invite à entrer et nous nous asseyons dans des fauteuils confortables pour discuter affaires. Elle est en face de moi, et je crois bien haut mes jambes fines, faisant remonter ma jupe moulante sur mes cuisses. Dominique me regarde intensément, mais rien ne transparaît. Alors, je propose une tasse de café qu’elle accepte, et je me penche bien devant elle pour la servir. Mon chemisier s’entrouvre et laisse entrevoir mes gros seins.
Dominique regarde et sourit, puis me prend la cafetière pour servir le café : « c’est plutôt à moi de servir , je crois », dit-elle en souriant. « pourquoi ? » ai-je demandé. « Parceque c’est dans ma nature, j’aime servir, je crois que j’ai un tempérament assez soumis, si vous voyez ce que je veux dire ? ».
Je vois très bien ce qu’elle veut dire, et je lui ordonne de s’agenouiller par terre. Elle s’exécute en gémissant de plaisir et me dit « oh merci Maitresse ! ». Je lui attache les mains derrière le dos avec mon collant que j’ai défait et lui met la tête en arrière.
Je lui ordonne de retirer mon tanga avec ses dents, ce qu’elle fait sans abîmer le tanga, et je pose ma chatte sur sa bouche en lui ordonnant de me faire jouir. Domnique s’applique en gémissant, elle lèche mon clito, le fait durcir, et sa langue pénètre ma chatte, je jouis plusieurs fois, inondant sa figure de soumise vicieuse.
Je me retourne et Dominique me lèche le cul, elle est mon bidet, elle me nettoie avec application en gémissant de plaisir, elle me fait du bien, avec sa langue râpeuse sur mon anus qui se dilate de plus en plus.
Je vais chercher un gode dans le tiroir et je dis à Dominique que je vais la détacher pour qu’elle puisse me pénétrer comme un homme le ferait, afin de me combler plus amplement car je suis très excitée.
Dominique sourit et me dit « Si Maîtresse le permet, j’ai une autre solution, nous ne sommes pas obligées d’utiliser le gode. ». Etonnée, je lui demande quelle solution cette salope a bien pu inventer ! Je lui fourre le gode dans la bouche et la déshabille en riant…surprise ! Pas de seins, et en ôtant le pantalon, une belle bite bien dure, longue et épaisse, que Dominique avait enveloppée sous du cellophane. Dominique est donc un homme, et je ne l’avais pas deviné !
Je comprends maintenant comment elle/il peut me combler, et je déballe soigneusement cette belle queue, sur laquelle je m’empale, faisant bouffer mes seins qui balancent à Dominique pendant que je le chevauche, jusqu’à ce que j’explose de plaisir. Je me retire aussitôt, et je mets le gode dans le cul de Dominique qui crie de plaisir, et coule gentiment du jus de salope par la queue.
Il s’essuie, et m’aide à me rhabiller. Nous signons le contrat. Dominique me dit en souriant que peut-être bientôt, nous signerons un autre genre de contrat…un contrat d’appartenance. Peut-être lui dis-je en le raccompagnant à la porte, si tu es bien sage…