Kathya la pute
Kathya, c’est une drôle de soumise. Elle appelle souvent en audiotel ou en carte bleue. Elle a des demandes parfois spéciales.
Kathya se travestissait très mal, au début. Mal conseillée, elle était attifée comme une godiche quand elle se montrait en caméra. Elle était ridicule, mal dégrossie, avec sa robe bleue « Marilyn », elle se croyait sexy, elle était pathétique !
Heureusement, Katha était une pute bonne à humilier, donc se moquer d’elle était à la fois naturel et un véritable plaisir, pour elle, comme pour moi. Elle riait aussi d’elle-même en se voyant.
J’ai repris son look en main, et même toute son apparence.
C’est comme cela que j’ai transformé cette godiche de Kathya en créature affriolante, et que j’en ai fait ma chose soumise.
Ce n’était pas simple, à cause de son physique et de son caractère. Kathya était très grande, plus d’1 mètre 90, charpentée, et elle avait un tempérament récalcitrant et insubordonné. Deux grosses difficultés, qui ont nécessité d’être extrêmement sévère avec elle.
J’ai commencé par lui faire porter une cage de chasteté. Toute fofolle, elle était impatiente et a failli se blesser la micro-bite en la mettant. Il était convenu de garder la clé dans un endroit discret, mais elle l’a perdue très vite.
Kathya était aussi très bavarde, et elle me cassait les oreilles, elle me saoûlait littéralement. C’est comme ça que je lui ai fait porter un baillon-boule. Elle émettait encore des sons, mais c’était moins dérangeant que son bavardage incessant. Combien de fois lui ai-je dit « ferme ta gueule, Kathya ! » ? Elle boudait, et je la frappai alors avec un gode, soit en la biflant, soit en la mettant au coin et en la fessant.
Parfois, elle faisait exprès d’être une emmerdeuse, pour être punie. Je lui faisais mettre un balai dans sa chatte de salope et elle balayait le sol en tenue de soubrette. Parfois, je lui faisais mettre du dentifrice sur la micro-queue, alors qu’elle était au coin, à genoux, mains sur la tête.
Puis, elle a fait des progrès en tant que soubrette, elle était plus disciplinée, et son apparence s’en ressentait. Elle était plus féminine, dans son allure, ses gestes, plus douce de caractère, plus heureuse. Alors, je l’ai récompensée, avec des vêtements sexy, de pute, très moulants.
Ce jour-là, elle a été une star. Je lui ai appris à faire un strip-tease et je l’ai filmée. J’ai mis la musique de 9 semaines et demi. Quelque chose clochait, malgré la bonne volonté de Kathya, qui exécutait parfaitement sa chorégraphie. Alors, j’ai changé de musique, et je lui ai mis du Michael Jackson.
La miracle a eu lieu, et le strip-tease fut parfait, digne d’une artiste de cabaret. Kathya portait des couettes, et je l’avais filmée en noir et blanc. L’illusion était parfaite.
Lorsqu’elle fut déguisée en homme pour la vie civile, j’ai montré cette vidéo devant elle à des amis masculins. Ils l’ont trouvée très sexy, très attirante. Kathya était à la fois flattée, et très humiliée, vu qu’elle était habillée en homme à ce moment-là, quel paradoxe…
Puis, je lui ai pris rendez-vous avec des mâles pour parfaire son éducation de pute. Elle a commencé par sucer, et l’homme lui a donné une note moyenne, car elle ne s’attardait pas assez sur les couilles. Alors, elle a dû travailler, et elle l’a fait avec beaucoup de plaisir, jusqu’à ce qu’elle devienne une bonne suceuse de bites.
Elle me rapportait un peu d’argent, et nous sommes passées à la vitesse supérieure. Ma chose a pris une vraie bite dans la chatte, elle a sucé, elle s’est faite défoncer, et elle a aimé ça. Les hommes étaient contents. Kathya s’entraînait même sur des cônes de chantier pour augmenter sa dilatation, elle tournait, tournait, comme une toupie….
Quand elle a été bien sage et bien généreuse, je l’ai tatouée à la bougie chaude pour en faire officiellement ma chose. Elle était si émue d’appartenir à sa Maîtresse adorée. Elle avait plein de mots pour s’adresser à moi : Maîtresse chérie, Madame, Votre Excellence, Votre Grâce…
Kathya était une soumise bien peu ordinaire, et même si elle m’a beaucoup agacée, elle m’a aussi beaucoup fait rire. Elle était comme une chienne un peu folle. Elle adorait qu’on la regarde et qu’on parle d’elle, surtout si c’était sa Maîtresse qui le faisait.
Puis, la vie nous a éloignées, on ne peut pas tout choisir, parfois, l’heure est venue de se dire adieu.
Si elle me lit, où qu’elle soit, je suis sûre qu’elle sourit, cette salope emmerdeuse au grand cœur.