Dresser son soumis

Dresser son soumis

Je suis Maîtresse Carla, et j’ai un soumis depuis quelques années, une sorte de lopette loufoque qui fait le tapin pour moi et me sert à différentes choses.

Mon soumis de pacotille, rebaptisé Peggy depuis deux ans, m’avait contactée par internet ,comme cela se fait souvent.

Il était à fond dans son désir à lui, et sous prétexte qu’il payait ( pas beaucoup d’ailleurs, il était plutôt radin!), me croyait à ses ordres, comme si il allait pouvoir me dire comment le soumettre ! Quel ridicule ! Il inversait les rôles de manière tout à fait outrancière et il a fallu lui remettre les points sur les i.

Je l’ai d’abord abandonné à son triste sort, puisqu’il refusait de m’écouter. Je ne répondais plus à ses appels, ni à ses SMS. Je l’avais averti qu’il me faisait perdre mon temps et ne me respectait pas.

Il me harcelait de sms, et je me suis fâchée, l’insultant par la même occasion.

Au bout d’une semaine de frustration, il a fini par promettre d’être totalement dévoué à sa maîtresse et j’ai accordé un essai, pour voir si il en était capable.

J’ai donc convoqué Peggy pour quelques jours dans mon donjon, avec petite cellule aménagée pour le couchage et divers outrages si nécessaire.

A peine arrivé, il ma dit « bonjour, Madame ». Je l’ai poussé fortement par terre, l’ai mis à genoux, attaché avec les menottes, et le tirant par les cheveux en arrière, lui ai dit «  on dit, Bonjour maîtresse, sale loque ! ».

Elle se mit à pleurer de honte et implora sa punition, yeux baissés vers le sol. Je pris le paddle et frappai ses sacs à jus pendouillants 10 fois, pour l’impolitesse. Puis je pris le fouet et fouettai fortement ses fesses, puis son dos.

Je lui avais ordonné de compter les coups et si cette gourde se trompait, j’en rajoutai deux…Elle s’est trompée deux fois, puis a vite compris qu’il fallait faire attention.

Sa micro-bite étant calmée, j’en profitai pour lui enfiler avec mes mains gantées, sa cage de chasteté bien serrée.  Puis je lui mis un gode dans la bouche et lui ordonnai de sucer comme une vraie pute.

Elle bavait de partout sur le gode en gémissant, cette salope, et suçait de plus en plus vite, comme une chienne en chaleur qui a envie de bites bien dures.

J’enfilai mon gode-ceinture de 32 cm de long X 6 cm de large. Avec les doigts et le lubrifiant, je dilatai le trou de cette grosse cochonne de Peggy, puis avec la main, je la fistai. Elle gueulait comme une vraie truie.

Je posais mes gros seins nus sur son dos, et la ceinturais avec les mains, tenant fermement se sacs à jus, et je m’enfonçais d’un coup sec dans son garage à bites avec le gode-ceinture de compétition. Cette salope en chaleur hurlait de plaisir « merci Maîtresse, oh oui, merci ! ».

Puisqu’elle était bien mûre, cette pute à sperme, j’en profitai pour faire entrer les vrais mâles volontaires pour débourrer cette grosse pute mal dégourdie. J’ai pris la première bite et l’ai enfoncée profondément dans sa gorge, et Peggy a sucé en gémissant, et avalé tout le foutre, bonne chienne !

J’ai pris la queue d’un autre volontaire, un mec bien membré en long et en large et l’ai enfoncé dans son garage à bites, bien profond. Le mâle a labouré profondément le garage à bites de Peggy, s’enfonçant jusqu’aux couilles, et cette pute de Peggy hurlait de plaisir tut ne suçant et branlant des bites, se prenant du foutre partout, les queues s’enfonçant à la queue-leu-leu dans son hall de gare.

Une heure, deux heures…voilà, Peggy était débourrée, à l’abattage, la pute. Ca lui avait fait le plus grand bien, elle était maintenant souriante, docile et obéissante. Elle a enfilé sa tenue de soubrette, reconnaissante, et a fait le ménage et la lessive, rêveuse, jusqu’au bout de la nuit.

Depuis ce jour mémorable, Peggy la cochonne est devenue bien pute et bien soumise.