Plan à trois avec mon coloc!

Plan à trois avec mon coloc!

L’appartement était plongé dans une douce pénombre, éclairé seulement par quelques bougies vacillantes qui créaient une ambiance intime. Camille et moi pensions être seuls ce soir. Max, mon colocataire, avait dit qu’il rentrerait tard, nous laissant tout le temps de profiter pleinement de la soirée. Assis sur le canapé, nos verres de vin à la main, la tension devenait insoutenable. Camille, vêtue d’un débardeur mettant en valeur ses courbes, échangeait avec moi des regards brûlants. Le désir était palpable.

Avant que je ne m’en rende compte, nos lèvres se rejoignirent dans un baiser ardent. Mes mains glissèrent sous son débardeur, caressant son ventre et remontant jusqu’à sa poitrine. Elle gémit doucement, mes doigts jouant habilement avec ses tétons. Elle retira son haut, révélant ses seins fermes que je pris en bouche avec avidité, mordillant jusqu’à ce qu’elle halète de plaisir.

Impatiente, Camille déboutonna ma chemise et fit glisser mon pantalon à mes chevilles. Mon érection, bien visible sous le boxer, n’échappa pas à son regard. Sans un mot, elle tira délicatement sur le tissu, libérant mon sexe dur. Elle se mit à genoux devant moi, le prenant en main avant de le glisser dans sa bouche, ses lèvres enveloppant chaque centimètre avec une faim insatiable. Sa langue tournoyait autour de mon gland, descendant lentement le long de mon sexe jusqu’à mes couilles. Chaque mouvement de ses lèvres me rapprochait dangereusement du point de non-retour.

Juste avant que je ne cède, elle se redressa, ses yeux pétillants de malice. Elle enleva son pantalon et son string en dentelle, revenant à califourchon sur moi. Son sexe déjà bien humide frôlait le mien, et elle s’empala lentement, savourant chaque centimètre. Nous étions plongés dans une danse lente et intense, nos corps se cherchant, nos respirations s’accélérant.

C’est alors que la porte de l’appartement s’ouvrit brusquement. Max, figé, nous regardait. Camille ralentit ses mouvements, se dégageant de moi pour reprendre mon sexe en bouche, l’engloutissant avec une avidité nouvelle, tout en gardant les yeux fixés sur Max. Elle releva légèrement la tête, ses lèvres glissant le long de ma queue, et murmura avec un sourire provocant : « Tu comptes juste regarder ? »

Max, après un moment d’hésitation, referma la porte et s’approcha. Camille tendit la main pour l’attirer vers nous, chuchotant : « Viens, on a assez de place. » En quelques secondes, Max se retrouva nu à son tour, son sexe dur prêt à l’action. Camille, sans perdre de temps, le prit en bouche, ses lèvres se déplaçant avec la même ferveur qu’elle avait montrée avec moi. Les gémissements de Max se mêlaient aux miens alors qu’elle passait de l’un à l’autre, sa bouche experte nous procurant un plaisir intense.

Camille se repositionna ensuite sur moi, s’empalant à nouveau sur ma queue tandis que Max se plaçait derrière elle. Ses mains caressaient ses hanches avant de descendre, explorant son sexe trempé et ses fesses. Elle gémit plus fort, stimulée par notre double présence. Max guida son sexe jusqu’à sa rondelle et commença à la pénétrer lentement. Camille cria de plaisir, son corps pris entre nous deux, chaque coup la rapprochant un peu plus de l’orgasme.

Les gémissements, les soupirs et le bruit des corps s’entrechoquant remplissaient l’appartement. Camille se perdit dans une vague de sensations, ses mains agrippant le canapé. Les contractions de son corps autour de moi me poussèrent à l’orgasme, juste au moment où Max jouit en elle. Nous atteignîmes l’extase ensemble, Camille culminant avec une intensité qui refléta notre propre plaisir.

Essoufflés, nous nous effondrâmes sur le canapé, Camille entre nous deux, un sourire satisfait aux lèvres. « C’était… intense, » souffla-t-elle, ses yeux encore brûlants de désir. Max et moi échangeâmes un regard complice, conscients que cette nuit avait définitivement changé notre relation.

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