Le Trophée 4 (Le retour !)

Le Trophée 4 (Le retour !)

Les quelques heures qui ont suivies mon réveil sont confuses. Je suis dans une sorte de brouillard, n’arrivant pas à savoir ce qu’il s’est réellement passé. Cette confusion de l’esprit est très désagréable et je conserve dans ma poche le string, mon « trophée » qui semble être le seul élément qui me rattache à une réalité dont j’ignore encore si elle n’est que virtuelle (mais alors, comment serais-je entré en sa possession ?) ou si (comme je l’espère) cette réalité « existe » vraiment. J’ai pourtant des bribes de souvenirs qui me reviennent au fur et à mesure de la journée et c’est un coup de téléphone salvateur qui va enfin déchirer le rideau de mes incertitudes et me ramener à la raison. La voix au bout du fil, un peu anxieuse, je la reconnais tout de suite. Il s’agit de C. ! Elle existe donc elle n’est pas le fruit de mon délire ! Bien entendu, comment en douter, comment l’oublier !!
• Allo, alors tu vas mieux ?
• Euhhh oui, je crois, mais je suis encore perdu, tu peux m’expliquer ce qu’il s’est passé ?
C. me raconte alors les évènements en détail. Après nos exploits dans la cabine d’essayage, j’ai fait un malaise vagal et je suis resté inanimé quelques secondes. A mon réveil, je ne savais plus où j’étais et les deux jeunes femmes se sont inquiétées. Ne voulant pas tout de suite appeler les secours, eu égard à la situation un peu particulière, elles ont décidé de me ramener chez-moi en voiture et C. a fini par appeler un médecin urgentiste qui est venu quelques heures plus tard. C. est resté à mon chevet pendant tout ce temps. Le médecin a parlé d’une perte de mémoire due à un excès de stress et de fatigue et il a assuré que les choses rentreraient dans l’ordre dans quelques heures et il a préconisé du repos et un somnifère. C. a fini par rentrer chez-elle car elle avait des obligations, en me laissant dormir profondément et c’est elle qui a glissé dans ma main le string appartenant à la vendeuse et qui trônait, tel un trophée, sur ma table de chevet, comme un moyen de me rappeler les évènements de la veille !
Me voilà donc rassuré et ragaillardi ! Notre trio dans la cabine d’essayage du magasin de lingerie était réel, un rêve, oui, mais un rêve éveillé ! Et le passage angoissant où je me suis cru enfermé dans ladite cabine n’était qu’un cauchemar !
Quelle curieuse expérience tout de même ! C. m’invite alors à une soirée chez-elle dans deux jours pour fêter mon rétablissement, non sans m’avoir conseillé de consulter un médecin pour m’assurer que tout est rentré dans l’ordre. Je parviens à obtenir un rendez-vous dans la journée et mon médecin me confirme bien qu’il ne s’agit que d’une fatigue passagère qui n’a rien à voir avec une quelconque activité sexuelle.
Deux jours plus tard, je sonne à l’appartement de C., un bouquet de fleurs à la main, pour la remercier de s’être occupée de moi. Lorsque cette dernière m’ouvre la porte, elle me fait un grand sourire
• Tu nous as vraiment fait peur, tu sais, entre, j’ai une surprise pour toi !
Dans le salon je retrouve, à ma grande joie, ma petite vendeuse et Je la trouve encore plus belle que les jours précédents. Elle semble épanouie et ressemble plus à une jeune femme consciente de son charme et de ses atouts qu’à la personne timide qui rougissait face à mes avances empressées. Elle semble d’ailleurs tout à fait à l’aise dans une tenue assez minimaliste qui lui va divinement bien : une mini-jupe à carreaux qui met en valeur ses jambes superbes et un croc-top qui lui va merveilleusement bien, dévoilant son ventre exquis. Et je note qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, ses petits seins appétissants semblant déjà pointer, à moins que je ne sois entrain de délirer ? De son côté, C. porte sa jupe crayon préférée et un petit haut qui dévoile sa poitrine généreuse. Je suis aux anges et je me dis qu’avec un tel accueil, la soirée va être délicieuse, bref, je frétille ! Pourtant, au cours du dîner, je suis parfois surpris en découvrant des regards complices échangés entre C. et Agathe, car je découvre enfin son prénom ! Et je devine que les deux jeunes femmes ne m’ont pas attendu pour faire connaissance de façon… plus intime. Sacré C. elle n’a pas perdu son temps et semble avoir pris Agathe sous son aile !
Soudain, C. se lève et tout en me demandant de rester assis sur ma chaise, elle se met derrière moi et me susurre à l’oreille
• Tu ne trouves pas que Agathe a changé ? Regarde comme elle a pris confiance en elle. On va faire un petit show rien que pour toi ! Sois gentil, donne-moi tes bras, stp
Complètement sous le charme, je lui obéis, ravi du spectacle qui m’attend, mais avant même de comprendre, je sens une pression autour de mes poignets. C. m’a enchainé avec des menottes, les mains dans le dos, attaché à la chaise
• Mais… qu’est-ce que tu fous ? C’est quoi ce délire ?
• Chuuut, ne t’inquiètes pas, le médecin a dit que pendant un certain temps, tu devais rester chaste, donc tu as le droit de regarder, mais interdiction de te branler !
Ce faisant, elle se lève et viens rejoindre Agathe. Devant moi, les deux jeunes femmes commencent à s’embrasser, puis à se déshabiller lentement. C. prends les choses en main, c’est le moins que l’on puisse dire ! Tout en la couvrant de baisers, elle fait courir ses doigts experts sur tout le corps d’Agathe, parcourant ses jambes, son ventre, ses seins menus, son cul si magnifique et bientôt sa jolie chatte que je peux admirer à loisir car Agathe est allongée sur le dos, en face de moi, les jambes ouvertes et C. la caresse doucement avant de se pencher sur elle pour la lécher. Elle n’a même pas pris le temps de lui retirer sa mini-jupe qui est simplement relevé sur ses hanches. Bien entendu, ce spectacle magnifique ne peut pas me laisser indifférent et j’ai très vite une très, très forte érection, mais impossible de me dégager et de me caresser ! Je comprends le jeu de C. qui s’amuse de la situation et qui, s’étant relevé à genoux, regarde mon entrejambe
• Difficile de résister, pas vrai ? Attends, je vais t’aider.
Elle défait mon ceinturon, baisse pantalon et boxer et libère ainsi mon sexe raide et turgescent et…… c’est tout ! Je m’attends à ce qu’elle s’occupe un peu de moi, mais non, elle me laisse dans cet état et replonge dans les bras d’Agathe. Les deux jeunes femmes sont tendrement enlacées avant qu’Agathe ne se retourne et ne se mette à 4 pattes. Muni d’un gode de belle taille, C. commence à passer le sex-toy le long de la chatte trempée de sa nouvelle amie tout en lui caressant tendrement le cul, non sans lui infliger une ou deux fessées vigoureuses pour l’inciter à se cambrer encore mieux et ainsi pouvoir lui enfiler un puis deux doigts dans son petit trou. Et bientôt, elle enfonce le gode dans le vagin d’Agathe et commence à la pénétrer fermement tout en lui prodiguant un annulingus, ce qui est le péché mignon de C. dont la langue agile vient remplacer avantageusement ses doigts ! Pour moi, la séance tourne bientôt au supplice et n’en pouvant plus, je ravale ma fierté pour implorer Carmen de me libérer et me permettre de participer aux ébats ou au moins me branler. C. se retourne et sans cesser de goder Agathe, elle me regarde, les yeux brillants et affiche un sourire de garce pour me répondre
• Il n’en est pas question ! Interdiction de te branler, je te les déjà dit et je ne veux plus t’entendre !
Elle saisit alors le string, mon « trophée » et s’en sert pour me bâillonner, me réduisant ainsi à l’état d’esclave, de spectateur passif qui doit se contenter d’admirer deux magnifiques jeunes femmes prendre du plaisir, gémir et jouir. Je transpire et j’ignore s’il s’agit de la sueur ou des larmes de dépit qui coulent devant mes yeux. Je vois comme dans un brouillard, des godes pénétrer des chattes et des culs, des seins trembler et des visages se tordre de plaisir. Je n’en peux plus ! Mon érection est tellement forte qu’elle en est douloureuse. Je n’ai jamais connu cela mais à mon grand étonnement, je ressens également une sorte de satisfaction à être ainsi frustré et à être empêché de me caresser ! En fait, je ne sais plus trop où j’en suit. Au bout d’un moment, les deux jeunes femmes semblent rassasiées pour un temps et C. glisse quelques mots à l’oreille d’Agathe qui aussitôt vient se mettre à genoux devant moi. Elle me fait un adorable sourire puis empoigne mon sexe et commence à me branler doucement. Le plaisir, décuplé par la frustration et l’attente est alors tellement intense qu’il me semble que je vais craquer très vite, mais la voix de C. surgit presque aussitôt
• Stop ! ça suffit
Et Agathe cesse sa masturbation qui n’aura duré que quelques secondes !
• Je te l’ai dit, pour le moment tu n’as pas le droit de jouir ! Je veux que tu sois dans un état de manque comme tu n’en as jamais connu ! Tu nous as fait peur la dernière fois, alors c’est notre façon à Agathe et moi de nous venger ! On va s’amuser un peu avec toi. C’est bien compris ?
Je hoche la tête pour marquer mon approbation.
• Tu vas rester comme ça et si tu restes bien sage et obéissant, tu pourras rentrer chez-toi
Je trouve tout cela assez cruel, mais j’ai décidé de jouer le jeu, excité par ces nouvelles sensations qui m’envahissent et puis de toute façon, on ne résiste pas à C. ! Les deux jeunes femmes vont donc me laisser dans cette position un bon moment, vaquant à diverses occupations, acceptant seulement de m’ôter le bâillon et par moment de jouer avec ma queue, prodiguant ici et là quelques vas et vient, histoire de me refaire durcir et cessant aussitôt le mouvement masturbatoire. Je suis dans un état assez incroyable. En fait, je n’en peux plus et C. décide enfin de me libérer de mes liens, convaincue (à juste titre) qu’à l’issue de cette séance, elle a brisé ma résistance et que je suis désormais totalement docile et prêt à tout accepter. C. me rappelle les règles de ce nouveau jeu.
• Tu vas tranquillement rentrer chez-toi et je te téléphone demain pour te donner la suite des instructions et en attendant, pas de masturbation et pas de plaisir, c’est bien clair ?
• Oui…. Ok
Et comme pour marquer son territoire et que je n’oublie pas ses ordres, comme un mouchoir que l’on noue pour se souvenir d’une chose à faire, elle noue autour de ma queue le petit string blanc, mon « trophée » qui est devenu désormais le signe ostentatoire de ma soumission à tous ses caprices !
(à suivre)

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