Fantasme à la fac

Fantasme à la fac

Je suis Aymeric, professeur de littérature à l’université, maître de conférences aussi. Je suis aussi écrivain, j’aime les lettres, et j’ai publié quelques essais et un premier roman.

Je suis passionné par le libertinage et les libertins, j’adhère vraiment à ce qui est, pour moi, un véritable art de vivre.

Je suis donc un homme simple, heureux, curieux, ouvert. Je plais aux femmes, ce qui ne dérange pas mon épouse qui partage ma philosophie à propos du libertinage. Ma femme est très belle, très séduisante et plaît beaucoup aux hommes ; elle est intelligente, fine, subtile, drôle et je suis très fier d’elle.

Je ne suis pas jaloux de ses aventures, nous en parlons librement, j’aime qu’elle prenne du plaisir ailleurs et la sentir épanouie, et après tout, c’est très glorifiant, c’est tout de même avec moi qu’elle choisit de rester malgré ses éléments de comparaison.

J’ai aussi des aventures de mon côté, mais ma femme et moi préférons ne pas en parler. De toutes façons, moi aussi, c’est elle que je choisis chaque fois.

Nous nous choisissons mutuellement et cela nous rend très heureux.

Il y a une femme avec qui j’ai une aventure suivie depuis quelques années.

C’est assez drôle car elle est mariée également, avec un homme plus âgé, un érudit très estimé que je respecte au plus haut point. Nous partageons tous cette philosophie du libertinage.

Agnès est aussi ma collègue, professeure de lettres à l’université et maître ou maîtresse ? De conférences.

C’est une très belle femme, d’une quarantaine d’années, très élégante, et sophistiquée. Les élèves n’ont d’yeux que pour elle, elle est très attirante.

Blonde, de taille moyenne, mince, elle a les cheveux coiffés en carré avec des mèches d’un bond plus clair. Elle porte des tailleurs, des tenues ajustées, des bijoux, elle est soigneusement maquillée et manucurée jusqu’au bout des ongles.

C’est une femme charismatique d’une grande intelligence, et très mystérieuse. Elle a le goût du fantasme.

Je suis à sa disposition, pour ainsi dire ; c’est elle qui choisit nos rendez-vous, et elle décide à son gré de répondre ou non à mes sollicitations, j’adore sa liberté.

Parfois, je lui fais connaître mon désir grâce au contenu de mon cours, je fais des allusions qui la concernent et qu’elle comprend…

Hier, j’étais seul dans ma classe, je rangeais mes documents et sans frapper, elle est entrée. Magnifique, vêtue d’un long manteau noir, d’escarpins à talons vertigineux et coiffée d’un chignon sévère.

Elle n’a pas dit un mot et a mit un doigt sur ses lèvres pour que je me taise. Amusé, j’ai obéi.

Elle m’a alors poussé contre le tableau où je venais de donner mon cours.

Elle m’a embrassé à pleine bouche et m’a caressé, m’interdisant de la toucher, c’était très excitant.

Puis, elle s’est reculée, et a entrepris de déboutonner son manteau. Elle était parfaitement nue dessous, portant juste des bas fins noirs et un porte-jarretelles en dentelle. Avec ses talons noirs vernis, son maquillage, son vernis à ongles rouge sang, elle était fatale, et je bandais comme un jeune puceau.

Elle s’est caressée les seins devant moi, comme c’était beau. Ses tétons pointaient vers moi et je ne pouvais pas toucher ses courbes parfaites, sa peau blanche, ses fesses nues, sa chatte épilée, dont je voyais les contours de la vulve, hum…

Elle s’est assise au bord d’une table et a écarté les jambes, son clitoris gonflé luisait, sa chatte mouillait déjà, et elle m’a autorisé à me masturber. Je l’ai fait lentement pour ne pas interrompre trop vite les festivités.

Elle a caressé sa chatte, quelle audace, j’étais si excité, muet, admiratif. Je caressais doucement ma queue raide, et elle caressait sa chatte trempée, je voyais sa cyprine couler sur ses belles cuisses galbées.

J’ai pu la regarder jouir, voir son visage se crisper, son corps se tendre sous l’effet de l’orgasme, son clito gonflé et cette explosion de mouille par sa chatte, en jets. L’éjaculation féminine n’est pas un mythe, c’est à la fois une réalité et le plus beau des fantasmes…

Vaincu, j’ai éjaculé aussi devant elle. Puis j’ai léché sa chatte, pour garder son goût dans ma bouche et y repenser, plus tard…

Elle est partie en premier, puis j’ai rassemblé mes affaires et j’ai quitté la salle. Quelques élèves que j’ai croisés riaient….j’ai su ensuite que mes vêtements étaient plein de craie…mais quel souvenir inoubliable !

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