Comment j’ai fait craquer mon prof ! 2

Comment j’ai fait craquer mon prof ! 2

Quand j’ouvre la porte, il est là. Toujours aussi imposant, mais ce soir, il y a une lueur différente dans son regard. Quelque chose de sombre, de brûlant. Il ne dit rien, ne sourit pas. Il entre et referme la porte derrière lui d’un geste lent, presque calculé.

— Tu es sûre de ce que tu fais ? Sa voix est grave, vibrante, et enflamme déjà quelque chose en moi.

Plutôt que de répondre, je fais glisser ma veste de mes épaules, la laissant tomber au sol. Ma robe épouse mes courbes, fendue sur la cuisse, révélant juste ce qu’il faut. Son regard s’y attarde, puis remonte lentement jusqu’à mes lèvres. Il inspire profondément, comme s’il essayait de se contenir.

— J’attends ça depuis des semaines, soufflé-je dans un murmure provocant.

C’est la goutte de trop.

Il réduit l’espace entre nous d’un pas brusque, me saisit par la taille et m’attire contre lui. Son corps est dur, brûlant contre le mien. Sa main s’enroule dans ma nuque, et sa bouche s’écrase sur la mienne, avide, affamée.

Je m’accroche à ses épaules tandis qu’il me pousse contre le mur, ses hanches pressées contre les miennes. Son souffle est court, son emprise ferme. Il mordille ma lèvre, glisse sa bouche le long de ma mâchoire, descend sur mon cou qu’il capture entre ses dents. Un frisson me parcourt.

— Tu aimes jouer, hein ? murmure-t-il contre ma peau.

Je souris, mais il resserre son emprise sur mes hanches, me forçant à cambrer sous lui.

— À genoux.

Son ordre claque dans l’air. Je frémis.

Mon regard plonge dans le sien. Il est sérieux. Intense.

Un sourire mutin effleure mes lèvres, et lentement, je me laisse glisser à terre, mes mains traçant un chemin brûlant le long de son torse. J’effleure la boucle de sa ceinture, la défais, centimètre par centimètre. Il ne bouge pas, mais son souffle s’accélère imperceptiblement.

Lorsque je fais glisser son pantalon, il grogne, sa main venant capturer ma mâchoire pour me forcer à lever les yeux vers lui.

— Continue.

Sa voix est rauque, chargée d’une tension brute.

Je prends mon temps, savourant chaque réaction qu’il me laisse entrevoir, chaque frémissement. Ses doigts s’enroulent dans mes cheveux, exerçant une pression délicieuse. Il me guide, impose son rythme. Son plaisir devient le mien, et l’entendre perdre le contrôle m’électrise.

Brusquement, il m’attrape sous les bras et me redresse, me plaquant contre lui.

— Tourne-toi.

Son souffle est chaud contre mon oreille, son corps un mur brûlant derrière moi. Ses doigts descendent le long de ma colonne, attrapent le tissu de ma robe et le font remonter lentement. Je frissonne sous la sensation de sa main qui explore ma peau nue.

Puis, sans prévenir, il me soulève, me porte jusqu’à la table la plus proche et m’y allonge d’un geste sûr. Mon cœur bat à tout rompre. Il n’est plus question de douceur. Il veut me posséder.

Il écarte mes cuisses d’un mouvement ferme, sa main agrippant mon poignet pour me maintenir en place. Sa bouche effleure mon ventre, descend lentement. Il prend son temps, joue avec mon impatience.

— Tu voulais me provoquer, hein ?

Sa voix est un murmure grave.

Il me fait languir jusqu’à ce que l’attente devienne insupportable. Puis, d’un coup, il plonge dans l’instant, m’arrachant un gémissement rauque. Son toucher est exigeant, précis. Mon dos se cambre sous l’intensité de ses caresses. Il me pousse à bout, sans relâche, maîtrisant chacun de mes frissons.

Je m’accroche au bord de la table, les ongles plantés dans le bois. Son rythme est implacable, sa domination totale. Il me consume, m’épuise, jusqu’à ce que je cède complètement sous lui.

Et quand enfin il me laisse reprendre mon souffle, son regard satisfait, dominateur, me fait frissonner.

— Ce n’était que le début, murmure-t-il contre ma bouche avant de capturer mes lèvres dans un baiser féroce.

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