Candauliste et heureux de l’être / Partie 1
Je suis le mari d’Emilie. A quoi bon dire mon prénom insignifiant ? C’est Emilie, ma femme chérie et vénérée qui est importante, pas moi.
Cela fait 10 ans que nous sommes mariés, quelle chance j’ai ! Emilie a 38 ans, elle est brune, avec des longs cheveux bouclés, des yeux bleus magnifiques sur un teint de porcelaine parfait.
Elle n’est pas très grande, mais elle a un corps infernal, il brûle comme les flammes de l’Enfer. Ses proportions sont parfaites, 95 D, une taille de 70, et des hanches de 95.
Ses seins sont fermes, en forme de poire, avec des aréoles larges et des tétons longs qui pointent bien droit et bien dur.
Une telle femme ne pouvait pas rester qu’à moi…
J’ai été le premier à m’en apercevoir, d’ailleurs. J’ai toujours vu les regards des autres hommes, parfois avec un peu de jalousie, mais surtout avec envie. Ce que je veux dire, c’est que cela m’excite.
J’aime quand ma femme excite les mâles. Quand elle porte des tenues moulantes, les hommes se retournent sur elle, et j’aime ça, qu’ils matent ses jambes, son cul ou ses seins.
A la piscine, on la regarde beaucoup, je vois bien que les hommes la regardent longtemps…
A la plage, en général, elle porte un bikini, mais son corps splendide débordé de partout…les mecs la matent à fond, et ça me plaît, ça me fait frissonner de partout.
Un jour, elle a fait du topless. Allongée sur le dos, ses seins exposés aux regards, je voyais les hommes passer et regarder, et s’attarder même, hummm. Puis elle s’est levée pour aller à l’eau, ses seins bougeaient et j’ai vu un homme avec des yeux exorbités la mater.
Elle s’est mise à courir pour se baigner, ses seins sautaient devant elle, ses longs tétons étaient durs, et lui, il la suivait du regard avec une bosse dans le slip, Je l’ai vu mettre sur sa queue en se cachant maladroitement avec sa serviette. Et tout ça m’excitait.
Le soir, en rentrant, je me suis branlé très fort en y repensant et j’ai giclé comme jamais.
Mais j’y pensais tout le temps ; j’avais envie de voir ma femme jouir avec d’autres hommes, devant moi, belle comme jamais.
Mais comment lui soumettre cette idée ? J’avais tellement envie que cela se fasse naturellement, ou que cela vienne d’elle-même. Je n’osais même pas lui demander si elle en avait envie,et je n’osais pas lui dire que j’en rêvais !
Puis, j’ai eu l’idée de l’emmener dans un sexshop et louer un film dans lequel il y aurait un couple comme nous qui réaliserait mon fantasme.
Nous avons choisi le film ensemble, Emilie en a profité pour faire quelques achats coquins de lingerie et petits gadgets sexy.
Il y avait le prospectus d’un club libertin et échangiste, je l’ai pris à tout hasard…
En rentrant, nous avons regardé le film le soir même. C’était une très belle femme brune qui trompait son mari avec tous les voisins de l’immeuble et son mari regardait en se branlant.
J’étais super excité, et Emilie m’a chevauché, nue, en amazone, en disant « mais c’est qu’il est tout émoustillé ! Tu aimes ça, les maris cocus, fais attention à toi ! On ne sait jamais, mon chéri ».
Ce sous-entendu plein de promesses m’a fait jouir encore plus vite dans la chatte chaude et trempée de ma femme.
Ah, si seulement…