Les hommes mariés !

Les hommes mariés !

Depuis aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu une préférence pour les hommes mariés. Peut-être parce qu’ils incarnent un mélange fascinant de maturité, d’interdit et de discrétion. D’ailleurs, je ne recherche que des hommes avec une alliance au doigt : les célibataires ne m’intéressent pas. Trop disponibles, trop envahissants, trop en quête d’une relation à construire. Moi, ce que je veux, c’est l’éphémère, le frisson du caché, l’adrénaline des rendez-vous volés.

Les hommes mariés ont cet avantage inestimable : ils ne sont pas exigeants. Ils ne me demandent ni exclusivité, ni disponibilité constante. Ils savent se contenter des miettes de temps que je leur accorde, car eux-mêmes jonglent avec un emploi du temps millimétré entre leur vie de famille et nos instants clandestins. Pas de disputes inutiles, pas de crises de jalousie, juste des moments intenses, volés au quotidien, qui ont la saveur du défendu.

Et puis, au lit… ils sont merveilleux. De véritables dieux ! Sans doute parce qu’ils ont tant à prouver, à eux-mêmes comme à moi. Loin de la routine conjugale, ils retrouvent avec moi l’excitation de la première fois, l’urgence des amours secrètes. Ils se donnent corps et âme, avides de sensations nouvelles, prêts à tout pour faire durer ces instants hors du temps. Avec eux, chaque rencontre est un feu d’artifice.

Ils savent utiliser leurs corps entiers pour me faire frémir de plaisir. Leurs doigts savent trouver et titiller mon clitoris à la perfection. Leur bouche sait comment m’embrasser, comment jouer sur mes tétons bien dures et surtout elle sait pas me bouffer la chatte pour me faire monter au 7ème ciel en quelques coups de langues bien placé !

Et tout ça c’est sans compter sur leur queue, les positions du kamasutra n’ont aucun secret pour eux ! Peut-être sont ils lassés du missionnaire avec leur bonne femme et du coup avec moi qui se lâche et réalise tout ce qu’ils ne peuvent pas faire chez eux ?

 

C’est incroyable le nombre d’homme mariés que j’ai eu dans mon lit et qui ne voulaient que me défoncer la rondelle… Mon petit cul est devenu un lieu de pèlerinage grâce à eux !

S’ils savent comment me donner du plaisir, je ne suis pas en reste. Ma bouche bien dessinée et bien maquillée sait parfaitement comment avaler entièrement leur queue pour leur procurer un maximum de sensation. Quand ma langue rencontre leur gland, je les entends frémir d’excitation ! Leur femme ne doit leur faire ce plaisir que pour les grandes occasions alors quand ils sont entre mes lèvres, ils se lâchent et me baise la bouche à grand coups de reins et généralement ils finissent même par me la remplir avec une bonne giclée de foutre bien chaud. Mais ce qui est le meilleur dans l’histoire c’est qu’ils se rhabille pour retrouver leur femme en gardant une trace de mon rouge à lèvre sur leur pubis… Mais aucun risque que madame ne tombe dessus, pour ça il faudrait qu’elle aille jeter un œil par là bas…

 

Au final, je rends service à toutes ces femmes. Elles ne s’en doutent peut-être pas, mais sans moi, leurs maris seraient bien plus frustrés, plus irritables, plus distants. Moi, je m’occupe d’eux, je les détends, je les aide à retrouver un peu de cette fougue qu’ils avaient perdue dans la routine conjugale. Grâce à moi, ils rentrent chez eux plus légers, plus sereins, et surtout… bien plus généreux.

Parce que oui, ces messieurs culpabilisent. Ils ont beau se dire que ce n’est qu’un jeu, qu’un moment volé sans conséquence, la petite voix dans leur tête leur rappelle qu’ils ont une femme à la maison, une femme qui ne doit surtout pas se douter de quoi que ce soit. Alors, pour compenser, ils sortent le grand jeu : bouquets de fleurs hors de prix, bijoux scintillants, dîners dans des restaurants chics… Madame est couverte de cadeaux sans même savoir pourquoi, et tout ça, c’est grâce à moi.

Pendant ce temps, moi, j’ai droit à ce qui m’intéresse vraiment : du plaisir, du frisson, des orgasmes à la pelle. Pas de disputes sur la vaisselle qui traîne, pas de longues soirées à écouter des plaintes sur le boulot ou les enfants, juste de la passion, du désir brut, et parfois même quelques petites attentions coquines – de la lingerie fine, un parfum envoûtant, ou un week-end dans un bel hôtel.

Et franchement, entre leur place et la mienne, je n’hésite pas une seconde. Elles ont les obligations, moi j’ai les plaisirs. Elles ont les compromis, moi j’ai l’intensité. Elles s’endorment auprès d’un homme qui rêve d’ailleurs, moi je suis cet ailleurs. Qui est vraiment à plaindre dans cette histoire ? Pas moi, en tout cas !

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