Confession d’un homme en string !

Confession d’un homme en string !

Je m’appelle Julien. J’ai trente-deux ans, et je suis un homme qui adore porter de la lingerie féminine. Rien de ce qui pourrait paraître extravagant ou exagéré : je ne parle pas de porte-jarretelles ou de soutiens-gorge. Non, ce que j’aime, ce sont les strings et les petites culottes. Ces bouts de tissu si fins qu’ils en deviennent presque insupportables, et pourtant, tellement excitants.

La première fois, c’était presque par accident. Une ex, Claire, avait laissé un string noir en dentelle chez moi. Cette petite pièce, abandonnée négligemment sur le lit, m’a intrigué. La dentelle semblait tellement douce sous mes doigts que je n’ai pas résisté. J’ai cédé à une impulsion étrange et l’ai glissé sur mes hanches, juste pour voir.

Le contact de la dentelle sur ma peau nue m’a pris par surprise. C’était à la fois doux et serré. Le string s’est plaqué contre mon sexe, l’écrasant légèrement. Ce frottement, cette légère pression, était terriblement agréable. Quand je me suis regardé dans le miroir, j’ai d’abord eu envie de rire. Mais plus je me regardais, plus je me trouvais… sexy. Ridicule, peut-être, mais aussi terriblement vulnérable.

Claire a découvert mon petit jeu quelques semaines plus tard. Elle était rentrée plus tôt que prévu et m’avait surpris dans notre chambre, en train de m’admirer dans un string rouge vif que j’avais acheté en cachette. La surprise sur son visage s’est rapidement transformée en un sourire taquin.

« Alors comme ça, monsieur aime jouer les petites cochonnes ? » avait-elle dit, en refermant la porte derrière elle.

Je ne savais plus où me mettre. Mon visage a pris feu, et j’ai balbutié une excuse idiote. Mais Claire n’avait pas l’air choquée. Au contraire, elle semblait amusée, presque excitée par ce qu’elle voyait.

« Viens ici, » m’a-t-elle ordonné en s’asseyant sur le lit. Je me suis approché, tremblant, mon sexe à peine dissimulé par le string qui me coupait légèrement les hanches. Elle a passé un doigt sur la dentelle, puis a tiré doucement sur la fine bande qui s’enfonçait entre mes fesses.

« Regarde-toi, Julien, » a-t-elle murmuré. « Un grand garçon comme toi, serré dans un si petit bout de tissu… C’est pathétique. Et pourtant, c’est terriblement excitant. »

Je ne savais plus quoi répondre. La honte me brûlait, mais en même temps, son regard et ses mots me faisaient perdre pied. Elle a tiré un peu plus fort sur le string, le faisant claquer contre ma peau.
« Dis-moi, tu aimes ça, hein ? Te sentir serré, enfermé dans cette petite chose ridicule ? »

J’ai hoché la tête, incapable de parler. Elle a éclaté de rire, un rire moqueur, mais qui contenait une pointe d’envie. Elle m’a fait tourner sur moi-même, inspectant chaque détail.
« Regarde-moi ces fesses… Cette petite bande qui disparaît entre elles… Tu es parfait comme ça, une vraie petite salope. »

Les jours suivants, Claire a décidé de jouer avec mon nouveau penchant. Elle m’a acheté des strings, des culottes en dentelle, des tissus si fins qu’ils semblaient fondre au contact de ma peau. Elle adorait me voir les enfiler pour elle, me regarder marcher dans l’appartement, la tête basse, mon sexe serré et comprimé dans ces petites pièces insuffisantes.

« C’est bien ça, Julien, » disait-elle souvent. « Tu es à moi. Et chaque fois que tu portes ça, tu me montres à quel point tu es docile, soumis. Une vraie petite chienne. »

Parfois, elle m’humiliait encore plus. Elle adorait tirer sur la bande du string, la remonter jusqu’à ce que le tissu se perde complètement entre mes fesses. Elle me faisait m’agenouiller devant elle, et d’un ton autoritaire, elle murmurait :
« Avoue-le, Julien. Dis-moi que tu es ma petite pute. »

Et moi, je le disais. Parce que dans ces moments-là, malgré la honte, je ressentais une excitation impossible à décrire. Être ainsi exposé, jugé, réduit à cet état de vulnérabilité totale, me procurait un plaisir inouï.

Il y avait quelque chose de paradoxal dans cette dynamique. Plus Claire me rabaissait, plus elle jouait avec cette image de « petite coquine » qu’elle m’avait collée, et plus je me sentais vivant, désiré.

Un soir, elle a décidé de pousser le jeu encore plus loin. Elle avait invité une amie à dîner, sans me prévenir. Avant que la soirée ne commence, elle m’a tendu un string en dentelle noire et m’a ordonné de le porter sous mon pantalon.
« Ne fais pas cette tête, Julien. Personne ne le saura. Mais moi, je saurai. Et ça suffira pour te garder bien à ta place. »

Durant tout le repas, je n’ai pas pu me concentrer. Le string me semblait encore plus serré que d’habitude. Chaque fois que je bougeais sur ma chaise, le tissu frottait contre ma peau, me rappelant que j’étais à la merci de son regard complice.

Depuis Claire est sortie de ma vie mais je continue de porter mes strings et mes culottes. Pas pour plaire à quelqu’un, mais pour moi. Parce que ce sentiment d’être à la fois exposé et en contrôle de mon propre plaisir, c’est quelque chose que je ne peux abandonner.

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