Dressage de l’Avent Partie 2

Dressage de l’Avent

Partie 2

Oh la la, quelle aventure !

J’ai été dressée du 1er au 2′ décembre, je crois que je suis la soumise la plus heureuse du monde !

Ma très aimée Maîtresse a été si patiente de me subir tout ce temps avec tous mes défauts, mes erreurs et mes outrages que j’en ai encore honte.

Quelle pédagogie ! Je n’aurais pas pu rêver meilleure éducatrice pour la loque que je suis.

Mais il y a eu des résultats, heureusement !

J’ai donc été dressée comme il se doit, alternant séances de dilatation de ma petite chatte avec godage pour pouvoir servir les invités, et séances pendant lesquelles je devais apprendre à être une bonniche acceptable afin que les festivités de Madame se déroulent au mieux.

Tous les jours, j’ai porté ma tenue de soubrette jusqu’à ce qu’elle me devienne une seconde peau, une identité. Parfois, j’avais le droit, le devoir même, de laver ma tenue à la main, à l’eau froide pour ne pas l’abîmer, avec du savon de Marseille.

Maîtresse en a profité pour me faire laver tout son linge délicat ainsi, à l’eau froide, au savon de Marseille. J’avais un epu mal aux bras et au dos, et j’ai osé me plaindre au début.
Naturellement, Madame m’a châtiée avec raison, et les coups de paddle m’ont réchauffée…

J’ai appris aussi à manger comme une bonne petite chienne, assise devant ma gamelle posée par terre. J’étais très gênée que Madame me la prépare, aussi j’ai proposé de le faire moi-même afin de lui épargner la corvée. Désormais, je lui évite ce désagrément et je mange proprement à ses pieds, sans couverts, la gueule dans la gamelle. Comme je suis bien aux pieds de Maîtresse.

Elle m’a aussi appris à me promener correctement en laisse, à ses pieds et à obéir aux ordres simples. La seule fois où j’ai mal obéi aux ordres, j’ai été frappée avec un journal roulé. Ca fait mal, mais c’est formateur.

Le plus dur dans ce dressage de l’Avent, fut de maîtriser ma satanée queue. Ou du moins ce qu’il en reste, car je trouve qu’elle a rétréci à force d’être encagée.
Cet appendice maudit ne fait que tenter de se rebeller. Il se soulève inopinément, mais c’est ma faute aussi. Je désire tellement ma Maîtresse d’amour, elle est si belle, si puissante…

Maîtresse m’a fait exécuter chaque jour des entrainements très difficiles pour maîtriser cette misérable bite rebelle.

Soit elle m’obligeait à regarder des strip-teaseuses en webcam, vraiment très sexy, qui finissaient complètement nues en train de se goder. Madame me vantait leurs qualités, insistant sur la beauté de leurs seins, la sensualité de leurs chattes ouvertes, de leurs culs bombés.

Ma pauvre queue pleurait et Maîtresse frappait fort mes sacs à jus et ma méchante queue avec le journal ou le paddle ou le fouet…

Parfois, elle montait le niveau de difficulté en se mettant nue, magnifique et en me laissant téter ses seins magnifiques…le téton de Maîtresse dans ma bouche, c’était intenable. Ma queue voulait grossir dans sa petite cage et je souffrais tout en jouissant, et en coulant du sperme avec un sentiment mêlé d’échec et de jouissance. Et honteusement, je n’avais qu’un envie, recommencé…

Je n’ai donc pas réussi à cette dernière épreuve mais les festivités se sont bien déroulées.

J’ai accueilli les hôtes de Madame, et je suis allée préparer le somptueux repas.

J’ai servi à table, très poliment, en me penchant bien comme madame me l’a appris, afin de bien montrer mon beau rosebud rouge brillant.

Les invités mâles me frappaient les fesses, et c’était agréable…ils avaient aussi les mains baladeuses.

Après le repas, nous sommes passés au salon privé et Madame m’a offert comme cadeau commun. Les invités pouvaient faire ce qu’ils voulaient avec la chose de Maîtresse.

Les hommes et les femmes aussi ont caressé mon cul, et retiré mon rosebud. Ils me l’ont fait lécher, puis un homme a remplacé le rosebud par sa bite touffue, et a spermé dans ma bouche de pute. Hum..

Ils sont passés dans ma bouche et dans mon petit trou à la queue leu leu, j’ai joui du cul comme une grosse salope et j’ai sucé jusqu’à faire spermer tout le monde…

Puis Maîtresse a suggéré aux femmes de se mettre nues, et m’a obligé à regarder. Elles se caressaient entre elles, se léchaient la chatte, les mâles les caressaient et ma pauvre bite grandissait dans ma cage à ma faire souffrir atrocement…

Puis l’un d’elles, superbe, m’a fait téter ses gros seins ronds, j’étais au supplice, une autre m’a ordonné de doigter sa chatte trempée, infernal. Puis j’ai dû sucer une chatte, toute rasée, toute douce, qui a giclé comme une fontaine dans ma bouche.

J’ai échoué, j’ai coulé du jus de salope à travers ma cage.

Maîtresse m’a punie devant tout le monde. Humiliations, insultes, martinet sur les sacs à jus, fouet sur les fesses, paddle sur la queue, pinces sur les tétons, j’étais au comble du bonheur et Maîtresse était ravie.

Vivement le dressage de l’après, j’ai très envie de continuer à apprendre !

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