Dressage de l’Avent partie 1
Voilà, Décembre commence et mon dressage spécial aussi.
Je suis soumise Denise, et j’appartiens à Maîtresse Selma. Cela fait déjà plusieurs mois que je suis en apprentissage, et j’adore ça, je suis enfin sur le bon chemin pour être moi-même.
Maîtresse Selma se donne beaucoup de mal pour mon éducation, et je reconnais que cela ne doit pas être facile.
Mais Noël approche et en cette période de fête, j’ai envie de faire plaisir à Madame et lui prouver qu’elle n’aura pas à regretter de me supporter.
Maîtresse adorée va organiser une réception pour les fêtes, nous aurons plusieurs jours de joie. Le réveillon, le jour de Noël, la Saint-Etienne, et le réveillon de la Saint-Sylvestre. Les amis de Madame vont festoyer et je veux qu’Elle soit aussi à la fête !
Je suis déjà très à l’aise en soubrette. Ma tenue me va à merveille, c’est normal, c’est Maîtresse qui l’a choisie. Une robe noire très courte, évasée à partir de la taille, très décolletée avec un petit col blanc en dentelle. Les manches se finissent aussi avec des poignets en dentelle blanche.
Je porte aussi un tablier blanc ourlée de dentelle, et une culotte-panty en coton blanc, ourlé de dentelle aux cuisses.
Bien entendu, la culotte est fendue afin que l’on puisse voir le rosebud que je porte. Et aussi devant, pour mes honteux besoins d’élimination élémentaires, que j’effectue à travers ma cage de chasteté.
Maîtresse va me dresser sévèrement afin que je sois prête pour les fêtes.
Chaque jour, une nouvelle tâche va s’ajouter aux autres.
Je commence par nettoyer les sols à quatre pattes, jupe relevée, genoux bien écartés afin que l’on voit bien mon rosebud dont la couleur doit changer chaque jour, c’est très frustrant, car Maîtresse ne me touche pas, elle me surveille, et me punit si je suis trop longue, ou si ce n’est pas assez propre, et là, ô, joie, j’ai droit au martinet sur les fesses. Chaque coup m’excite, je sens ma peau rougir et j’appartiens encore plus à ma belle Maîtresse !
Le lendemain, Maîtresse me soumet à une séance de godage afin de bien dilater mon petit trou afin d’accueillir les queues de ses invités ou ce qu’il leur plaira de m’introduire. J’en suis déjà tout excitée, Maîtresse va me regarder me faire prendre par des mâles virils et me faire humilier par pénétration ! Hum, il va falloir que je soies à la hauteur…
Ma ravissante Maîtresse Selma porte une tenue bien trop sexy…Ses longs cheveux roux auburn sont lâchés, ses boucles tombent sur ses épaules nues. Elle porte une guêpière lacée très serrée, dans laquelle ses énormes seins sont emprisonnés. Ils pigeonnent, blancs, laiteux, il n’y q que le téton que je ne vois pas encore, quel délice !
Sa jupe longue crayon est très moulante, son superbe cul ondule à chaque mouvement, et ma petite queue au supplice veut durcir malgré moi…j’ai mal et j’adore ça, cette excitation douloureuse lorsque je désire Maîtresse…ma ridicule bite pleure, et madame s’en aperçoit, c’est encore plus excitant quand elle est en colère.
Là, elle est furieuse, elle m’insulte, et je remercie, elle me traite de perverse, de poubelle honteuse, de salope en chaleur, et je demande pardon à genoux.
Elle retire mon rosebud et me gode furieusement et me disant qu’elle va m’apprendre à faire la pute puisque je suis en chaleur…hummm, elle dilate mon anus, j’ai très chaud, mon cul est en feu, et ma bite aussi, et je coule du jus de pute en rut.
Maîtresse retire ma cage pour la resserrer plus fort. L’espace d’un instant, ma queue est libre, et par ancien réflexe, elle bande comme celle d’un homme. Je suis très excitée, mon sperme sort en giclée !
Maîtresse en a reçu sur les seins…elle me remet la cage bien serrée, et frappe ma queue, avec le martinet, avec ses mains gantées, c’est si bon d’être châtiée, je demande pardon.
Elle m’ordonne de nettoyer mes dégâts, et de lécher le sperme pour m’apprendre. Elle ouvre sa guêpière, ses gros seins jaillissent, luisants de sperme honteux, mais si beaux, les aréoles rousses larges encadrant des tétons longs et durs, un régal pour les yeux…
Ma bite recommence à vouloir durcir, Maîtresse met ma tête entre ses seins, je lèche comme une pute soumise le sperme qui l’a souillée. Que c’est bon de téter Madame ! Le sperme n’est pas si mauvais, je saurai être une bonne pute, mais il faut que ma queue arrête de vouloir grandir, c’est douloureux, mais si délicieux…j’ai encore des réflexes d’homme et je lèche la poitrine nue d’une femme sublime…j’oublie ma condition de soumise.
J’ai trop léché, avec trop d’avidité, ma queue a encore coulé… je vais encore recevoir une punition sévère…
Maîtresse adore le supplice de la tentation. Mon dressage de l’Avent promet d’être rude ! Quel bonheur !