Candauliste et fier de l’être / partie 2

Depuis que ma femme adorée, Emilie, m’a appelé « cocu » tout haut, même si c’était à moitié en plaisantant, je suis sur un petit nuage, et tout excité. Le ciel paraît plus bleu, les sons plus agréables, je revis !

Je rêve d’être un vrai cocu, pas seulement en fantasme, non un vrai cocu, un bon cocu qu’on trompe sous ses yeux, en se moquant de lui, dans mes rêves les plus fous, je voudrais même être cocu à la face du monde entier !

Je repense à cette virée au sexshop, si troublante et je sors le prospectus du club libertin échangiste. Je suis tout émoustillé, j’ai la queue qui frétille.

J’imagine déjà mon Emilie sous les regards plein de désir des mâles et finir par céder à son envie de se faire baiser par un ou plusieurs. Hum, ma petite queue durcit, je dois réaliser ce fantasme !

Je me jette à l’eau et je réserve pour un soir, all inclusive. Soyons fous, boissons à volonté, spa, sauna, hammam, accès à tout ce qu’il y a sur place, je veux que ma petite femme se sente bien.

La voilà qui rentre, je lui annonce la bonne nouvelle. Elle est étonnée, mais pas réticente. Je lui dis simplement que j’ai envie de nous faire plaisir à tous les deux, mais surtout à elle pour ne rien lui cacher.

Elle est curieuse, alors, je lui dis que tout peut arriver, et que tout ce qui lui fera plaisir fera mon bonheur. Elle rit et me demande « tu ne vas pas être jaloux, mon petit mari, si tu te retrouves cocu ? ». Je bande rien qu’à entendre ce mot. Elle voit la bosse dans mon pantalon et caresse ma bite, je suis en sueur… « Pourquoi pas ? Allons-y et profitons, mon petit chéri pervers ! ».

Vendredi soir. C’est le Jour J. J’ai des vêtements chics mais décontractés, mais je ne le suis pas du tout, je suis tout excité et tendu comme un string panthère.

Emilie est magnifique. Elle porte une jupe courte et moulante, qui dévoile ses longues jambes superbes, et son cul parfait. Elle porte un bustier noir, boutonné devant qui fait pigeonner ses gros seins. Elle va rendre les hommes fous de désir, je suis comblé.

Je conduis, elle me taquine, et m’appelle « mon petit mari cocu », je bande et elle me caresse la bite en riant, je suis au supplice.

Nous arrivons dans un endroit luxueux, contents. Emilie commande pour nous, les hommes la regardent avec envie, elle leur sourit, les allume sans se cacher, les prémices de mon cocufiage !

Un homme approche et nous salue, grand, brun, cheveux très courts, la trentaine, musclé, très distingué. Nous discutons, puis il complimente Emilie, elle aussi, ils flirtent devant moi, c’est très troublant.

Il s’approche et défait le premier bouton de son corsage, elle rit, une coupe de champagne à la main. je sens l’érotisme entre eux.

Il ouvre le second bouton du corsage, caresse la peau du haut des seins avec un doigt, puis fait sauter un autre bouton, les seins d’Emilie, jaillissent devant l’homme, devant tout le monde autour.

Emilie me regarde en souriant, l’homme caresse ses seins avec la main, doucement, elle gémit, et un autre homme approche pour regarder (de plus près, il se caresse doucement la queue. J’en fais autant…

Les tétons d’Émilie sont longs, durs, et l’homme lui lèche, lui aspire, ils sont luisants, j’adore. Ils s’allongent. Le mec sort sa bite, et la glisse entre les seins de ma femme qui les serre très fort autour de la queue ; l’homme gicle, le sperme se répand sur les seins de ma femme, c’est trop bon !

Elle l’étale, et se laisse caresser par l’autre homme qui lui pelote les fesses, et passe une main sous la jupe. Elle n’a pas de culotte, surprise !
Je mate comme un fou, il doigte sa chatte mouillée, elle gémit, nue devant tout le monde, et lui, il sort sa grosse bite bien longue et lui enfonce dans la chatte, ça glisse comme jamais, elle est vraiment très excitée ma salope de femme, et j’adore ça.

Elle se fait prendre comme une pute, debout, et les mecs en profitent pour lui caresser les seins pendant qu’elle se fait prendre comme une chienne. Elle crie de plaisir, elle caresse des queues au passage. Elle laisse les mecs lui lécher les tétons pendant que l’autre jouit. Elle crie de plaisir.

Deux hommes l’abordent. L’un se met derrière elle et caresse ses nichons, fait pointer ses tétons, l’autre se met devant, et lèche sa chatte trempée, en lui écartant doucement les cuisses. Il montre son clito gonflé à tout le monde, mes mecs matent, attendent leur tout peut-être ? Et il lui lèche le clito, elle crie de plaisir, et il enfourne sa langue dans sa chatte en appuyant ses lèvres à lui sur ses lèvres à elle.

Elle gémit de bonheur en se tordant de plaisir. C’est un régal pour les yeux et personne ne s’en prive, j’ignorais que ma femme pouvait être aussi salope. J’adore être cocu, et j’adore qu’elle aime ça !