C’est la rentrée!
Élodie, une mère de famille de 38 ans, avait l’habitude d’attirer les regards. Avec son corps voluptueux et sa confiance naturelle, elle incarnait à la perfection le fantasme de la MILF – cette mère sexy et désirable que beaucoup rêvent de mettre dans leur lit. Divorcée depuis quelques années, elle avait laissé ses désirs de côté pour se concentrer sur ses enfants et sa carrière.
À l’école de ses enfants, Élodie croisait souvent Alexandre, un père plus jeune, au charme indéniable. À chaque fois qu’elle le voyait, son regard la déshabillait presque, éveillant en elle des pulsions qu’elle avait trop longtemps refoulées. Ce vendredi soir, alors qu’elle faisait ses courses pour la rentrée, elle le croisa à nouveau, et cette fois, l’attraction entre eux était palpable.
« Toujours aussi occupée à préparer les enfants pour la rentrée, à ce que je vois… » lança Alexandre avec un sourire narquois, son regard glissant sans gêne sur le corps d’Élodie.
Elle soutint son regard, un sourire de défi aux lèvres. « On dirait que toi aussi, tu es en pleine préparation », répondit-elle, la voix plus suggestive qu’elle ne l’avait prévu. Elle pouvait sentir l’électricité dans l’air, et l’idée de jouer avec ce feu l’excite terriblement.
« Peut-être que je suis aussi prêt pour quelque chose d’autre », murmura Alexandre, son ton se faisant plus grave, plus chargé de sous-entendus. Il se rapprocha d’elle, suffisamment pour qu’elle sente son souffle chaud sur sa peau.
Élodie, sentant une chaleur monter en elle, décida de se laisser aller à la tentation. « Et si on s’éloignait un peu d’ici… ? » proposa-t-elle, sa voix trahissant à peine l’excitation qui l’envahissait.
Sans attendre, Alexandre la suivit jusqu’à un coin isolé du parking du supermarché. À peine avaient-ils atteint l’abri des regards qu’il l’attrapa par la taille, l’attirant contre lui avec une fougue qui la fit frémir. Leurs lèvres se trouvèrent rapidement, s’unissant dans un baiser profond et intense.
Les mains d’Alexandre se firent exploratrices, glissant sous le t-shirt d’Élodie pour caresser sa peau, savourant chaque frémissement qu’il provoquait en elle. Élodie, elle, n’était pas en reste. Elle glissa ses doigts dans ses cheveux, tirant légèrement pour le rapprocher encore plus, tandis que son autre main descendait le long de son torse pour atteindre le bouton de son pantalon.
Elle le caressa à travers le tissu, sentant la dureté de sa queue sous sa main, ce qui ne fit qu’amplifier son propre désir. « Tellement dur déjà… » murmura-t-elle à son oreille, avant de capturer à nouveau ses lèvres avec une faim renouvelée.
Sans perdre une seconde, Alexandre souleva Élodie, la plaquant contre la voiture à côté d’eux. Il tira sur sa jupe, dévoilant une culotte en dentelle noire qu’il fit glisser le long de ses jambes, ses doigts caressant brièvement sa chatte déjà bien humide.
« J’ai envie de toi depuis si longtemps… » souffla-t-il avant de plonger sa langue dans son cou, descendant lentement vers sa poitrine, mordillant ses tétons à travers le tissu fin de son soutien-gorge.
Élodie haleta, sentant son corps répondre à chaque geste d’Alexandre. Elle se cambra contre lui, cherchant plus de contact, plus de friction. Lorsqu’il la pénétra d’un coup ferme, elle ne put retenir un cri de plaisir, ses ongles s’enfonçant dans ses épaules alors qu’il commençait à bouger en elle, chaque coup de rein envoyant des vagues de plaisir à travers tout son corps.
Leur rythme devint de plus en plus frénétique, les gémissements d’Élodie se mélangeant aux grognements d’Alexandre, leurs corps en symbiose parfaite. Chaque mouvement était un crescendo de plaisir, les menant tous les deux inexorablement vers l’extase. Lorsque l’orgasme la submergea, ce fut avec une intensité qui la laissa tremblante, tandis qu’Alexandre la rejoignait dans une explosion de plaisir, son corps se crispant avant de se relâcher contre elle.
Essoufflés, ils restèrent un moment ainsi, reprenant lentement leurs esprits. Alexandre se recula légèrement, caressant doucement le visage d’Élodie. « La rentrée n’a jamais été aussi excitante », dit-il avec un sourire satisfait.
Élodie, encore secouée par ce qu’elle venait de vivre, lui rendit son sourire. « Et ce n’est que le début… » murmura-t-elle en ajustant sa jupe, prête à explorer encore plus les plaisirs que cette nouvelle année scolaire semblait lui promettre.