Le Trophée 5

Le Trophée 5

Une fois rentré chez-moi, dans un état second, je me force à me changer les idées afin d’éviter toute tentation et ainsi respecter les consignes de C. J’ai en effet décidé de jouer le jeu car je dois admettre que cela me plaît beaucoup, même si cette capacité à me soumettre ainsi me laisse pantois. Je ne pensais pas pouvoir être aussi docile et je ne peux m’empêcher de me demander quelle sera la tournure des évènements et ce que C. va bien pouvoir imaginer pour me tourmenter et s’amuser avec moi ?! J’ai hâte de recevoir son appel et après avoir détaché mon « trophée » qui était toujours noué autour de ma queue, je me couche, épuisé nerveusement, dans l’attente de la suite des évènements.

Le lendemain, je n’ai pas de nouvelle et je vais au travail comme si de rien n’était. Dans la matinée, alors que je suis concentré derrière mon PC, je reçois sur mon portable un appel visio de C. Elle est souriante
• Alors, comment vas-tu, ce n’est pas trop dur de rester chaste ? J’espère que tu as tenu le coup, ne me déçoit pas, dis-moi la vérité !
• Oui, je suis resté sage, je ne me suis pas caressé, je te le promets !
• C’est très bien, je sais que tu n’aimes pas me mentir donc je te crois et je te félicite, moi je suis chez-moi et je m’ennuie, j’ai envie de me caresser (soupir)
• ….
• Tu ne dis-rien ? Regarde !
Elle retourne l’écran de son smartphone et je la découvre allongée sur son lit, entièrement nue, les jambes écartées
• Regarde, je vais me toucher pour toi, tu es seul dans ton bureau j’espère ?
• Oui, tu le sais bien, personne ne peut me déranger
• Sauf moi ! Si j’étais au bureau, je serais ta petite secrétaire salope, je viendrai ramper sous ton bureau et je dégagerai de ton pantalon cette grosse queue qui doit être bien dure à présent, pas vrai ?
• Oui…..
• Mais attention, tu regardes, mais je t’interdis de te caresser, c’est compris ?
• Oui, j’ai compris
Je suis donc obligé d’admirer C. en train de se donner du plaisir ! Elle glisse trois doigts dans sa bouche gourmande pour les sucer longuement. Elle les retire et de ses lèvres coule un filet de salive qui s’égare sur son menton et sa gorge, tandis qu’elle caresse avec amour ses seins magnifiques, puis elle pince les tétons déjà durcis. Elle descend doucement sur son ventre, s’attarde un peu sur son nombril jusqu’à ce qu’elle arrive au niveau de son sexe et elle commence à passer ses doigts le long de sa vulve. Par moment, elle interrompt les mouvements pour pincer son clitoris entre le pouce et l’index et le triturer avec frénésie avant de recommencer à se branler et ses doigts s’enfoncent de plus en plus dans son intimité. Je ne rate rien du spectacle car elle a braqué le smartphone entre ses cuisses, m’offrant une vue imprenable ! Les lèvres de sa chatte sont gonflées de sang sous l’effet de l’excitation et je suis fasciné par le spectacle de ses doigts, parfaitement manucurés et délicatement vernis d’un blanc très élégant qui fouillent sa chair rose. Le contraste est saisissant et du plus bel effet ! Je suis en sueur, je n’en peux plus, mon sexe cogne contre mon pantalon et j’ai toutes les peines du monde à me contenir, surtout en entendant C. gémir et exhaler des soupirs de plaisir. Enfin, elle se met à trembler et son bassin se soulève, tandis que les yeux mi-clos, elle laisse venir la vague de plaisir qui l’envahit et lui offre une jouissance aussi rapide qu’intense.
• Alors, tu as aimé le spectacle, j’espère ?
Je n’arrive pas à répondre, subjugué par la beauté de ce qui vient de m’être offert. J’en ai le souffle presque coupé. C. a repris ses esprits.
• On mange ensemble à notre resto habituel à midi trente, tout à l’heure, ok ? J’ai une surprise pour toi, à tout à l’heure !
• D’accord
J’ai répondu dans un souffle et je n’ai même pas eu le temps de dire autre chose car C. a déjà raccroché, sans me laisser le temps de reprendre mes esprits ou d’émettre la moindre réserve, la garce ! Je n’ai plus qu’à lui obéir et j’adore de plus en plus cette situation !
Nous nous retrouvons donc à 12h30 dans un élégant et discret restaurant où nous avons nos habitudes. C. est particulièrement ravissante, elle porte un jean serré qui moule son adorable cul, un chemisier blanc et par-dessus un petit gilet beige. Son rouge à lèvre couleur carmin met en valeur sa bouche pulpeuse et va parfaitement avec son teint pâle. Des boucles d’oreilles très élégantes, assemblage de cercles et d’ovales au rendu très graphiques, parachèvent le tout. Un bouton de son chemisier est ouvert et cela suffit pour mettre en valeur son décolleté. Je la félicite pour sa beauté et elle me fait un joli sourire en retour. Pendant le repas, nous discutons comme si de rien n’était. Comme si depuis deux jours, elle n’était pas en train de s’amuser avec moi et de repousser sans cesse mes limites ! Je n’ose pas lui poser de questions car je veux la laisser manœuvrer à sa guise. Elle est la maitresse du jeu et j’attends docilement ses instructions. Il n’y a pas beaucoup de clients dans le restaurant, seules quelques tables sont occupées. Alors que nous avons terminé de déjeuner et que je m’apprête à commander deux cafés, quelle n’est pas ma surprise de voir débarquer Agathe.
• Désolé, je ne pouvais pas venir avant, je travaillais au magasin, mais à présent je suis libre, j’ai pris mon après-midi. Je peux prendre le café avec vous ?
Agathe s’est assise à notre table et elle a bien pris soin de s’installer dans mon champ de vision, afin que je puisse profiter de la vue. Elle porte la même petite jupe à carreaux de l’autre soir, si courte que je peux admirer ses longues jambes aux cuisses parfaitement galbées tandis que ses talons noirs et la petite chainette argentée autour de sa cheville gauche ajoutent de la classe à son allure générale. Mais surtout, au moment de s’asseoir à table, elle écarte délibérément les cuisses quelques instants pour me montrer qu’elle ne porte rien sous sa jupe ! Le reste de sa tenue est tout aussi admirable. Le top blanc permet de dévoiler son joli ventre plat et musclé, un rouge à lèvres nude apporte une luminosité subtile et saine à son visage dont l’ovale et mise en valeur par sa nouvelle coupe de cheveux beaucoup plus courte et qui lui va merveilleusement bien !

Je dois afficher malgré moi un sourire béat car C. m’interpelle
• Alors, ta surprise te plaît à ce que je vois, tu la dévores du regard ! En tous les cas, j’adore ta nouvelle coupe de cheveux ma chérie !
Au bout de quelques minutes, Agathe se lève de table
• Je dois aller aux toilettes !
Et elle s’éloigne d’un pas léger et sautillant, balançant ses jambes et son petit cul qui est une invitation à la rejoindre. C. me fait un clin d’œil
• Tu peux la rejoindre, mais attends quelques minutes quand-même, même s’il n’y a plus de client
J’attends donc pour la forme cinq petites minutes qui me semblent une éternité sous le regard goguenard de C. avant de descendre à mon tour l’escalier en colimaçon qui conduit aux toilettes du restaurant. Agathe m’attend contre le mur dans le couloir, devant les portes donnant accès aux toilettes pour femmes et hommes.
• C. m’a donné des instructions et m’a assuré que tu serais docile, viens, ne crains rien, il n’y a personne, nous serons tranquilles
Elle remongte sa jupe et d’un ton qui indique qu’elle a pris de l’assurance
• Viens me lécher ! J’ai bien vu comme tu as maté mes jambes tout à l’heure et comme ça t’as excité de savoir que je ne portais pas de culote, pas vrai ? Mais ne sort pas ta queue tout de suite, pas encore !
Je lui obéis et je m’accroupis entre ses jambes merveilleuses. Et je commence à la lécher en m’attardant sur son clitoris qui gonfle très vite et un passant ma langue avide le long de sa fente. Je caresse ses cuisses, ses chevilles et je suis étourdi par la douceur de sa peau et par l’odeur et le goût de sa chatte dont je m’enivre avec bonheur. Agathe m’a attrapé les cheveux et tient fermement ma tête entre ses cuisses soyeuses. On peut dire que les rôles sont bien inversés par rapport à notre première rencontre ! Nul doute qu’au contact de C. la petite vendeuse timide est devenue une jeune femme pleine de fougue et d’assurance et c’est moi qui suis à présent le jouet de ses désirs ! Au bout de quelques minutes, elle commence à se cambrer, je suis prisonnier entre ses cuisses et tandis que je l’entends gémir et jouir, je goute à son intimité qui coule le long de son sexe détrempé et je n’en perd pas une goute, tel un chien assoiffé !

Sans attendre une quelconque permission, n’y tenant plus, voulant à mon tour, enfin, prendre mon plaisir après toutes ces heures à me retenir, je me relève, baisse le zip de mon pantalon et je sors ma queue mais une main se pose soudain sur mon poignet pour m’arrêter dans mon élan. Il s’agit de C. que je n’avais pas entendu venir et qui s’est placé derrière moi
• Pas encore, reste calme, je te l’ai dit, tu dois attendre notre accord avant de prendre ton plaisir
• Mais….
• Chuuut laisse toi faire, tu dois passer une ultime épreuve avant d’accéder à ton nouveau statut !
C. a placé sa main sur ma bouche pour m’intimer l’ordre de me taire et d’obéir et d’un geste ferme et délibéré, elle a écarté ma main de mon sexe qui reste ainsi dans une désespérante et douloureuse érection. Je n’ai pas compris le sens de ses paroles lorsqu’elle a parlé de « nouveau statut » mais je n’arrive plus à réfléchir et je me contente d’obéir et, comme me le demande C., de me tenir debout, les mains posées sur le mur, les jambes écartées, comme un prisonnier qui s’apprête à subir une fouille corporelle !

J’entends C. farfouiller dans son sac à main tandis qu’Agathe défait le ceinturon de mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. Bientôt C. m’inflige deux retentissantes claques sur le cul pour m’obliger à me cambrer ! Je devine ce qui m’attend ! Je sens bientôt un doigt, celui de C., qui commence à caresser ma rondelle et une sensation de fraicheur, du gel j’imagine, au bord de mon anus. Il ne faut pas longtemps avant que C. commence à insérer un puis deux doigts, tout en faisant des commentaires obscènes
• Regarde Agathe comme il aime ça ! Il bande encore plus dur, ça te plait mon chéri ?
En guise de réponse, je ne peux qu’émettre une sorte de grognement qui fait rire C. et qui continue à me doigter avec vigueur, faisant des va et vient dans mon cul avant de s’adresser à Agathe
• Viens me remplacer, tu as aussi le droit de t’amuser avec lui !
Mais Agathe ne se contente pas de me doigter, elle s’empare d’un gode que viens de lui donner C. et elle l’enfonce doucement dans mon cul à présent bien dilaté. Il rentre sans problème et Agathe me fourrage bientôt avec vigueur. Je suis pris en sandwich entre les deux jeunes femmes qui échangent un sourire complice et s’embrassent tendrement par-dessus mon épaule et j’ai soudain un flash. Cela me rappelle la séance de la cabine d’essayage (cf. Le trophée 3 !) où Agathe était prise entre C. et moi. A présent, c’est moi qui tiens ce rôle, je suis devenu…. leur trophée ! Voilà mon nouveau statut !

Bientôt je n’en peux plus et d’une voix implorante, je m’adresse aux deux jeunes femmes pour leur signaler que je vais exploser ! C. Demande alors à Agathe de cesser le mouvement mais de laisser le gode bien planté dans mon cul. Elle s’approche de mon visage et me caresse tendrement la joue
• OK, je suis fière de toi, tu as été bien sage, je crois que tu as le droit de jouir à présent !
Et joignant le geste à la parole elle s’accroupit pour prendre mon sexe dans sa main me décalotter et commencer à me branler. Les doigts manucurés et vernis de blanc de C. et la bague élégante qu’elle porte à l’index (synonyme d’autorité et de pouvoir !) courent sur mon sexe turgescent, raide comme jamais et parcourues de grosses veines, comme prêtes à exploser
• Hummmmm, quelle belle queue, je n’y résiste pas !
Et C. me prend dans sa bouche pour me pomper en soupirant, laissant des traces de rouge à lèvre sur mon membre qui bientôt s’apprête à rendre les armes, vaincu par tant d’épreuves. Le plaisir est extraordinaire mais je n’ai plus la force de le faire durer suffisamment longtemps, d’autant plus que Agathe, par jeu ou pure perversion, a recommencé à faire aller et venir le gode dans mon cul !
• Tu es prêt, ça y est ? Tu vas jouir ?
• Oui…. S’il te plaît je veux jouir.. sur tes seins, s’il te plaît !
• Hummm c’est coquin ça !
• D’accord, je t’accorde cette faveur, retiens-toi encore quelques secondes !
C. retire très vite son gilet, puis son chemisier et enfin son soutien-gorge noir et s’installe à genoux devant moi, me présentation fièrement sa poitrine généreuse. J’ai empoigné mon sexe que je branle comme un fou entre ses seins, frottant mon gland sur ses tétons durcis et j’expose ENFIN à grands flots saccadés, ivre de bonheur, en délirant à la vue du foutre qui souille ses seins, sa gorge et une partie de son doux visage. Je jouis tellement que je crains à un moment de faire à nouveau un malaise !

Mais heureusement non. Quelle sensation ! Quelle expérience !

Ainsi donc, je suis à mon tour devenu un trophée et Mon Dieu comme j’aime cela !

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