Devenir une parfaite soumise

Devenir une parfaite soumise

Depuis que j’ai l’âge de m’intéresser au sexe, j’ai toujours été attiré par le milieu de la soumission et de la domination. Je fantasmais déjà sur l’idée d’être une soumise bien docile avec un maître qui me ferait obéir au doigt et à l’œil. Je ne fantasmais pas sur l’idée d’être dressée physiquement mais plutôt sur l’idée de m’abandonner complètement à lui, de lui obéir aveuglément.

Je m’imaginais l’attendre à genoux dans l’entrée après sa journée de boulot : avec une petite robe sans rien dessus mais plutôt avec un joli plug bien au chaud dans mon adorable fessier. J’aimais l’idée qu’il m’ordonne par message de m’habiller de telle ou telle façon, et de l’attendre dans une position de son choix. Rien que de l’imaginer, j’étais déjà très excitée. Mes recherches sur le sujet se sont poursuivies dans des lectures de livres érotiques, à chaque fois la même chose, je dévorais le livre et j’avais encore plus envie de me trouver quelqu’un avec qui je pourrais m’abandonnait sexuellement.

J’ai eu diverses relations mais aucune de ses relations ne m’a donné satisfaction dans ce domaine. J’allais finir par abandonner et garder cette idée de parfaite soumise comme ultime fantasme quand je suis tombée sur cet homme.

Avec lui, pas besoin de long discours, il savait me dresser comme je le voulais.

Avec lui, j’ai laissé tomber mes barrières et je me suis mise à exécuter ses ordres sans les discuter.

Pour lui, j’étais tout le temps prête à tout pour le satisfaire, toujours humide pour qu’il puisse profiter de mon corps.

Je ne pouvais rien lui refuser mais surtout je ne voulais rien lui refuser.

Au fur et à mesure que notre relation évoluait, je voulais le satisfaire encore plus, on s’est donc mis à instaurer des règles, jusqu’à présent, nous n’en n’avions pas ressenti le besoin, tout était instinctif entre nous.

A l’idée de ses nouvelles règles, j’étais encore plus excitée, j’avais tellement envie de le satisfaire, de le combler. Rien que d’imaginer ce qu’il allait pouvoir me réserver, j’étais toute excitée. Décidément, je découvrais une nouvelle façon de prendre mon pied sans avoir besoin d’accessoires ou de me caresser : juste imaginer et le plaisir montait en moi. Pour finir, les règles mises en place, n’étaient que des choses qui étaient déjà là mais qu’on avait jamais stipulé comme le fait que je ne pouvais rien lui refuser ou encore que je ne devais penser qu’à son plaisir et non au mien… Des règles assez basique au final mais des règles qui m’excitaient terriblement. Je m’abandonnais vraiment à lui et à ses envies.

Je me souviens que lors de mon adolescence quand je lisais, dans les romans, que les jeunes filles avaient des papillons dans le ventre en pensant à leur cher et tendre, moi quand je pensais à lui j’avais des papillons ok mais ils étaient situés un peu plus bas, ils étaient localisés vers mon entrejambe et généralement je me sentais devenir très humide rien que de penser à des choses dites « innocentes »… Je vous laisse donc imaginer l’état de mon string quand j’avais des pensées plus cochonnes…

Etais-je donc devenue une parfaite petite soumise sans m’en rendre compte ? Finalement, je n’avais peut-être pas besoin d’être dressée comme je l’imaginais, les choses s’étaient faites naturellement. Pour mon plus grand bonheur, il avait réussi à me rendre docile et dévoué à lui sexuellement sans avoir besoin de me contraindre. Est-ce le signe d’un bon maître ? En tout cas une chose est sûre, je n’ai jamais autant pris mon pied que depuis que je ne pense qu’à son plaisir à lui…