Divines insultes partie 1
Je suis un soumis pratiquant, assumé depuis quelques années maintenant. J’ai 57 ans, célibataire depuis toujours, on pourrait même dire vieux garçon. Ou vieille fille, même si ce serait un peu prétentieux, car même en me travestissant, je ne suis jamais à la hauteur.
Maîtresse Divine me le répète souvent, d’ailleurs, et elle a bien raison de me remettre à ma place.
Au début de notre relation, elle avait tenté de me rebaptiser ( je m’appelle Thierry, mais cela ne me va pas du tout, c’est beaucoup trop masculin!), mais en vain.
Alors, après plusieurs tentatives, elle a continué de me nommer « chose » ou « machin », ou « toi, là-bas », ou « truc », ou « Médor » mais même là, elle avait trop la sensation de manquer de respect aux chiens, nous en sommes donc restés à une neutralité logique.
Ma divine Maîtresse a eu bien du mal à m’éduquer dès le début. Prétentieuse, je croyais tout savoir et me permettais de lui donner des conseils. Quand j’y repense, quelle honte ! Je lui ai dit comment m’habiller, me maquiller, comment me traiter, et elle m’a très vite remise à ma place.
Avec toute son autorité bienveillante, elle m’a saisi par les épaules en m’intimant de me taire « ta gueule, pouffiasse ! » a t-elle dit, me faisant frissonner, et m’a jetée à terre, puis attachée les poignets et les chevilles avec de la ficelle pour rôti.
C’était très humiliant et j’étais vexée d’être ainsi réprimandée aussi vite. Maîtresse m’a présenté une tenue de soubrette et m’a dit ; « vas-y souillon, habille-toi, pauvre idiote ». J’étais vexée et de plus en plus excitée, allez comprendre.
Voyant ma queue se redresser et durcir, Maîtresse m’a grondée : « mais qui t’a donné la permission de bander, salope ? Espèce de chienne en chaleur, arrête tout de suite ! ». Mais plus elle m’insultait, et plus ma queue se redressait.
Maîtresse m’a jeté un seau d’eau froide, et a frappé mes sacs à jus avec un paddle, ce qui a permis à ma queue de se calmer. Maîtresse m’a aussitôt posé une cage de chasteté et a gardé la clé dans un coffre. Elle a ri de me voir habillée en soubrette, attachée. Elle a relevé ma robe, et a ri : « alors, tu te sens comment, pauvre salope, avec ta misérable queue en cage ? On fait moins la maligne , connasse ! ».
Puis, elle a mis une laisse sur ma cage et m’ a promenée comme une chienne, et elle m’a poussé avec le pied sur les fesses, devant ma gamelle, pour manger les restes de son repas. « allez à table, Médor, tu peux bouffer ».
Ensuite, elle a détaché mes mains pour que je fasse les corvées. Maîtresse Divine avait invité des amis, et je devais balayer le sol avec le balai dans mon cul dilaté. Maîtresse me photographiait et me filmait, en disant qu’elle allait montrer ça à mes collègues de travail, et qu’ils riraient de me voir en soubrette avec un balai dans le cul, comme une grosse souillon.
J’étais très humiliée, et je versais quelques larmes. Maîtresse a ri, en disant que j’étais une lopette ridicule, et j’ai ri aussi, réalisant la chance que j’avais d’être prise en mains et traitée comme je le devais.
J’ai préparé la sublime tenue de soirée de Maîtresse qui s’est déshabillée. Elle a retiré sa jupe, ses superbes jambes étaient ornées de bas en satin avec un porte-jarretelles en dentelle noire, et elle a ôté son chemisier. Ses gros seins semblaient vouloir jaillir de sa guêpière lacée, ma queue voulait grossir, mais ne le pouvait pas à cause de la cage, j’étais au supplice.
Quand Maîtresse s’en est aperçue, elle a rie et a dit « « alors, ma lopette veut encore bander ? Ta queue n’a pas compris que tu n’ étais qu’une chose insignifiante, grosse pute ? ». J’ai demandé pardon, en disant à Maîtresse qu’elle était très désirable.
Naturellement, elle a ri, et a délacé son corsage lentement, faisant apparaître ses beaux tétons ronds et gonflés, et ses larges aréoles.
J’étais très excitée, et elle a caressé ses tétons devant moi, mouillant ses doigts en les léchant, ses tétons étaient tout luisants, et durs, et j’avais envie de les toucher, de les sucer…J
J’ai approché mes mains, ils étaient tout durs, je bandais en souffrant, et je les ai léchés du bout de la langue, j’ai sucé, les tétons ont durci, puis Maîtresse m’a jetée à terre à riant.
« Mais pour qui te prends-tu, pauvre sous-merde ?, c’est Maîtresse qui décide de tes désirs, toi, tu n’as pas à te comporter en homme, tu es au mieux un sextoy, la chose ! ».
Ma bite coulait entre les barreaux de la cage, j’étais très humiliée, et très excitée par toutes ces insultes.
Maîtresse m’a ordonné de préparer une belle table pour ses invités, et m’a dit que je n’avais pas fini se servir…j’ai hâte de savoir ce que me réserve la soirée de Maîtresse Divine !