Soumis au téléphone
La première fois que j’ai appelé, c’était il y a 5 ans environ. J ‘étais encore un gros bourrin ml dégrossi qui se prenait pour un homme viril et qui prétendait faire jouir des femmes en les limant avec ma bite. Comme c’est loin, tout cela, et tant mieux car je me sentais mal à l’aise, comme si je n’étais pas à ma place et que je jouais un rôle.
Je m’appelle Victor pour l’état civil, j’ai 34 ans maintenant, de taille moyenne, svelte, voire fluet, j’ai les cheveux noirs, longs, épais et bouclés, le teint mat, des yeux verts, un visage fin, de longues jambes minces et un petit cul bombé.
Depuis que je ne porte plus de barbe ou de poils inutiles, on me dit efféminé et je prends cela comme un immense compliment, les femmes sont les êtres les plus délicieux qui existent, alors leur ressembler me comble de joie et de fierté !
Jusqu’à mes 29 ans, j’ai été un homme à femmes, bisexuel souvent mais en cachette, car je n’osais pas montrer ouvertement mon amour pour la queue. Alors, je collectionnais les conquêtes féminines sans être jamais satisfait, juste pour entretenir ma réputation de tombeur.
J’aimais bien faire l’amour à une femme, mais il manquait quelque chose. j’aimais les longs préliminaires, les caresses qui s’éternisent, téter leurs seins, masser leurs tétons, rendre hommage à leur corps avec ma bouche, lécher longuement le clito jusqu’à les faire mouiller très fort, lécher l ‘anus, des délices incomparables. Puis je les pénétrais en levrette, ou en missionnaire, et je jouissais avec elle.
Quand j’avais la chance d’avoir une partenaire qui me chevauchait en amazone, je ressentais un plaisir décuplé. La voir se déhancher nue sur moi, ses seins balançant, et s’empaler elle-même sur ma queue, jouir en me dominant physiquement, comme si j’étais sa monture me troublait beaucoup. J’avais la sensation d’être sa chose, son objet sexuel, de la servir, pour son plaisir et j’adorais cela.
Les mecs, eux, me traitaient comme une petite pute, et c’était le pied. En club, ils me prenaient entre deux portes, parfois à plusieurs, et à genoux, je suçais des bites en me faisant traiter de salope, de pute à sperme, et de belles grosses bites m’enculaient très fort avec puissance, me faisant jouir comme une folle.
J’ai décidé de parler de tout cela avec quelqu’un de neutre, ouvert d’esprit, que je ne connaîtrai pas, afin de me sentir à l’aise pour ce genre de confidences. C’est comme ça que j’ai appelé le téléphone rose pour la première fois.
J’ai choisi une hôtesse avec un timbre de voix un peu grave, elle avait une quarantaine d’années, et elle a très vite compris qui j’étais. Après quelques minutes de confidences qui m’ont procuré un grand soulagement, cette femme intuitive m’a soumis au téléphone.
Sans me prévenir, elle a commencé à me traiter de petite salope, de chaudasse, et cela m’excitait incroyablement ! Elle m’a ordonné de me déshabiller, d’aller chercher un gode et des pinces, et j’ai obéi en tremblant de plaisir.
Cette femme somptueuse m’a fait mettre à genoux, tête baissée, en position de soumission, je me sentais frustré et honteux, mais je bandais comme jamais.
Elle m’a fait mettre des pinces sur mes tétons, c’était douloureux et terriblement bon, puis sur mes sacs à jus comme elle disait. j’ai tiré très fort sur mes testicules pleines, et j’ai mis les pinces, c’était une sensation exquise de douleur, de fierté et de plaisir mêlés.
Puis, elle m’a fait mettre à quatre pattes et m’a ordonné de lécher le gode comme si c’était une grosse bite, et j’ai obéi avec joie, elle a entendu au téléphone les bruits que je faisais avec ma langue. Elle ma interrompu en claquant des mains et disant sévèrement « stop, salope, maintenant, tu fourres le gode dans ton garage à bites ! ». Ce scénario qu’elle avait imaginé pour moi, dans lequel j’étais sa pute qu’elle louait à des inconnus m’excitait comme une chienne, je suçais des queues, je prenais des bites dans ma chatte, hum….avec mon gode, ma chatte était en feu.
J’ai joui du cul, enfin de la chatte, du garage à bites comme disait Maîtresse, et j’ai coulé du jus de salope par la queue, tout doucement, lentement, c’était la première fois.
Enfin, j’ai joui en étant à ma place, celle d’un soumis, une pute, ou toute autre rôle ou fonction que Maîtresse décidera pour moi.
Depuis, je l’appelle régulièrement aux jours et heures qu’elle décide pour moi, parfois un peu plus, et quand elle n’est pas là, ou quand elle veut s’amuser avec sa chose, elle me fait appeler une de ses amies au téléphone rose qui s »occupe de moi autrement en m’humiliant également comme je dois l’être.
Maîtresse dit que j’ai progressé en tant que soumis, et en tant que personne, je me sens enfin moi-même. Je n’oublierai jamais ce jour où j’ai eu l’excellente idée d’appeler le téléphone rose qui a changé ma vie.