Un banquier conciliant
Le mois dernier a été très dur financièrement. Ce n’est pas facile pour une jeune cadre de 25 ans de garder un budget équilibré. Pourtant, je travaille comme secrétaire et j’ai un salaire, mais je vis seule, je sors souvent, et j’adore les fringues sexy, alors je craque souvent dans les magasins de vêtements, maquillage, accessoires…car j’aime aussi beaucoup le sexe, donc la lingerie fine, les talons hauts, etc.
J’ai un joli corps mince avec de jolies courbes, des cheveux roux bouclés, des yeux verts, des taches de rousseur, je suis grande, élancée, avec de longues jambes fuselées. Alors, presque tous les soirs, je sors, et je rentre rarement seule…mes partenaires partent heureux au petit matin, et moi, je suis en forme pour la journée, avec juste assez de sexe pour tenir jusqu’au soir…
Je m’amuse, je suis insouciante, j’allume les hommes, je les provoque, j’adore attiser leur désir, voir une bosse dans leur pantalon, j’adore qu’un mec bande pour moi et voir qu’il perd ses moyens. Cela me donne envie de mettre des décolletés encore plus profonds, des jupes encore plus moulantes et plus courtes pour les rendre dingues et me faire prendre comme une cochonne par tous les trous la nuit venue ; voilà aussi pourquoi je dépense autant d’argent même en-dehors des soldes.
Mon banquier grogne souvent, me téléphone avec une voix désagréable, et au pire, je reçois des lettres recommandées.
Aujourd’hui, en rentrant, une surprise désagréable m’attend, mon banquier me convoque, cette fois, sous peine de me retirer chéquier, carte bleue, et m’interdire de compte bancaire. Alors, comme c’est mon après-midi de congés, je me rends à la banque illico.
J’attends mon tour dans la salle d’attente, les hommes me regardent et j’aime ça. Je porte une jupe rouge courte et moulante, des bottes à talons aiguilles en vinyle, un chemisier noir en dentelle. Je crois et décroise les jambes, ils me matent et je trouve cela très excitant, et eux aussi apparemment, ils doivent sentir que je suis une grosse salope qui aime la queue.
C’est mon tour, mon banquier vient me chercher avec un air désapprobateur, comme un maître d’école qui va me faire la leçon. Il est plutôt petit, bedonnant, le crâne dégarni et il a l’air coincé derrière ses petites lunettes rondes, et même un brin pervers.
Il me fait entrer et m’invite à ‘asseoir en tenant ma chaise, au moins, il est galant. Il s’asseoit derrière son bureau et chausse ses petites lunettes rondes avec un air très sérieux, qu’il est ridicule !
Il me sermonne, et je tente de me défendre, la conversation est animée. Alors, je prends une profonde inspiration, et je décroise mes longues jambes, assez longtemps pour qu’il devienne tout rouge en me regardant. Je croise ensuite mon autre jambe bien haut, et je frotte mes jambes l’une contre l’autre, mes bas font un bruit qui semble l’exciter, il est tout essoufflé, et ne dit plus un mot, totalement hypnotisé par mes jambes. Je frottes mes bottes l’une contre l’autre et il gémit.
Soudain, il se met à genoux devant moi, me baise les mains, et me supplie de le traiter comme il le mérite, il m’appelle Maîtresse et je comprends l’avantage que je peux tirer de la situation.
Je lui ordonne d’enlever son pantalon, son slip blanc de vieux garçon pervers, et il obéit. Je le maintiens à genoux et lui fais lécher mes bottes, il gémit de désir. Je le prends en photo avec mon téléphone portable.
Il me supplie, à genoux, il veut être ma chose, mon jouet. J’ouvre mon chemisier, il bave en regardant mes seins nus pointant vers lui, il tend les mains pour les caresser et je le frappe en l’insultant de vieille salope, de sale pute et il gémit encore, tout rouge, avec une érection super dure.
Je frappe sa bite et ses couilles, cela m’excite et je prends le pouvoir, j’adore ça. Je l’oblige à renifler mon petit cul bombé, ma chatte toute lisse et mouillée, il approche sa langue et je le frappe, il est au supplice.
Il me supplie, sa bite est en feu, il a envie de me baiser, il pleure. Alors, je lui dis qu’il y a une condition. Il efface toutes mes dettes, et remet mon compte en banque à flot avec un bénéfice. Il accepte, et le fait aussitôt, utilisant son argent personnel.
Je l’allonge sur le bureau et le chevauche, nue, mes seins balancent, il les suce, je m’empale sur sa bite et je jouis, lui aussi.
En partant, je lui dis qu’il faudra être gentil avec moi maintenant, car, en plus, j’ai des photos de lui très compromettantes. « Oui maîtresse », dit-il en baissant la tête. Voilà, j’ai une assurance à la banque maintenant.