La poussière de la reine
Je suis Eddy, un homme de 62 ans, expert-comptable retraité, un monsieur comme on dit, très respecté, avec une réputation d’intellectuel, et d’homme aimable. Je suis facile à vivre, simple, me contentant de peu. Je mesure 1m60, je pèse 60 kgs, j’ai les cheveux blancs, et les yeux bleus clairs. Je n’ai jamais été un grand sportif, le billard dont j’ai été champion, n’a pas sculpté mes muscles…
J’ai épousé Régine, il y a une trentaine d’années. Elle a maintenant 64 ans, c’est une belle femme brune aux yeux sombres d’1m72, mince, qui me domine de beaucoup par la taille, même sans talons. Elle est austère, rigide, sévère, et je dois filer droit, et je le fais, en gardant ma bonne humeur.
Ma femme est donc aussi ma maîtresse dans tous les sens du terme ! Je lui obéis au quotidien, je lui suis soumis financièrement, je lui donne toute ma retraite, mes économies avec le sourire, et elle gère. Je demande parfois l’autorisation d’acheter une glace et elle me l’accorde si tel est son souhait et je m’incline, la remerciant bien bas.
Elle me regarde toujours de haut, vu ma petite taille, au moins, elle n’a pas à se donner de mal, au moins un souci que je lui épargne, car je lui en cause tellement avec ma maladresse, et tous mes défauts.
Régine, ma Reine, ma Maîtresse, a une obsession : l’ordre et la propreté. Parfois, quand elle est très en colère contre moi, elle m’appelle Poussière. Je suis sa poussière dérangeante, et elle me chasse du lit à coups de balai, elle me bat pour me punir d’être présent et de salir son horizon.
Un jour, je n’avais pas été sage, après lui avoir donné toute ma pension et mes économies, j’étais à découvert en banque et elle était très fâchée. Alors, pour me punir, elle m’a jeté à terre, et m’a corrigé comme je le méritais, à coups de balai surtout. Je lui ai demandé pardon, mais il me fallait regagner sa confiance d’abord.
Parfois, elle m’abandonne, elle part et me laisse seul, et je l’attends car je n’ai pas l’autorisation de sortir seul ou pire, accompagné ! Alors je l’attends en la vénérant, elle me manque terriblement, et je pleure en faisant le ménage.
Quand elle est rentrée hier en fin d’après-midi, elle m’a appelé « où es-tu poussière ? Au pied, tout de suite ! ». Je suis arrivé à quatre pattes, tout sourire, heureux de la retrouver, fière et méchante comme à son habitude.
Elle a inspecté tout le logement, et j’étais fébrile, inquiet de la décevoir, car je déteste lire la déception ou la contrariété dans ses yeux magnifiques de reine. Et là, chose incroyable : elle était contente ! Je jubilais, et en plus, elle m’a félicité, alors que la combler me suffisait déjà amplement.
Elle s’est alors déshabillée, a mis sa jolie nuisette noire en satin et dentelle, j’étais tout excité, et elle m’a déshabillé aussi. J’étais très gêné, tout nu devant elle, avec mon corps pitoyable, et ma queue frétillante. Elle ne m’a pas laissé le temps de penser, et m’a enculé à sec avec un gros gode-ceinture.
Elle y a mis du coeur, je l’ai bien senti, tout au fond de moi, ma méchante Reine adorée ! j’ai joui plusieurs fois, heureux de l’intérêt qu’elle me portait, des insultes qu’elle me hurlait, comme à son habitude avec sa délicieuse voix de crécelle, j’étais aux anges.
Elle s’est ensuite moqué de moi et m’a dit que cela ne se reproduirait pas souvent et que je ne devais pas m’habituer à sa gentillesse. « Oh non, cela ne risque pas, ma Reine adorée » , lui ai-je répondu avec dévotion.
Elle m’a alors envoyé nettoyer tout ce bordel tout nu, en m’insultant copieusement de poussière, de raté, de pauvre type inutile, etc…hum, quelle exquise sensation d’être à la fois si gênant et si important pour elle.
Bien sûr, j’ai sorti mon chéquier pour la dédommager de son temps, pour les dégâts que j’avais fait en jouissant, et pour m’excuser d’exister et lui causer autant de dérangement. Elle a semblé satisfaite, j’étais alors le plus heureux des maris soumis.
Oh oui, on peut dire qu’elle sait m’enculer, ma précieuse Reine !
Super comme texte. J’ai toujours trouvé que dans la domination il est toujours plus excitant lorsque la maîtresse domine son soumis par la taille. J’ai aussi la chance de ne pas être très grand (1m66) et lorsque je cherche des dominatrices je m’oriente le plus souvent vers des femmes plus grandes que moi. Evidemment mes compagnes ont été loin d’être toutes grandes et j’y ai malgré tout trouvé mon compte. Certaines même d’un mètre cinquante savaient aussi bien dominer que les autres…Mais lorsque j’ai le choix je vais toujours vers des femmes grandes …La plus grande faisait 1M86 et à coté je faisais vraiment minuscule, je devais donc lever la tête en lui parlant. Elle m’impressionnait beaucoup. Rien que par sa force elle a fait de moi ce qu’elle a voulu sans avoir besoin de m’attacher et pas besoin d’accessoires, mes fesses ont rougi sous les tapes de ses puissantes mains lors de la fessée. Cependant ne pas croire que je les recherche toute aussi grandes …Légèrement plus grandes que moi c’est parfait aussi surtout avec des talons