Ma délicieuse séance BDSM
Je suis Denis, j’ai 48 ans et je suis divorcé depuis 5 ans. Sexuellement, avec mon ex-femme, je me sentais frustré dans le rôle du mâle et nous manquions de fantaisie, puis nous avons fini par ne même plus essayer d’avoir de rapports…
J’ai eu quelques aventures depuis mon divorce, des coups d’un soir avec des inconnues jolies, gros culs, gros seins, comme je les aime et surtout pas farouches. Je n’en ressors pas très satisfait, je me vide juste les couilles.
Alors, je me suis tourné vers les professionnelles, espérant trouver plus de diversité, mais malgré le prix, elles ne comprennent pas mes attentes, et je vais de pipe et en pie dans des bouches pulpeuses et maquillées, qui me vident les couilles, et recrachent mon sperme crémeux dans les wc… la première fois qu’un prostituée m’a fait le coup, je me suis senti vexé, humilié, et cela m’a fait bander ! Je lui ai dit qu’elle aurait pu faire ça pendant que je ne regardais pas, et elle m’a ri au nez « pauvre type, tu crois que j’ai vraiment envie de bouffer ton sperme, déjà que ta queue ne risque pas de me faire jouir, tu crois que je vais me donner du mal pour un minable comme toi ? Allez rentre chez toi, et si tu veux mieux, paye plus ! ».
J’étais encore plus humilié de me faire remettre en place ainsi mais bizarrement j’étais très excité, je lui ai remis un gros billet, et je lui ai dit de m’insulter. Elle ne s’est pas privé de le faire pendant qu’elle me prenait au gode-ceinture, comme je l’avais imploré de le faire en lui tendant un autre gros billet.
Cette salope aux gros nichons, entièrement à poil, m’a enculé avec un peu de vaseline, bien fort, en me donnant des coups bien vigoureux dans l’anus, jusqu’au fond. Je gueulais de plaisir, comme une vraie truie, pendant qu’elle m’insultait de tous les noms, et là, j’ai mouillé du cul, et j’ai joui comme jamais, du cul, et ma bite a coulé du jus, doucement. C’est ce jour-là que j’ai découvert mes penchants pour la soumission.
Je me suis alors mis en quête d’une spécialiste du BDSM, sur internet, et après quelques prises de contacts, j’ai pris rendez-vous avec une dominatrice professionnelle, Maîtresse Héléna. Elle m’a fait raquer d’avance, puisqu’il était convenu que j’allais devoir payer, et payer m’excite énormément. J’adore être à ma place, contribuer à la fortune d’une femme et lui donner tout pouvoir sur moi, sentir que je suis un paillasson, tout juste bon à donner de l’argent, le plus possible.
Le jour du rendez-vous, je suis arrivé chez Maîtresse Héléna. Je fus accueilli par son assistante, Jessica, qui me fit entrer dans le donjon. Elle me dit, que conformément aux ordres de Maîtresse Héléna, elle allait me préparer pour la séance. J’étais fébrile, et la belle Jessica, une jeune femme d’une trentaine d’années, blonde, yeux bleus, délaça son corsage pour se mettre à l’aise. Les seins nus, généreux, aux aréoles larges, s’agitant devant moi me firent bander direct. Jessica le vit et me dit sévèrement « ce sera noté sur le carnet de faute pour Maîtresse Héléna, car ici, on ne bande pas sans permission ».
Voilà, à peine 5 minutes que j’étais là, et je me comportais déjà comme un imbécile incapable de se contrôler. Jessica se mit entièrement nue, son cul parfait ondulait devant moi, et elle me dit de lui enduire les seins et les fesses d’une huile hydratante. J’obéis sans dire un mot et ma pauvre queue recommença à durcir malgré mes efforts pour penser à autre chose que les tétons durs de Jessica dans mes mains. Jessica nota encore une punition supplémentaire.
Maîtresse Héléna arriva, splendide, grande, brune, magnifique, bien en chair comme j’aime, habillée d’un corset lacé, d’une belle jupe ample et longue en satin et de bottes en cuir pointues.
Elle prit connaissance du carnet de Jessica, me dit que naturellement, je serai puni. Jessica s’allongea sur le divan sur ordre de Maîtresse Héléna qui me dit « allez soumis, c’est l’heure de la têtée !à genoux, lopette, et lèche bien les seins et les tétons de Jessica, il faut que ça pointe ! ».
Je dis « oui maîtresse » en baissant la tee, et à genoux, je commençais à lécher les seins de Jessica qui se mirent à pinter et je commençais la tếtée, ses tétons gonflaient dans ma bouche, sous ma langue, et j’ y prenais un plaisir fou, surtout que Maîtresse Héléna regardait et que je savais qu’elle allait me punir. Comment aurais-je pu ne pas bander ? Les seins de Jessica étaient superbes, et dans ma bouche, ils étaient une tentation incroyable, Jessica gémissait, et se caressait la chatte mouillée, ma queue était prête à exploser ! Maîtresse Héléna claqua dans les mains « stop, lopette ! ». Mais je continuai, je n’en pouvais plus, je bandais, j’essayais de pénétrer Jessica dont la chatte ouverte était une invitation,une torture…
Je reçus un coup de fouet. « Méchante bête, tu as désobéi, et en plus tu bandes comme un chien en chaleur, tu vas payer l’affront, misérable ! ».
Elle me fit mettre à genoux, et m’obligea à lui offrir des billets, j’étais aux anges. Puis elle ordonna a Jessica de frotter sa chatte contre ma bouche, j’avais ordre de la faire jouir. Je m’activai et Jessica gémissait, ses beaux seins balançaient, et je me remis à bander…jusqu’à ce qu’un coup de pied dans les couilles me réveille et me fasse débander. « interdit, mauviette ! ». Maîtresse Héléna me mit alors une ceinture de chasteté avant de poursuivre la séance, et j’allongeai de nouveau un gros billet, j’étais en extase….
Excellent texte qui m’inspire. Se faire remettre en place par une femme qu’on désire et qui se montre hautaine et méprisante hummm. Et le contrôle de l’érection… Interdiction de bander tant que la maîtresse ne l’exige pas. Tout ce que j’aime. La description des femmes aussi est alléchante… Voilà qui me donne des idées de scénarios à demander pour une prochaine séance par téléphone… en attendant de pouvoir retrouver le tout en réel.