Je m’appelle Pierre, j’ ai 39 ans, je fais 1m80 pour 70 kilos, je suis châtain aux yeux bleus, de corpulence mince, avec les traits du visage fins, une queue de taille moyenne. Je souhaiterais témoigner à propos de mon expérience de soumis avec un maître particulièrement autoritaire et charismatique.
Il y 3 mois, j’ai commencé à fréquenter Christelle, la petite trentaine, rousse, grande, élancée avec de petits seins délicieux, charmante, ouverte d’esprit ; envoûtante, nos séances de baise étaient très chaudes, on sentait la femme d’expérience. Elle sut mieux que quiconque cerner mes désirs. Je ne m’étais jamais autant confié à une femme à propos de mes penchants, expériences, fantasmes inassouvis. Avec elle, je savais que je pouvais me le permettre. Elle me confessa qu’elle était en couple avec un maître en domination sado-masochiste particulièrement sévère, un expert en la matière.
Elle ne me révéla pas son nom. Ma confession sur l’oreiller portait sur mon envie de me faire dominer un jour par un homme. Par le passé, j’avais déjà sucé une queue, mais je ne m’étais jamais fait défoncer. Elle me proposa un soir, que je me joigne à eux pour une séance de domination. Elle me fit remplir un questionnaire, je me prêtais à l’exercice avec sérieux, je bandais déjà secrètement d’excitation à l’idée de faire la rencontre de cet homme mystérieux. Le grand soir arriva, j’étais fébrile, angoissé et excité. Nous rentrâmes Christelle et moi dans le salon. Nous prîmes place sur leur immense canapé. Le maître fit son apparition. Un homme qui en impose, aussi bien physiquement que par son charisme naturel.
Il mesure 1m95 environ pour 95 kilos de muscles, velu du torse, les cheveux longs, bruns, le regard noir, vêtu seulement d’un pantalon en cuir. Il ne m’adressa aucun regard ni aucune parole, c’est comme si je n’existais pas pour lui. Il sorti sa grosse queue et la fourra dans la bouche de sa compagne, elle le suça, il lui attrapa les cheveux et elle lui fit une gorge profonde. Elle semblait rodée à l’exercice, elle n’eut pas le moindre petit haut le cœur. Soudain, le maître me jeta un regard noir, il me demanda si je voulais participer. Je hochais de la tête, il m’ordonna alors de lui lécher les pieds, ce que je fis, il m’agrippa par les cheveux et me fit sucer ses orteils comme si c’ était de petites bites, ma que commença à durcir. Je dus lui lécher tous les orteils, c’était très humiliant, il se moquait, me traitait de petite chienne, je n’avais jamais éprouvé une telle excitation auparavant. J’étais le jouet de cet homme, sa chose. Il me maintenait fermement la tête sur ses pieds, j’étais immobilisé, fasciné par sa grande force physique. Il était brutal, autoritaire, il savait ce qu’il attendait de moi, le comble de l’excitation. Il m’enjoignit ensuite de lui sucer la bite, pendant ce temps, Christelle me préparait mon petit trou en le doigtant et en le léchant. Le maître ne ménagea pas ma bouche et j’adorais cela, il me fit lui faire une gorge profonde, j’étais au bord de la régurgitation tant sa queue caressait ma glotte. Mais c’était si bon …
Ensuite, il me fit me mettre à quatre pattes puis il colla son gros gland contre mon petit trou, il s’ enfonça d’ un coup sec, avec force et brutalité, j’ en tremblais, ma queue était raide, Christelle me suçait pendant que le maître me défonçait, il me lima ainsi durant 20 bonnes minutes, c’ était la première fois que je me faisais baiser par un mec, j’ étais au bord de l’ extase, mais je devais me contenir. Soudain, il se retira et nous fit dit de nous mettre devant lui à genoux et d’ouvrir nos bouches de petites chiennes. Il se branla puis nous gicla sur la face, il nous ordonna de lécher le foutre jusqu’à la dernière goutte et de nous embrasser goulûment ensuite. Je rentrais chez moi excité comme jamais, je dus me branler plusieurs fois pour arriver à me soulager complètement …